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Littérature
Tourner les pages d’un bon livre, quel plus beau voyage ? 📚 Discutons-en entre adultes ... Voir la suite
Narre-moi un conte.
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Narre-moi un conte.
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Je ne suis pas lecteur hélas. .. Regret
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je t’envoie 2 textes que j’ai écrit, conte ou pas, quelle importance😀
le premier, je l’ai écrit comme un conte avec un thème qui m’est cher, celui de l’eau.
pour celà, j’ai pris les objets que j’avais chez moi, qui me reliait à l’eau. Tous les accessoires que je cite, je les ai.
voici le premier:
Merc 9 janv 2020
L’Arbre à gouttes d’eau
Conte Pour les petits et les grands.
Il était une fois il y a bien longtemps de cela, le soleil et la lune existaient déjà, tout comme les étoiles dans le ciel.
D’ailleurs les enfants, si vous regardez le ciel, le soir, vous verrez que le jour a laissé la place à la nuit et a recouvert le ciel d’une couleur plus foncée.
C’est juste pour que l’on puisse voir les étoiles briller dans le ciel.
Et c’est ainsi que chaque soir, juste pour endormir tranquillement les enfants, que le marchand de sable, depuis son nuage magique, lançait à travers le ciel d’innombrables poignées de sable… du sable de toutes les couleurs pour que les rêves des enfants, petits et grands, soient doux et colorés.
Et puis un jour, c’est comme si le nuage du marchand de sable s’était transformé !
Un petit peu comme… comme s’il avait disparu.
Et, au lieu du sable doré, argenté, et de toutes les couleurs, c’est de l’eau qu’il envoyait.
Ce phénomène est arrivé à une fin d’année… c’était je crois même, à une fin de siècle, au début d’un nouveau… bref, le monde avait changé de siècle … !!!
A partir de ce nouveau siècle, le nuage magique du marchand de sable de toutes les couleurs s’est donc tout d’un coup transformé en marchand d’eau…
Et c’est ainsi que chaque soir, sur son nuage magique, le marchand de sable devenu le marchand d’eau … enfin le marchand de gouttes d’eau… envoyait des milliers de gouttes d’eau.
-Les gouttes d’eau au début étaient colorées, comme le sable, puis, au fur et à mesure, elles sont devenues transparentes.
Les enfants, petits et grands continuaient à bien dormir…
En revanche, les habitants du village eux, commençaient à s’inquiéter de voir toutes ces gouttes d’eau par millier, déversées soir après soir…
Barnabé était le chef du village.
Sa famille était gardienne depuis des siècles, d’une goutte d’eau.
Il l’avait donc reçu en héritage et était devenu comme le gardien d’un trésor.
Pour la protéger, il avait conservé cette goutte d’eau dans un écrin en verre.
Parce que, voyez-vous les enfants, cette goutte d’eau est unique.
Elle est comme « irisée «, c’est-à-dire, qu’elle possède beaucoup de couleurs.
Si vous la mettez à l’ombre, c’est une goutte en verre, alors que si vous la mettez au soleil, elle prend un éclat totalement différent.
Cet héritage était complété par un pendentif, un emblème transmis de génération en génération aussi, une goutte d’eau bleue.
Il le portait autour du cou.
Barnabé avait donc une très grande responsabilité.
-Il alla donc s’enquérir auprès de différents savants, du ciel, de la terre, des nuages, des paysans, pour l’aider à trouver des solutions.
Ils se retrouvèrent tous ensemble et chacun apporta son idée.
-En fait, c’est le grand père de Barnabé qui lui offrit une solution qui pourrait être utile pendant de nombreuses années peut être.
Son grand père s’appelait Ménardin.
Ménardin avait conservé avec lui, un vieux livre, qu’il avait reçu en héritage.
Il alla consulter son livre.
C’était un vieux livre à la couverture en cuir, sur laquelle était posée une pierre, comme une pierre de lune, et aux pages au papier épais et inégalement découpées, comme cela était à cette époque.
Après avoir longuement lu son vieux livre…
Ménardin revint vers son petit-fils Barnabé, avec son vieux livre à la main.
(Ménardin) – « Regardes ce que j’ai trouvé pour toi, ton village et ceux alentours…
Tu peux planter un arbre à gouttes d’eau et pourquoi pas végétation aussi.
-Regardes, j’avais conservé depuis des années ces espèces de petites fioles en forme de gouttes d’eau. Elles ont ceci de particulier, qu’elles s’ouvrent par leur milieu et ont une attache à leur sommet.
Tu peux installer un arbrisseau avec de longues branches, je te laisse trouver celui qui conviendra le mieux pour cela…
Tu peux donner à chaque enfant du village une fiole.
En te faisant aider, assister de leur institutrice, que chaque enfant devienne responsable de sa fiole.
Il pourra la remplir soit de gouttes d’eau qui tombent chaque soir pour l’instant, et ensuite venir l’accrocher sur une des branches de l’arbre.
Il pourra aussi la remplir de quelques gouttes d’eau et y planter des petites graines de haricots avec de la terre et l’accrocher aussi sur une des branches de l’arbre.
Tu pourras même demander au menuisier qu’il te découpe une belle planche de bois sur laquelle sera peint en grand :
« Voici l’arbre à gouttes d’eau des enfants du village ».
Barnabé écouta avec beaucoup d’attention et acquiesça en disant :
(Barnabé)- « c’est une idée que je trouve méritante, elle pourra ainsi faire participer les enfants à la vie du village aussi, et je laisserai le soin à leur institutrice de leur expliquer combien ces gouttes d’eau sont précieuses…
Ne dit-on pas que les petits ruisseaux font les grandes rivières…
Tiens, à ce propos, une idée vient de jaillir de mon esprit !!! »
(Ménardin)- « Ah oui, et quelle est donc cette jaillissante idée dit Ménardin en riant. »
(Barnabé)- « Pourquoi ne pas creuser comme un sillon assez large et profond le long des champs et du village ? Ainsi petit à petit l’eau viendra s’y déposer…
Et pourquoi pas même plus tard, creuser et y faire un étang ?
Au fil des années, cela pourra devenir comme un joli canal, et l’étang pourra accueillir des pêcheurs, des canards… »
(Ménardin) – « Je te laisse méditer avec tes administrés à toutes ces bonnes idées… je suis fier de l’héritage que nous ont laissé nos aïeuls et de l’utilisation que tu en fait… cette goutte d’eau irisée… Tu en es le digne héritier !!!
Il faudra trouver un nom à tout ça »
Et c’est ainsi que naquit dans ce village au fil des années devenues des siècles, la Taffarette qui coule encore aujourd’hui et dont l’étang accueille pêcheurs, canards et promeneurs …
L’arbre à gouttes d’eau existe toujours et l’idée a fait son chemin dans d’autres villages alentours, permettant ainsi d’expliquer aussi aux petits et grands combien l’eau est un bien très précieux.
Comme la nature est bien faite, une fois le canal et l’étang remplis de suffisamment de gouttes d’eau, le nuage du marchand de sable le soir, se remit à lancer du sable coloré pour les jolis rêves des enfants endormis.
😉
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<div>@bagayaga
</div><div>celui ci écrit un jour… je crois qu’après celui ci un p’tit troisième et dernier pour aujourd’hui, je ne vais pas t’inonder 😉
… un jour, un enfant qui passait…
Parce qu’un jour, un enfant passé présent à cet instant,
a arrêté tous les passants, juste en leur demandant :
« Je suis perdu, je dois aller rue de l’Amour,
…Vous savez où c’est s’il vous plait… »
Bien des passants lui ont ri au nez.
…
C’est dans ce grimoire, un vieux livre aux pages
D’un papier d’ancien temps
A la couverture au cuir tanné, tellement doux au toucher,
Incrusté d’une pierre de Lune, lisse d’un blanc bleuté
Que j’ y ai trouvé ces lignes manuscrites en vieux français
…
Alors l’enfant devenu grand, a continué à chercher
Avec son cœur à lui tout seul
Se disant que peut-être il était temps
Que ces adultes compliqués dans leur feu d’artifice imaginaire
Dans leurs parfums…
C’est simple comme bonjour l’Amour, non ?
…
Alors pour l’instant
Il a pensé sans le savoir,
J’attends,
Dans mon cœur d’enfant, j’attends un autre temps…
Alors il a retiré ce tissu
Et a allumé sa lumière du temps
En se disant, pour l’instant ce monde tourne rond dans sa lumière…
Il sera temps demain pour un nouveau chemin
Il est l’heure de dormir maintenant,
Les étoiles dans le ciel sont toujours là-haut,
Et je préfère laisser courir le vent dans tous les temps
En écoutant ses battements…
Faîtes de beaux rêves.
Demain il sera temps écrit l’enfant
Je dois apprendre ma récitation, celle de Jacques Prévert, qui dit :
« Il dit non avec sa tête, il dit oui avec son cœur »
Alors comme disent les grands : « …chaque chose en son temps… »
…tu n’es qu’un enfant ».
3 avril 2017
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<div>@bagayaga,</div><div>
c’est à la suite du jeu avec des bulles fait avec un enfant, que j’ai écrit celui-ci en 2015…
les bulles …
Laissez moi en toute humilité
être votre libellule en transparence
pour remettre la palette de couleurs
dans ce coeur
à qui se doit d’être en vie
et que les heures s’égrènent
au bien divin
dans un nouvel élan de bonheur partagé
pour un présent où s’inscrit
un possible et paisible futur
où comme des enfants fous d’innocence
nous pourrons faire éclater ces bulles de savon
aux couleurs multiple
comme dans un kaléidoscope de bonheur retrouvé
où s’emmêlent et s’entremêlent une douceur
évoquée partant dans des vents de liberté retrouvée
peut être par ce qu’il existe
des rencontres impropables
qui pourtant peuvent unir une vie
et comme sceller de nouveaux accords secrets
dans un renouveau merveilleux
Soyez votre Magicien
où l’on peut se dire :
« Allez viens la Vie, on va danser »
septembre 2015
😉
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Vous êtes trop fort
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Hey Francoun ! Merci^^ N’hésites pas à partager! Je veux lire plein d’histoires^^
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@bagayaga merci pour la bienvenue. Et pour ce conte en poème. Je suis pas fortich mais celui-là je l’aime bien.
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C’est le récit de la plus grosse carotte de l’histoire des Contes.
Dans un royaume random, vivait un empereur qui aimait carrément la sappe. Il changeait de vêtements toutes les heures askip. Et il paradait méga happy d’être sappé de ouf.
Un jour, deux escrocs de haut-vol, lui proposèrent une toilette magique. Que seul, les individus les plus intelligents, étaient en capacité de voir.
L’empereur estima qu’il serait bon d’avoir un outil, fiable, pour discerner le bon grain de l’ivraie. Qui étaient les plus cons autour de lui? Et l’état de connerie du peuple? Qui pouvait s’avérer trop intelligent pour vivre ? Ou pas assez?
Les préparatifs débutèrent dans les ateliers royaux. Nos deux compères jouaient avec brio le ballet de la création sous les yeux médusés des vassaux,bien incapables de voir un quelquonque habit.
L’empereur tout à fait impatient, se rendit jauger l’avancement de l’ouvrage tant attendu…
Il ne vit absolument Rien. Quetchi. Walou.Nada.Niente.Res.
Alors il décida de feindre lui aussi,un dirigeant incapable et sot,cela aurait été la porte ouverte à la mutinerie !
Ses courtisans firent de même. Personne ne voulant avouer être un imbécile.
Puis les escrocs vinrent habiller le roi. Qui se rua prendre un bain de foule. Pressé de voir qui voyait l’habit pour de bon. Qui était vraiment intelligent dans le royaume.
Tout le monde feint à tour de bras de voir la tenue du monarque.
Puis, tout de même, une personne, une petite personne, un enfant, se mit à gueuler : -“Mais il est à oilp le roi!”
Puis dans un élan unanime, tous les sujets reconnurent que oui, le roi était bien nu. Nu comme un ver. Devant son peuple. Et passablement ultra con.
L’empereur continua son tour, incapable de reconnaître son fail. Les escrocs étaient déjà loin, les fouilles pleines de grisbi.
Et cette petite leçon nous parvint à travers les âges.
Les plus intelligents d’une société sont-ils ceux qui suivent le moove pour passer crème ? L’orgueil fait-il perdre beaucoup de point de Q.i?
Si on est morale et honorable on est plus con? Pourquoi avons-nous besoin de nous fondre? Pourquoi seul un enfant à les couilles de dire que le pelo est à poil?
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@bagayaga arf, je dis bien la vérité mais c’est très très très mal pris. Alors maintenant pour pas dire de mensonges diplomatiques, je me tais parce que j’aime pas mentir. Je sers bien fort les lèvres en priant pour que la personne ne me demande pas : et toi t’en pense quoi?
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Le voleur de hache
Un paysan ne retrouvait pas sa hache. Il soupçonna alors le fils de son voisin de la lui avoir prise et se mit à l’observer. Son allure était typiquement celle d’un voleur de hache. Son visage était celui d’un voleur de hache. Les paroles qu’il prononçait ne pouvaient être que des paroles de voleur de hache. Toutes ses attitudes et tous ses comportements trahissaient l’homme qui a volé une hache.
Mais, par hasard, en déplaçant un tas de bois, l’homme retrouva sa hache. Lorsque le lendemain, il regarda de nouveau le fils de son voisin, celui-ci ne présentait rien, ni dans l’allure, ni dans le comportement qui évoquât un voleur de hache.Parabole∗ chinoise attribuée à Li Yukou (IVe siècle avant notre ère) Orient, Les philo-fables, Michel Piquemal, Albin Michel © 2008
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