Faisons un peu de prévention, mon écriture sera criblée de fautes, légèrement comique au vu du sujet.
J’en est déjà été victime.
Mais “glottophobie” (me) pose des problèmes dès son emploiement (apparemment ce mot est tomber en désuétude… (ce qui ne fais que confirmer mon langage fautif (du moins pour son récepteur))) par l’utilisation du substantif Phobie. Pour faire court, un phobie est soit une peur instinctive soit une aversion irraisonnée soit “Symptôme prévalent des névroses obsessionnelles” CNRTL. Une phobie est relié à un trouble anxieux. Pour moi ce serai donc quelque chose à soigner, tâcher de comprendre plutôt que de condamner.
Mais passons, ici le créateur de ce terme nous propose sa définition (je ne sais pas comment citer lisez donc le questionnement d'”olbius” 1er février à 19h21).
Je perçoit ici la “glottophobie” comme une discrimination négative du langage au sens large. Pourquoi l’auteur n’a-t-il donc pas nommé cela “glottoïsme” le suffixe “-isme” étant à la mode? Je plaisante à demi-mots, car le “-isme” pose (pour moi) encore plus de problèmes.
Maintenant admettons.
Prenons “wesh” (peu importe son orthographe ici) (https://www.cnrtl.fr/definition/dmf/wesh%20%5Bargot%20franco%20maghr%C3%A9bin%5D%20%5Bou%C3%A8che%5D), il fais parti d’un argot et pour ma par on ne peut exiger de quelqu’un à le comprendre (surtout si le milieu de l’emploi ou que le récepteur n’y sont pas familier (par familier j’entends la capacité à, de lui même comprendre)). Par exemple je suis arrivé en Alsace il y a quelque années, étant originaire de bourgogne, certain terme d’argot me fussent bien incompréhensible et ces termes non présent dans le dictionnaire conventionnelle je n’eus pu comprendre par moi même (simplement). Là, une solution est pour l’utilisateur d’offrir (par défaut si possible) un synonyme au récepteur, et ce récepteur de tout simplement demander l’explication à ce même utilisateur. Une solution qui n’est efficace que par un minimum de termes d’argot employer pour un non-initié.
Pour ce qui est de l’accent, il ne devrais pas y avoir de problèmes sauf pour des domaine qui induisent un langage particulier ou une utilisation de celui normé. Dans le même principe de ce que j’ai écris si-dessus un accent trop développer, peux amener à une difficulté de compréhension, dans ce cas, un peu comme pour tout, l’effort devrais se faire de la part des 2 partie.
Suivant la définition donné par Philippe Blanchet, je pense que tout le monde est “glottophobe”, mais le niveau fluctue entre les gens, chacun place sur cette courbe un seuil de tolérance: x variable résultant des facteurs intra et inter personnelle de chacun.
Il me parait rationnel de refuser ou accepter quelqu’un en fonction de son langage (dans la mesure du raisonnable bien sûr), dans les cas de profession qui nécessite ou prouve une utilité non-négligeable de cette discrimination (une discrimination, pour rappel, même si ce mots ne semble pas plaire, peut être négative comme positive). J’ajoute que cette discrimination ne devrais en aucun cas être définitive. Pour ce qui est de l’accession d’une grande école ou même de l’école en générale, la discrimination ne devrais ce faire que si la valeur du langage et incompatible ou fortement divergente (soit si cette valeur handicape trop fortement l’un des tiers). La non-pérénité est aussi ici de mise.
Pour moi ce n’est pas un problème primaire, par la j’entends qu’il découle directement de problèmes plus vaste qui sont mêlé dans un joyeux bordel. Je tâche alors de résoudre la base en espérant un variation positive sur ce problème.
Il y aurais certainement moins de problème si il n’y avais moins fustigateurs et moins de victimes pour se sentir inlassablement fustiger. Pour moi il ne faux pas tenter de devenir moins “glottophobe” mais tenter d’aller au plus juste dans la “glottophobie”.
J’ai tenter d’être clair et concis, et je ne sais si je dois dire merci ou désolé d’être parvenu jusqu’ici.