<div>Ah oui j’avais oublié l’empathie, dont le degré est une constante chez nous (sauf à être en protection au quel cas il y a distanciation avec ses émotions comme les HPI par exemple et encore ça dépendra des circonstances, mais ponctuellement si).
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En effet le MBTI semble avoir sa pertinence dans les affinités entre surdoués, mais il convient de le regarder dans ce cadre de référence.
Oui chaque cerveau est unique mais il y a suffisamment de traits commun entre nous pour faire une distinction et que les NP nous aient trouver une appellation pour décrire ces similarités.
J’ignore si bien communiquer équivaut a avoir des analyses identiques, mais les surdoués aiment bien aussi avoir le dernier mot et comme nous sommes impulsifs ça peut effectivement donner des joutes verbales animées.
Après dans le rapport NP/HP oui c’est vrai que la notion d’intérêt de la communication n’est pas qui me viens en premier. C’est assez vite ennuyeux de savoir à l’avance à peut prêt ce qui va se raconter et que ça va être poussif tout du long et que tu ne vas pas pouvoir développer au 1/100 sans perdre tout le monde et de passer pour quelqu’un de compliqué, de percher, un zarbi doux rêveur, ou le mieux, un prétentieux.
Je dis qu’à partir d’un certain écart il ne s’agit plus d’une difficulté à se comprendre, au moins de la part des surdoués, mais d’une impossibilité structurelle à se représenter la sphère mental de l’autre.
Pour finir, réduire un surdoué à son score de QI est aussi un truc de NP, difficile d’en tenir rigueur chacun fait avec ses outils, notre monde leur est à jamais inaccessible.
Bon désolé, j’ai été à la fois très long mais c’est aussi sans nuance et sans développement de manière à ce que ça ne ressemble pas à un essai de 1000 pages.
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