Ah, un membre a été suspendu… Okay
Je présume que le fait que je n’ai pas répondu de suite l’a blessée. Elle a dû écrire des trucs pas jolis, je suppose.
Je vais alors donner une précision, comme j’ai lancé ce sujet de discussion. Il faut, en effet, que je sois claire.
C’est un projet local, pour la localité.
Donc quand quelqu’un se trouvant à Paris veut nous dire quoi faire ici, comment le faire, etc, chez nous dans le Morbihan, avec sa soif d’auto-réalisation personnelle et par une expression très exaltée de genre plutôt maniaque, ça me refroidit. Je comprends la pauvre dame, qui vit une souffrance assez prenante.
J’ai du mal à entrer en communication dans ce cas, alors que le virtuel n’est déjà pas ma tasse de thé.
Nombreux sont ceux et celles qui souffrent parce qu’ils sont en échec, avec parfois des drames psychologiques. Et je compatis.
J’ai été très déprimée durant des années, alors je sais ce que c’est. Cependant, je ne pense pas qu’on devrait se comparer. Chaque personne a son histoire, et sa façon de la vivre.
Enfin, pour revenir sur la vie associative, je veux faire la part des choses :
L’ASSOCIATION SE VEUT LOCALE
Nous avons pensé qu’il fallait être simple et pratique, c’est pourquoi c’est d’abord une asso d’amis, c’est-à-dire avec de bons humains qui se voient et ‘font’. Pour se voir et faire, ensemble, il est naturellement nécessaire d’être géographiquement proches.
Nous l’avons compris par l’expérience, le virtuel ne fera jamais tourner une association.
Les associations, on les crée pour que les êtres humains soient en vrai contact social. Ainsi nous nous comportons en tant que tel si nous croyons à ce projet.
Je termine donc avec cette citation de Gandhi :
“Le bonheur c’est lorsque vos actes sont en accord avec vos paroles.”
Bonne journée