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Littérature
Tourner les pages d’un bon livre, quel plus beau voyage ? 📚 Discutons-en entre adultes ... Voir la suite
Narre-moi un conte.
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Narre-moi un conte.
Contenus connexes :
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Je comprends cette position Sylvie, je pense que beaucoup d’humains l’adoptent.
Je pense que les plus vils, les plus flagorneurs d’entre nous néanmoins s’accommodent bien volontier de feindre. Que se soit eux mêmes ou les autres.
Mais c’est, je pense un caractère d’intelligence sociale.
Celui qui est tout seul à dire ce qu’il pense, quitte à blesser à tour de bras est bien perdant tout compte fait.
Les songes étant bien plus bandants que la morne réalité.
Et cela ne reprend-il pas mon précédent récit ? Celle qui se comporte avec le plus de droiture, se voit affubler de la production de roses,de perles et diamants par sa bouche, ce qui est relativement,lorsqu’on y réfléchit bien, bien plus désagréable à éructer que des serpents, des batraciens et des sangsues ?
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Je n’ai plus le temps Kitsunebi de rebondir sur la hache. Je prendrai le temps ce soir.
Ça c’est en lien avec le fil rouge de la morale.
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@bagayaga : niveau morale, il faut parfois hiérarchiser… Entre des valeurs morales mêmes ou avec d’autres valeurs ou d’autres besoins (fondamentaux ou pas) afin de ne pas être étouffé par trop de pression, ou encore éviter de finir dans le mur…
Dans tous les cas, qu’il s’agisse d’une stratégie pour ne pas mentir ou pour se protéger ou protéger les autres, y compris de nous-même, je pense qu’il faut comme indiqué dans un autre post apprendre à se taire plus. Mais si c’est plus facile de ne rien dire dans certains cas, dans d’autres, et bien c’est bien plus compliqué.
J’ai perdu en “puissance morale” depuis mon harcèlement moral de l’année dernière et ma culbute dans le mur. Cela a ravivé trop de choses non soignées, aussi. Mais au final je me sens plus “puissante” qu’avant, d’une autre manière. Je suis soulagée de pouvoir récupérer certaines capacités cognitives et émotionnelles perdues et dans la foulée, mes valeurs morales ne sont plus hiérarchisées de la même façon, et elles ont également moins d’importance à présent que mon propre bien-être. Et j’en suis bien contente.
Franchement, c’était n’importe quoi, de toute façon. D’ailleurs, maintenant je ressens beaucoup moins de compassion pour les autres, et c’est un vrai soulagement, en réalité. A chaque fois que je subis un traumatisme, j’évolue. Pour mon propre bien-être. Mais pas pour celui des autres…
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Méchanceté et Finesse
Un lion, devenu vieux et malade, voulait qu’on lui rendît la santé. Des animaux réputés par leur savoir s’empressèrent d’accourir; mais le renard, loin de faire comme eux, se tint blotti dans sa demeure.
Le loup, qui lui voulait du mal, ne manqua pas de faire remarquer son absence, espérant bien qu’on punirait. En effet, le lion irrité ordonne qu’on amène sur l’heure cet indifférent ou qu’on l’enfume dans son terrier.
Le renard vient aussitôt, bien renseigné sur ce que le loup a dit de lui. Fort habilement, il explique que, si on ne l’a point vu empressé auprès du roi souffrant, c’est qu’il accomplissait un pèlerinage pour que le monarque recouvrât la santé.
« Je m’acquittais d’un vœu, dit, et en route, j’ai appris un grand secret. Sire, vous ne manquez que de chaleur; la vieillesse en a détruite : si vous voulez éprouver un grand soulagement, enveloppez-vous dans la peau toute fumante d’un loup écorché vif; si vous voulez, messire loup que voilà se servira de robe de chambre; je suis sûr que le remède est infaillible. »
Le lion suivit ce conseil, et le loup perdit la vie.
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La morale,*toussote*,
c’est…
la plus belle hypocrisie neurasthéniante(diérese) qu’à pondu cet incroyable faux-cul d’Homo Sapi- sapiens.
La morale est un carcan, nécessaire, j’en conviens. Pour que nous puissions pulluler allègrement.
Alors oui, certes,on a dit:
-on se peufra plus de trop, pas tout le monde, ou vas-y une ou deux guerres par-ci, par-là quand ça nous chantes.
-On se pique plus nos meufs, sans consentement mutuel, tout du moins.
-Tant qu’il y a de la bouffe, we are the World, par contre pas de bouffe, ça peut vite dégénérer. Plutôt vite même.
-Et pour finir le but du jeu, mes potes c’est de croître. Inexorablement. Donc de faire tout pour survivre. Quitte à…
fuir le danger.
La morale c’est un peu le casque bleu, pas très crédible de ces quatre lois. Je crois bien. Hélas…trois fois hélas que… C’est un masque très hypocrite qu’il nous est pénible de porter. Sapiens n’en à pas fini de se morfondre est haïr sa race. Et détester ce monde.
Où il faut renier une partie non négligeable de soi, au profit du vivre ensemble.
La morale et ses apôtres me font l’effet de protestants nordiques, ultra fermés, etouffés sous leur orgueil et fanatiques, oppresseurs à vous renifler le dèrche à la moindre occase. Se gargarisant d’être, eux, meilleurs que tout ces autres là. Oui les autres qui ne sont pas aussi purs qu’eux.
Alors que la vérité ils en crèvent d’envie bon sang de bon soir et ne se l’autorisent pas. Alors qu’ils en crèvent d’envie. Et ils le font. Ils finissent par le faire. Mais ils ne l’assument pas. Mais c’est encore une autre histoire ça.
La morale? Elle est relative de toute façon^^ La morale des uns s’arrête là où celle des autres commence.
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La morale c’est de la merde, psychanalystiquement parlant ça s’appelle le surmoi. C’est cette petite voix qui, en fonction de ton éducation, te modère dans tes pulsions et te punit avec la culpabilité. À priori c’est très bien, ça évite que tu dézingues ton voisin parce qu’il s’est garé devant la porte de ton garage, mais en pratique, ça conduit à s’auto brimer et à se traiter de raté all day, pour peu que ton éducation ait été un poil humiliante. Comment ça je parle de moi ? 🤭
De toute façon l’humanité c’est des chimpanzés avec des smartphone avec du porno dedans. La “morale” n’a rien à voir avec notre histoire, ni hier, ni aujourd’hui.
Fuck la morale, fuck le surmoi 🤘
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Entre ce qu’on pense être, ce que l’on est vraiment et ce que les autres “perçoivent” de nous, y a une zone aveugle. Un angle mort. Un noeud Borroméen.
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La rose bleue
Il était une fois une princesse qui semblait parfaite aux yeux de tous… Mais aussi merveilleuse qu’elle était, elle exigeait que tout le monde autour d’elle le soit tout autant qu’elle…
Elle refusait d’ailleurs de se marier, ne trouvant point d’homme suffisamment intelligent pour elle… Oups, non, c’est pas cela, elle exigeait de se marier avec un homme aussi “parfait” qu’elle (un clone ?).
Elle décida cependant d’accepter un homme qui lui offrirait une rose de feu… Enfin, une rose de la même couleur qu’un bleu de magnésium…Seuls trois prétendants réussirent à parvenir à lui amener une rose bleue.
Le premier lui ramena une rose originalement blanche mais qui pris la couleur bleue après avoir été recouverte de laque bleue.
La princesse estima qu’on avait cherché à la tromper, et fit décapiter l’homme… Enfin, euh, je crois qu’en fait elle l’a juste foutu à la porte de son palais… Sauf que le gars s’est empoisonné avec sa laque (c’est ballot, hein ?).
Le deuxième prétendant lui offrit un saphir en forme de rose bleue. Et bien elle n’en voulu point non plus !
Le troisième lui dessina une rose. Mais cela n’allait toujours pas… Elle voulait une “vraie” rose bleue…
Puis il se passa quelque chose d’étrange… Elle fit la rencontre d’un homme remarquablement intelligent et gentil, un gars avec un esprit aussi brillant, beau et doux que les pétales d’une rose bleue… Quoique dans l’histoire il s’est juste contenté de chanter et d’avoir une belle apparence d’après ce que j’ai compris… M’enfin bon, chacun ses goûts, hein… Bref, elle tomba amoureuse du gars mais elle s’était promis, comme une idiote, euh, comme une personne qui a des valeurs morales et qui tient à tenir ses promesses, de n’épouser qu’un homme qui lui apporterait une rose bleue…
Et comme visiblement ce qu’elle ressentait était réciproque (bon, moi je me serait barrée en courant devant quelqu’un d’aussi parfait car c’est super louche et en plus ça donne mauvaise conscience de ne pas l’être, mais bref…)… Et il lui ramena une rose… Une rose même pas bleue.
Mais elle décida de changer sa façon de voir cette rose et décréta que cette rose était BLEUE. Et hop, elle épousa le gars (qu’elle ne connaissait même pas donc, oula, mais gros coup de bol, visiblement…).
Et au final, rien à cirer donc que l’un ou l’autre ne soit pas parfait, parce qu’en fait, ils étaient simplement… Et bien heureux ensemble, voilà tout !
Je crois que c’était une histoire pour dire que c’est une très mauvaise idée de rechercher la perfection… Mais on pourrait tout aussi bien dire que l’un et l’autre étaient parfaits l’un pour l’autre, avec leurs imperfections… En tout cas, avoir des attentes quasi impossibles à avoir pour soi comme pour les autres c’est le meilleur moyen de rester seul, et si on n’a pas envie de l’être, c’est con. Mais bien sûr, certaines personnes nous correspondent plus que d’autres, et lorsqu’on apprend à les connaître, et bien c’est là qu’on s’en aperçoit, un, pas au bout de 5 min ni d’une seule soirée, qu’elle soit printanière ou autre…
Mais je crois que j’ai bien tordu la conclusion de ce conte qu’on peut en fait retrouver là avec de jjjoolliieessss illustrations :
https://www.iletaitunehistoire.com/genres/contes-et-legendes/lire/biblidcon_054#histoire
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Printanière ?
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Oups, oui, c’est ça…
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Je me demande en tout cas pourquoi il a fallu qu’un gars meure dans l’histoire ! ????
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