[Membre Inconnu]

@Olivier_Variant 🤣🤣🤣faudra revoir ta définition du mot développer 😉

Bon c’est pas mon domaine là psychologie ou la psychanalyse. La seule chose que je pourrais dire c’est qu’identifier l’origine d’un problème peut aider une personne à prendre du recul et à résoudre ce problème non? Ou alors à le voir d’une autre manière. Chez un adulte par exemple voir avec son regard d’adulte un trauma d’enfance peut l’aider à relativiser. Ou je me goure?

[Membre Inconnu]

@Sylvie7

Bon c’est pas mon domaine là psychologie ou la psychanalyse. La seule chose que je pourrais dire c’est qu’identifier l’origine d’un problème peut aider une personne à prendre du recul et à résoudre ce problème non? Ou alors à le voir d’une autre manière. Chez un adulte par exemple voir avec son regard d’adulte un trauma d’enfance peut l’aider à relativiser. Ou je me goure?

Dsl j’étais pas trop en état de développer, là 😅😅

Je pense que le but de la psychanalyse, si on se fie à la définition, est de faire ressortir vers la conscience des éléments enfouis dans l’inconscient ou le subconscient, en les formulant avec des mots et, oui il y a des choses qui peuvent venir de l’enfance…

[bagayaga]

C’est un peu Vague. Quel sont donc tes postulats ?

[bagayaga]

Tu veux parler de l’intérêt de l’introspection ? Faire le tour de soi même, se raconter à un autre neutre, pour réfléchir à soi durant un temps dédié. Verbaliser ce que l’on pense, le mettre en forme permettant de provoquer des prises de conscience, qui dans le quotidien, sous l’effet du stress, pourraient être tues? Ce qui dans le principe est le canal commun avec la psychologie. À ce stade pas de problème pour moi. (C’est la fameuse catharsis).

La psychanalyse c’est un certain corpus de postulats.

Prenons Freud. Et celui qui est le plus connu.

Le Conscient/Préconscient/ l’Inconscient. Avec ses différentes instances. Le Ça/le Moi et le Surmoi. Donc ça c’est le point de vue Topique. Reste le dynamique et l’économique.

Pour Lacan je pense immédiatement au Noeud Borroméen qui est l’intrication du Réel, du Symbolique et de L’imaginaire. Il a bossé pas mal sur la forclusion aussi, et sur l’importance du langage.

[Membre Inconnu]

@bagayaga

Huumm.. 40% Freud, 40 % Lacan, un peu Jung, le reste je sais pas, je me méfie des Racamier et compagnie…

[bagayaga]

Winicot et Spit ont avancés des trucs pas mal, sur l’attachement notamment. De nos jours il y a Cyrulnic qui taff sur la résilience. En essayant de faire de la psychanalyse un genre d’épistémologie de la neurologie. Ce qui me paraît plus sage.

[Membre Inconnu]

@bagayaga

Pour moi il y autant de formes de psychanalyses que de psychanalystes, voire d’analysants

[Membre Inconnu]

@bagayaga

« il y a Cyrulnic qui taff sur la résilience.»

Je viens de découvrir la notion de croissance post-traumatique, c’est hyper intéressant ( bien que ce soit un phénomène à double tranchant, j’ai parfois l’impression d’en faire la triste expérience )

[Membre Inconnu]

@bagayaga

Carrément d’accord avec toi, Boris Cyrulnik a une approche de la psychanalyse qui redore un peu son blason. Et paradoxalement, c’est surement parce qu’il n’est pas psychanalyste à proprement parler.

[Membre Inconnu]

@yugen oui je veux bien lire ds choses là dessus. Il me semble que j’avais déjà lu un article sur le fait que les souvenirs des témoins oculaires d’un crime étaient souvent erronés parce que réinterpréter par le cerveau ou réorientés par la question posée. Ce qui fait que en psychanalyse il peut se passer la même chose en fait. Selon que tu orientes les questions tu induit un faux souvenir ou tu modifies un vrai souvenir.