“Délinquance politique” ou “délinquance de droit commun” du zèbre

  • “Délinquance politique” ou “délinquance de droit commun” du zèbre

    Publié par Membre Inconnu le 5 août 2020 à 16 h 45 min

    Bonjour

    Je regrette d’avoir interrompu la conversation “faut il en vouloir aux “normaux-pensants”, en faisant 5 réponses de suite à des messages anciens (éviterai). Tentative de relancer:

    En droit on distingue le délit politique: exemple “faire une manifestation interdite” (ou en général le délinquant pense être dans son bon droit)

    du délit de droit commun: “faire la fête dans la rue et déranger les voisins” ou le délinquant sait qu’il agresse (même si ça peut revenir au même pour les riverains).

    A noter qu’au départ, un délit politique (DIFFERENCE) n’est pas reconnu en tant que tel mais qu’il est jugé en tant que délit de droit commun (AGRESSION VOLONTAIRE)

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    D’autre part, un zèbre, comme un non-zèbre peut avoir des problèmes avec lui-même.

    Lorsque à cause de ses problèmes le zèbre agresse (plus ou moins consciemment) les tiers, on peut comparer cela à de la délinquance de droit commun.

    Mais si le zèbre est équilibré, sans envie d’attaquer, il peut quand même être ressenti comme

    agressif. Une tentative de communication trop élaborée, peut être qualifiée d'”arrogance”

    par les non zèbres.

    Ce type d'”agression” non intentionnelle, simplement ressentie, de zèbre à non-zèbre, peut être comparée de la “délinquance politique”

    Mais pour celui qui subit les 2 délinquances c’est le même ressenti d’avoir été agressé.

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    La vérité n’est pas aussi tranchée, Souvent la délinquance politique du zébre (DIFFERENCE] cache une délinquance de droit commun (LEGERE AGRESSION),

    En effet, par sa capacité de remise en question des croyance, le zèbre est potentiellement choquant, même s’il ne souhaite pas agresser. Il suffira donc que le zèbre ait d’infimes soucis, qui passeraient inaperçus chez un non zèbre, pour que cela provoque d’impardonnables dégâts. Agression involontaire principalement à la condition de zèbre: délinquance politique”

    exemple courant

    Le cas du zèbre qui étouffe de la compagnie des non zèbres, (peut être devrait-il les laisser en paix), va vouloir (par esprit de réplique), inconsciemment, leur prouver qu’ils n’ont rien compris (ce qui est toujours mal ressenti). Agression volontaire: C’est bien un acte de “droit commun”.

    en conclusion

    “pour juger” ca dépend si on tient compte des dégâts sur le terrain ou des intentions

    En effet un “délinquant” zèbre peu créer des dégâts plus importants,qu’un “déliquescent” non zèbre, avec des intentions moins graves que le non zèbre, qui seraient pardonnées au non zèbre car ne créant pas de dégâts.

     

     

     

    Membre Inconnu a répondu il y a 3 années, 8 mois 1 Membre · 0 Réponses
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