Yo pour en avoir parlé avec une psy spécialisée.
Je parle pour le tsa sans trouble de l’apprentissage, j’ai oublié de demander pour le hpi.
Chez le tsa, la dépendance n’est pas une comorbidité particulière mais…. attention ⚠️ ⚠️ ⚠️ les tsa aiment les routines rassurantes… et la prise d’une substance psychoactive peut devenir un problème évident s’il devient une habitude rassurante…
En gros tu veux te taper un joint le samedi soir, ou boire 2 verres de vin une fois par semaine, c’est agréable et en effet relativement anxiolitique.
Par contre si c’est devenu une routine, tu es encore plus dans la merde que les autres pour te débarrasser d’une dépendance.
Dernier point sur le tsa et cannabis.
Le seul syndrome psy qui semble emmerger de l’étude des accros au cannabis, est le syndrome de démotivation (le nom est pour une fois parfaitement transparent et directementobservable).
Le tsa impactant les fonctions exécutives, les stratégies d’évitement des situations stressantes étant déjà un des soucis des autistes, le cannabis est une très mauvaise idée comme relaxant régulier.
Il s’agissait d’un pdv strictement scientifique, en aucun cas moral, ça serait déplacé, dans la mesure où toute une partie de ma vie, j’aurais mis minable bob marley, il aurait toussé en tirant sur mes splifs.
La seule dépendance dont les risques sont maîtrisables tout au long de la vie c’est celle aux endorphines du sport.
Elles se méritent, mais elles sont gratuites pécuniairement parlant.