L’avortement

  • L’avortement

    Publié par Membre Inconnu le 6 septembre 2021 à 9 h 29 min

    Sujet hautement polémique !

    Mais essayons d’éclaircir le sujet

    Selon moi ( donc mon propre éclaircissement j’avoue ) y’a pas à être foncièrement pour ou contre l’avortement, car tout est une question de circonstances à ce sujet, comme sur bien d’autres sujets…

    Parlons du sujet “en général”, avorter, est-ce bien ou mal ?

    C’est sûr que ce n’est jamais un sujet qui concerne le plaisir, enfin sauf si on se fait avorter suite à une grossesse induite par un viol ou un inceste, et encore…

    Parlons alors plus de “soulagement de la personne” en ces circonstances donc.

    Je reviens là-dessus plus tard.

    Mais sinon, avorter, juste parce qu’on a fait n’importe quoi dans la chambre à coucher ?

    Il y a là la question de la responsabilité de chacun qui s’impose clairement.

    Quand on couche avec quelqu’un, on sait à quelles conséquences on s’expose, et si cela induit une possible vie en jeu, on rigole pas avec ça.

    Avorter en free-style, genre on couche ensemble, et après, y’a un môme, ah bah j’avorte, c’est pas grave ! Si, c’est clairement grave.

    Pour faire court, chacun est responsable de son cul et on fait pas n’importe quoi avec, car si y’a une vie en jeu, c’est pas juste une histoire de coucher ensemble ok ?

    Après, bien évidemment que si y’a viol ou inceste, c’est une autre histoire, et pour moi, dans ce cas, on ne peut imposer à une femme de porter un enfant qui lui a été imposé de force et sous la violence.

    Donc dans ce cas l’avortement est bien évidemment une solution pour soulager la femme qui n’a pas voulu ça.

    Pour aller un peu plus loin, la question qui se pose, c’est comment éviter viols et incestes ? Pour éviter tout avortement ?

    Certains vont me dire que je radote, mais la compréhension des NDE est à la base de ce sujet, comme pour plein d’autres sujets.

    En effet, comprendre que ce qu’on fait de mal, on va devoir le revivre à la place de l’autre dans l’au-delà, qui voudrait encore violer autrui, ou être sujet d’inceste ?

    C’est aussi simple que ça, mais la laïcité, malgré quelques avantages pour le bien commun, nous dit clairement : croyez en ce que vous voulez, on s’en tape !

    C’est dommageable, car on éduque pas nos sociétés à ce genre de sujet. Dommage, car cela entraîne nombre de maux, sur lesquels on se contente d’essayer de mettre des rustines, qu’on appelle à tort “solutions”.

    Non, la vraie solution, à ce problème et à d’autres, c’est que tout le monde comprenne que le mal que l’on fait dans cette vie, nous devrons le payer, d’une manière ou d’une autre, dans l’au-delà.

    Si la totalité du monde comprenait cela, alors l’avortement ( par exemple ) ne serait même plus un sujet.

    lutindesbois2 a répondu il y a 2 années, 6 mois 6 Membres · 68 Réponses
  • 68 Réponses
  • Membre Inconnu

    Membre
    6 septembre 2021 à 9 h 59 min

    Pour continuer sur ma lancée,

    vous pouvez visionner la vidéo qui suis, l’EMI de Frédéric Médina

    Où il raconte clairement avoir pris conscience du mal qu’il a pu faire dans sa vie terrestre.

    Certes, voler un vélo n’est pas forcément grand chose, mais on lui a montré le mal que ça a fait à la personne propriétaire de ce vélo qui n’avait que ce moyen de transport pour aller à son boulot.

    Alors vous imaginez pour un viol ou un inceste ?

    C’est pour ça que les NDE sont comme un phare pour nous guider dans la vie,

    on attend plus l’au-delà pour savoir comment éviter le mal qu’on peut faire aux autres, vu qu’on a les expériences NDE qui nous les racontent.

    Bon visionnage si le coeur vous en dit

    Et bise à tous

    https://www.youtube.com/watch?v=PoijuhJNzfk&t=4s

  • geapix

    Membre
    6 septembre 2021 à 9 h 59 min

    Sérieux mec…

    Un gamin change complètement le fonctionnement dans ta vie sans parler des modifications irréversibles du corps de la femme.

    Quel que sois le contexte, pas toutes les femmes n’ont envie de vivre ça.

    L’avortement n’a rien d’une démarche anodine non plus. Cela n’a rien d’un choix facile.

    Bien sûr que l’homme peut exprimer son point de vu sur le sujet quand il est à l’origine de cette grossesse non désirée. Mais le choix de l’avortement dans les meilleures conditions médicales doit revenir à la femme, car en effet, cela reste le corps de la femme qui subissent des séquelles physiques et psychologiques.

    Pour lutter vraiment efficacement contre l’avortement, c’est dans la sensibilisation des moyens de contraception qu’il faut poursuivre les efforts.

    Pour ce qui des grossesses suite à un viol, c’est en luttant contre les violences sexuelles qu’on réduira, le taux d’avortement.

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 septembre 2021 à 10 h 21 min

    @geapix

    Sérieux mec…

    Sérieux meuf…

    Un gamin change complètement le fonctionnement dans ta vie sans parler des modifications irréversibles du corps de la femme.

    Pas dit du tout le contraire, mais j’ai donné une solution à tout ça ( = le sujet de ce post en question ) que d’office tu ne prends pas en compte à ce que je vois.

    Quel que sois le contexte, pas toutes les femmes n’ont envie de vivre ça.

    Pas dit le contraire non plus, j’ai même été carrément dans ce sens. J’ai pas dit que les femmes voulaient vivre ça, relis bien au pire.

    L’avortement n’a rien d’une démarche anodine non plus. Cela n’a rien d’un choix facile.

    Et pas dit le contraire non plus, pas du tout, donc pourquoi tu dis ça ?

    Bien sûr que l’homme peut exprimer son point de vu sur le sujet

    Yes, comme tout le monde je pense, du moment que l’intention est bonne et que des solutions, ou au moins une solution est apportée

    quand il est à l’origine de cette grossesse non désirée.

    Une grossesse non désirée ? Perso, comme déjà dit, je fais bien le distinguo entre faire portnawak dans la chambre à coucher, et rien à voir : inceste ou viol, choses à bien séparer non ?

    Mais le choix de l’avortement dans les meilleures conditions médicales doit revenir à la femme, car en effet, cela reste le corps de la femme qui subissent des séquelles physiques et psychologiques.

    Pas dit le contraire non plus, si y’a inceste ou viol, tant que les gens ne restent pas assez évolués ça restera des choses qui arrivent. La question, je répète, c’est comment faire en sorte que ces choses n’arrivent plus ? Ce qui va complètement dans le sens du bien-être de la femme.

    Pour lutter vraiment efficacement contre l’avortement, c’est dans la sensibilisation des moyens de contraception qu’il faut poursuivre les efforts.

    Je suis pas contre les moyens de contraception non plus, mais pas non plus pour faire portnawak dans la chambre à coucher.

    Pour ce qui des grossesses suite à un viol, c’est en luttant contre les violences sexuelles qu’on réduira, le taux d’avortement.

    C’est effectivement ce dont je parle, la solution, encore fumeuse pour nombre d’entre nous, que le viol ou l’inceste devra être revécu par le violeur ou celui qui commet l’inceste. Là est la seule solution selon moi pour que cela cesse, et ça passe par la compréhension des NDE, entièrement désolé de remettre ça sur le tapis mais c’est une évidence, sinon on ne cessera de gérer ces problèmes tant bien que mal. La compréhension des NDE par tous règlent ces problèmes à la base.

    Mais c’est un long chemin, j’avoue ! De compréhension principalement.

    Bien toi en tout cas

  • le_bacteriophage

    Membre
    6 septembre 2021 à 10 h 57 min

    Bonjour @Alfa

    Peux-tu préciser le fonds de ta pensée, s’il-te-plaît ?

    Ce que je comprends de ce que tu dis :

    – Faire l’amour seulement par jeu, avec un partenaire d’un soir = faire n’importe quoi, même en se protégeant (parce qu’on n’est pas à l’abris de l’accident et que si accident il y a il faudra absolument l’assumer, sans avorter)

    – Faire l’amour avec la personne avec laquelle nous avons choisis de vivre = OK mais il faut forcément être préparé à la probabilité d’avoir un enfant et en assumer les conséquences = pas d’avortement

    – Si pas d’enfant souhaité il faut forcément se protéger soit en refoulant ses pulsions, soit en faisant attention aux cycles, soit par la contraception ? Peux-tu nous dire exactement ce que tu penses de ces solutions, notamment la contraception

    – Avortement uniquement dans les cas de viols

    Personnellement, j’ai pu discuter de ce sujet récemment et heureusement, je n’y ai pas été confronté. J’ai toujours fait attention à ça mais nous évoluons. Je ne forcerai jamais ma conjointe à prendre la pillule. Je ne pourrai jamais la forcer à ne pas la prendre même si j’y suis opposé (et donc aussi opposé à la pilule pour l’homme dont je ne sais d’ailleurs rien) . Il y a le stérilet mais qui n’est pas sans risque pour la femme. Le préservatif qui peut céder, sans oublier les questions de confort et d’idéologie qu’il peut y avoir derrière (sensation, utilisation d’une matière pas forcément super, etc…)

    Bref, sur le principe j’adhère fortement au sentiment de responsabilité qui doit prendre place pour éviter d’avoir un enfant quand il n’est pas désiré. Il n’empeche que les accidents existent et que le fait d’accepter d’avoir cet enfant sans y être préparé, sans l’avoir voulu me semble bien plus problématique que le choix de l’avortement (même si c’est un choix extrêmement difficile). Il y a aussi les cas des familles recomposée avec des enfants d’un côté et de l’autre qui doivent cohabiter. Si il y a accident = pas d’avortement ? Faire en sorte que l’accident ne puisse se produire ? Comment ?

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 septembre 2021 à 11 h 28 min

    Bonjour aussi @glen

    Peux-tu préciser le fonds de ta pensée, s’il-te-plaît ?

    Yes

    Ce que je comprends de ce que tu dis :

    – Faire l’amour seulement par jeu, avec un partenaire d’un soir = faire n’importe quoi, même en se protégeant (parce qu’on n’est pas à l’abris de l’accident et que si accident il y a il faudra absolument l’assumer, sans avorter)

    Je dis juste que la vie d’un bébé ne vaut pas moins que celle de n’importe quel autre être humain ( voire plus niveau des êtres vivants en général, mais c’est encore un autre sujet )

    Donc j’ai pas la prétention non plus d’avoir réponse à tout, si y’a accident à ce niveau, j’ai simplement pas de réponse ! Je dis juste ce que je dis là, après chacun est responsable ou pas des actes qu’il commet ou pas.

    – Faire l’amour avec la personne avec laquelle nous avons choisis de vivre = OK mais il faut forcément être préparé à la probabilité d’avoir un enfant et en assumer les conséquences = pas d’avortement

    Bah yes en fait. Après, même réponse que la précédente, accident qui arrive à ce niveau dans la chambre à coucher ou ailleurs dans la maison, les gens sont aussi responsables de leurs actes. Mais comme déjà dit, j’ai pas réponse à tout évidemment, donc si y’a accident à ce sujet c’est juste aux gens de gérer ça au mieux j’imagine bien.

    – Si pas d’enfant souhaité il faut forcément se protéger soit en refoulant ses pulsions, soit en faisant attention aux cycles, soit par la contraception ? Peux-tu nous dire exactement ce que tu penses de ces solutions, notamment la contraception

    Je dis juste, quelle que soit la question, que les gens sont somme toute responsables de faire un môme ou pas, ce qui est loin d’être une baliverne, quelles que soient les circonstances.

    – Avortement uniquement dans les cas de viols

    Et d’inceste. Après des gens qui foirent de ce côté là, si ils ont pas les moyens d’avoir un môme, et quels que soient les moyens, c’est à eux de gérer, avec leur conscience aussi. On parle juste d’une vie humaine là, et je suis pas un texan extrémiste qui incite à la délation non plus !

    Personnellement, j’ai pu discuter de ce sujet récemment et heureusement, je n’y ai pas été confronté. J’ai toujours fait attention à ça mais nous évoluons. Je ne forcerai jamais ma conjointe à prendre la pillule. Je ne pourrai jamais la forcer à ne pas la prendre même si j’y suis opposé (et donc aussi opposé à la pilule pour l’homme dont je ne sais d’ailleurs rien) . Il y a le stérilet mais qui n’est pas sans risque pour la femme. Le préservatif qui peut céder, sans oublier les questions de confort et d’idéologie qu’il peut y avoir derrière (sensation, utilisation d’une matière pas forcément super, etc…)

    Comme déjà dit, chacun fait en son âme et conscience, je suis bien conscient que le désir est souvent irrépressible, mais voilà, on se contrôle ou pas après, ou plutôt, on contrôle ce qu’on peut contrôler pour être plus juste. Après si y’a accident de môme, chacun gère au mieux anyway. Mais il n’en reste pas moins qu’une vie humaine est en jeu en tout cas dans l’histoire, en cas d’accident impromptu.

    La vie est aussi une histoire de responsabilité, et pas que de désir à assouvir.

    Bref, sur le principe j’adhère fortement au sentiment de responsabilité qui doit prendre place pour éviter d’avoir un enfant quand il n’est pas désiré. Il n’empeche que les accidents existent et que le fait d’accepter d’avoir cet enfant sans y être préparé, sans l’avoir voulu me semble bien plus problématique que le choix de l’avortement (même si c’est un choix extrêmement difficile). Il y a aussi les cas des familles recomposée avec des enfants d’un côté et de l’autre qui doivent cohabiter. Si il y a accident = pas d’avortement ? Faire en sorte que l’accident ne puisse se produire ? Comment ?

    Je suis loin d’avoir réponse à tout glen, bien évidemment. J’expose juste mon point de vue. Après, ne pas être préparé à avoir un môme ne signifie pas forcément avortement non plus. Et pour ce qui est des familles recomposées, là j’avoue qu’au niveau de ce sujet, c’est un problème presque subsidiaire selon moi.

    Si il y a accident, c’est à chacun de faire en son âme et conscience, et selon les moyens du bord aussi. Bref, rien d’exceptionnel dans ce que je dis là je pense.

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 septembre 2021 à 12 h 03 min

    Je sais que ça va paraître un peu “religieux” mes propos là,

    mais faire l’amour, si c’est juste pour un gosse, c’est peut-être pas plus mal…

    Plus on évolue sur le chemin de la spiritualité et moins on a besoin de plaisirs charnels aussi.

    Ce qui peut aussi éviter des avortements pour le coup.

    Perso je m’en rends bien compte, mais mon exemple n’est sans doute rien j’imagine bien.

    Plus de méditation, plus de choses saines dans sa vie, et on s’éloigne somme toute du besoin d’avoir des plaisirs charnels.

    Alors c’est pas du tout une pensée castratrice non plus, car chacun reste avec ses désirs aussi,

    mais voilà, c’est peut-être une piste aussi.

    Bien à tous

  • le_bacteriophage

    Membre
    6 septembre 2021 à 12 h 11 min

    Honnêtement, je pense qu’on s’en fout pas mal que tes propos puissent paraître relegieux ou pas. L’important c’est qu’il soient claires pour que l’on sache exactement ce que tu veux dire. Je note bien la volonté que tu as de froisser le moins possible (et c’est important)mais tu me sembles prendre beaucoup de pincettes sur un sujet que tu as pourtant lancé en précisant bien qu’il s’agissait d’un sujet polémique.

    Pour moi, parler de l’avortement sans parler précisément des accidents et de la façon de les gérer/éviter c’est un peu réducteur. Que ce soit par convictions ou juste par des questions matérielles.

  • le_bacteriophage

    Membre
    6 septembre 2021 à 12 h 22 min

    Pour être concret de mon côté. J’ai toujours été plus opposé à l’avortement qu’autre chose et j’ai eu un avis tranché sur la question dès l’adolescence (pas d’avortement si pas de viol). Il n’empèche que sur les 10 dernières années de relations sexuelles avec 2 femmes (pas en même temps), j’ai été confronté 1 fois à l’idée de devoir opter pour l’avortement. D’un côté il y avait la possibilité de cet enfant qui aurait mérité de vivre mais aussi la prise en compte du fait que les enfants de ma conjointe n’auraient absolument pas été prêts à accueillir un 5ème enfant (déjà 3 enfants très exclusifs de son côté et un enfant du miens). Aujourd’hui, nous sommes séparés à peine un an après et nous n’avons finalement pas eu à prendre de décision. Celles que nous aurions pris tous les 2 se serait orientée sur le choix de l’avortement malgré notre volonté d’avoir cet enfant et notre opposition à l’avortement. Mais cet accident aurait pu faire beaucoup de mal à toute une famille. De plus, nous ne sommes plus en couple aujourd’hui donc faire le choix de ne pas avorter aurait pu être je pense dramatique à la fois pour nous, nos enfants et cet enfant.

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 septembre 2021 à 12 h 41 min

    @glen

    je ne juge ici ni ton histoire ni ta famille

    mais une phrase a retenu mon attention :

    “Mais cet accident aurait pu faire beaucoup de mal à toute une famille.”

    Je dis pas le contraire, je connais pas votre famille ni votre vie, mais en même temps, un nouveau venu dans une famille, quelle qu’elle soit, est-ce vraiment si insupportable au point de supprimer une vie ?

    Les gens s’adaptent aussi, même les enfants.

    Quand on a les moyens financiers ( au cas où ce soit votre cas ), les autres questions restent subsidiaires pour moi face à une vie humaine.

    Mais si je me plante je le reconnais entièrement

  • le_bacteriophage

    Membre
    6 septembre 2021 à 14 h 02 min

    Bien sûr que l’on s’adapte et que les enfants aussi mais s’adapter ne veut pas dire que la situation va être acceptable, même en faisant de son mieux pour. Après, ce qu’il va se passer ne sera jamais prévisible, que ce soit en bien ou en mal mais pour avoir un enfant, il faut le vouloir et avoir trouvé un équilibre pour qu’il grandisse dans les meilleures conditions. Le faire juste parce que la nature le veux, c’est bien trop vague pour moi.

    Maintenant, bien que comprendre que faire l’amour pour s’amuser n’a jamais fait parti de mes aspirations et que je vois très bien ce que tu veux dire quand tu parles de responsabilités mais faire l’amour c’est aussi un moment de partage, de lâcher prise qui doit trouver pleinement sa place dans un couple, selon moi. Cela n’empêche pas de faire attention mais les accidents arrivent et l’enfant, l’entourage n’a pas à en subir les conséquences parce que la responsabilité nous imposerait de garder cet enfant. Et pourtant je t’assure que je suis très attaché à la nature et au fait d’intervenir le moins possible dans tout ça. L’enfant à venir mérite une vie pleine, pas de subir les états d’âmes de ses parents à ce sujet. La responsabilité c’est aussi de savoir faire la part des choses au moment de gérer des accidents.

    Pour ce qui est des précautions que tu prends quand tu me parles, je pense qu’elles ne sont pas nécessaire. Tu m’as l’air de faire suffisamment attention à ce que tu dis. Si je she’s que tu me juges, je te le dirai, crois moi. En attendant, oublie un peu tout ça, s’il te plaît 🙂

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