Selon vous existe-t-il une intelligence du bien et une intelligence du mal ?

  • oversight

    Membre
    1 novembre 2021 à 14 h 09 min

    En fait je me dis je sais c’est simpliste, mais genre les pn ont raisonné et choisi leur ego au détriment de leur ” humanité” alors que la plupart oscille entre humanité (sens noble) et ego et sans cette humanité pas de possibilité de soigner son égo qui a toujours faim mais qui ne sera jamais rassasié…du coup c’est un autre système de fonctionnement, il rit quand il blesse, jouit quand il malmene…ce qui nous fait du bien le torture, ce qui nous rend heureux l’empoisonne…mais en même temps il est attiré par des personnes pleines de qualités ou qui peuvent servir des intérêts satisfaire des pulsions…il a besoin de ressentir des pulsions pour se penser exister et faire briller son égo…je digresse la j’arrêt, je pars dans tous les sens.

  • le_bacteriophage

    Membre
    1 novembre 2021 à 14 h 18 min

    Je pense avoir un exemple concret d’intelligence qui sert à faire le mal. En primaire et au collège, j’avais un ami qui n’avait aucune difficulté (dans ses résultats) à l’école et qui s’ennuyait clairement tout le temps. Son temps justement, il le passait à trouver des stratagèmes pour faire souffrir sa mère. Il savait exactement quoi dire pour lui faire du mal et ça dès le CE2. Il avait de la haine contre sa mère parce qu’il trouvait qu’elle n’avait pas de personnalité et justifiait le comportement de son père qui trompait sa mère sans le cacher et qui l’ignorait par le fait que sa mère était tout à fait inintéressante. Sa maman était pourtant une crème comme ou en voit peu… Son père n’était jamais là mais c’était un riche homme d’affaire et il admirait son pouvoir.

    Il n’y avait pas que sa mère qui en prenait pour son grade d’ailleurs. Ce garçon s’attirait la sympathie de cibles qu’il choisissaient. Une fois la confiance acquise, il se servait des informations qu’il avait pour casser les liens d’amitié qui existaient entre cette personne et sa amis et pour les humilier. Parce qu’il les trouvait inintéressantes elles aussi, soit disant… Pourtant il s’y intéressait bel et bien visiblement.

    Bref, le bien et le mal existent pour moi de façon claire. Ce sont juste des notions qui diffèrent en fonction des communautés, des cultures, des sociétés. Je pense qu’il est possible d’établir ce qui est bien à assez grande échelle mais que ce bien ne sera pas forcément si bien pour d’autres échelles… Maintenant, même en prenant ça en considération, peu importe les cultures, quelqu’un qui va passer le plus clair de son temps à réfléchir à comment faire du mal aux autres sera forcément une mauvaise personne. Je ne vois pas comment ça pourrait être contestable.

  • oversight

    Membre
    1 novembre 2021 à 14 h 37 min

    Ouais je pensais à ce genres de personnalités…du coup pour moi il y a bien ceux qui se servent de leur intelligence pour nuire et ceux bien intentionnés se serviront de leur intelligence pour faire du bien, les autres restant dans une sorte de neutralité et dans une notion du bien et du mal nuancée.Le bien et le mal existent belles et bien avec des consciences plus éveillées et consciente de leur humanité qui souhaiteront la cultiver a fin de produire ”du bien ” d’autres avec une conscience du mal (encore un autre débat) et une morale pervertie qui agiront de façon à nuire, a faire du mal leur but étant de servir un ego surdimensionné ou défaillant quitte à détruire l’autre et pourront même en jouir, sans culpabilité, démolissant toutes émotions humaines saines , faites de bonte, de joie, d’accomplissement, d’évolution positive visant à améliorer les rapports entre humains et les faire grandir..les autres étant dans un mode tendancieux et non défini…

  • oversight

    Membre
    1 novembre 2021 à 14 h 38 min

    Merci 😁

  • oversight

    Membre
    1 novembre 2021 à 14 h 55 min

    Ah c’est tout a ton honneur de vouloir devenir meilleur je trouve ça juste génial 🙂 désolée jetais partie dans mon truc si tu as des conseils pour que je puisse m’améliorer je prends 🙂

  • oversight

    Membre
    1 novembre 2021 à 15 h 02 min

    Ah concernant les cas pathologiques malheureusement ça passe crème dans nos sociétés déshumanisées et c’est presque même demandé et encouragé.Quoi de mieux que des personnes qui sont sans états d’âmes et vont agir comme des robots…ces personnes pathologiques sont très appréciées dans certaines entreprises ou multinationales…Le pathologie devient ”un socio-logique ”….

  • oversight

    Membre
    1 novembre 2021 à 16 h 44 min

    Bah je dirais que c’est mieux d’avoir peur de faire du mal et donc de travailler sur ses intentions et d’apprécier faire le bien parce que le bien c’est bien 😁 après il y a des personnes croyantes qui sen tapent le coquillard de faire du mal et qui n’ont absolument pas peur d’une quelconque sanction divine.Quand ton parent te dit de faire du bien et d’avoir un bon comportement c’est pour que tu sois, devienne une bonne et belle personne.Tu vas avoir peur de faire des conneries mais si tes parents sont tolérants, aimants ils sauront t’inculquer le juste milieu que se tromper n’est pas forcément mal ou un échec c’est si ils te disent oh ben c’est pas grave si tu fais du mal du moment que c’est aux autres 😅 pour autant si tu gardes une certaine crainte de faire du mal parcque tu acquiers la notion du bien et du mal et que tu le fais pour ta personne c’est good bon après il y aussi le libre arbitre personne n’est forcé hein.Bref je suis ”une digresseuse” professionnelle alors j’arrête la…😬

  • oversight

    Membre
    1 novembre 2021 à 17 h 01 min

    Quand le mal est intentionnel dans le but de nuire avec toutes les conséquences que cela implique et que l’on ressent de la jouissance y a comme un problème non ? Bref le bien et le mal existent chacun sa conception je crois mais si c’est pour faire du mal gratos et volontairement …désolée mais …c’est mal 😁

  • hautpotentieldeconneries

    Membre
    12 novembre 2021 à 9 h 37 min

    Les grandes notion de bien et de mal sont sans doute difficiles à définir, par contre “faire du mal” ou “faire du bien” à l’autre est assez facile à caractériser.

    Je dirais qu’on peut parler de la différence entre l’empathie et l’altruisme ou la compassion.

    L’empathie si on la prend comme la capacité intuitive à comprendre ce que ressent l’autre, peut être utilisée pour faire du mal à autrui, par manipulation par exemple.

    Alors que couplée à de l’altruisme elle sera mise à profit pour faire du bien.

    Après j’ai aussi une définition du “mal”, et l’expression “l’enfer est pavé de bonnes intentions” m’ énerve au plus au point. S’il y a bien un fond de vrai, l’enfer me paraît surtout bâti de cynisme, de cruauté et d’égoïsme.

    Voili voilou 😁😜

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