Etat de choc !

  • bagayaga

    Membre
    7 mars 2020 à 20 h 05 min

    American Virgin, Big Fish, Donnie Darko.

    Pareille à l’adolescence. Qui m’ont bien faite vriller^^

  • Membre Inconnu

    Membre
    7 mars 2020 à 20 h 15 min

    @LoLo le grand bleu !! je l’ai oublié mais il m’a marqué aussi et la musique aussi !

    @bagayaga ha oui “big fish” et bcp des films de Burton d’ailleurs !

  • bert

    Membre
    7 mars 2020 à 20 h 42 min

    @bagayaga À propos de Terry Gilliam, j’ai été très marqué par “Brazil” quand j’étais ado, et ça me poursuit. Un univers extrêmement marquant et une critique du totalitarisme puissante, entre peur, cauchemar et comédie… Tiens rien que d’en parler j’ai en envie de le revoir encore !

  • lolo

    Membre
    7 mars 2020 à 21 h 26 min

    J’ai oublié

    V

    Edouard aux mains d’argent

    et tant d’autres.

    powder peut sembler niais mais il me bouleverse chaque fois jusqu’aux larmes.

  • cinematographe

    Membre
    7 mars 2020 à 22 h 07 min

    C’est une question qui m’est très difficile de répondre, puisque je ne pense pas qu’il y ai eut un choc émotionnel d’un film en particulier, qui recouvrirai tous les autres dans mon souvenir ?

    Entre mes 24 et 26 ans quand j’étais encore studieux, inscrit à une école de cinéma à Paris, j’ai ingurgité une quantité astronomique de films de tous horizons, de toutes époques, et presque de tous pays ou origines culturelles, puisque je n’avais rien d’autre à faire de mon temps libre à l’époque …

    Les années qui suivirent, je m’intéressais de plus en plus à l’art moderne et contemporain, à l’histoire du cinéma d’avant garde et expérimental, au détriment du cinéma classique de films de fictions, ou de divertissement tous genres confondus …

    En revanche je pense pouvoir répondre plus simplement et indirectement au sujet ici , en évoquant mes premiers souvenirs de cinéma ?

    J’ai vécu avec mes parents et ma soeur à la petite enfance, au Venezuela en Amérique Latine, ce qui me laisse des souvenirs assez disparates, des flashs éparpillés, dont certains sont issus d’expériences de cinéma.

    Pour aller vite sur le commentaire, j’ai réminiscence de certains films, ou plus exactement certaines scènes de films, ou séquences en particulier, que mes parents m’emmenaient voir chaque semaine, soit au “Roxy” un cinéma de quartier dans le centre commercial de Ciudad Bolivard, ou bien au “Drive In” sur une immense toile de projection en pleine air, et à la belle étoile.

    Je devais avoir cinq ans il me semble ?

    Un camarade de classe de maternelle qui me tend son nouveau jouet, une caméra visionneuse Fisher Price, qui permettait de regarder au travers, des petits films d’animations Disney, en tournant la manivelle !

    Mes parents m’appelle pour venir à table, et me décoller de ma série télévisée “El monstruo del espacio”, un genre de série fantastique et de space opéra japonais, équivalent de “bioman” ou autre “spectroman” diffusé en Europe à la même époque …

    Ma nounou Carmen, une grosse négresse (pardon pour l’expression un peu crue ici, j’essaye de me replacer dans le contexte de ma petite enfance) très catholique, regarde beaucoup de tele novelas, et répond par un “Bonjour” au pasteur de la TV, à l’ouverture d’une émission de télé évangélisme ?

    Je ne sais pas si c’est un souvenir réinterprété ou reconstitué à priori, mais j’ai bien gardé le souvenir de m’être fait la réflexion à l’époque, que cela n’avait aucun sens de répondre la pareille d’un “Bonjour” à haute voix, à image électronique de quelqu’un qui n’existait pas, si ce n’était virtuellement, sur le tube cathodique de l’écran de télévision ?

    C’est un peu difficile de déméler le vrai souvenir du souvenir reconstitué par le roman familial ?

    La nature luxuriante était omniprésente, même en pleine ville des bananiers surgissaient de partout, laissaient parfois à peine deviner les devantures des villas, des pavillons, des anciennes résidences coloniales …

    Des perroquets et des iguanes sautaient sur les murs …

    Un jour j’ai découvert un chien mort dans le jardin des voisins, une multitude de mouches tournaient tout autour…

    De grandes pompes à pétrole chantaient une drôle de litanie, et semblaient détacher des silhouettes de dinosaures, mordant la terre pour d’obscures raisons ?

    Les voitures américaines avec l’air conditionné ?

    Il y avait de la climatisation partout, dans les supermarchés, les espaces de bureaux, les immeubles administratifs, les salles de cinéma ?

    Les sorbets de glaces pilée, parfumés de jus de fruits aux couleurs vives, étaient vendus sur le trottoir …

    Les venezueliens rafolent des films français, projetés en version originale, sous titrée en espagnol !

    Mes parents m’ont emmené voir tous les films de Louis de Funes, ou du moins un certain nombre, où il excelle dans son rôle de clown baroque et loufoque, anime des comédies surréalistes, dont les dimensions les plus fantastiques éveillent ma curiosité.

    Certains anciens films d’animation Disney étaient également au rendez-vous, reprojetés à nouveau sur grand écran, les classiques du genre, les meilleurs comparativement aux productions actuelles très lisses, très propres, très plates, très consensuelles, pour coller à un meilleur marketing , et plaire à un plus vaste public molasson de nos jours ?

    Je n’ai conservé aucun souvenir de films, dans leur continuité narrative, ou leur entièreté dramaturgique, seulement des fragments esthétiques, des flashs de couleurs ou de saveurs ?

    Il y a une vague histoire d’un garçon qui adopte un hippopotame rose et puis c’est tout ?

    Il y a Alice aux Pays des Merveilles, qui rencontre le chat fou bariolé dans la forêt, il apparait et disparait comme un fantôme à sa guise, saute sur les branches complètement zinzin, ses propos n’ont ni queue ni tête ?

    Un peu plus tard, une chenille fume un narguilé, et souffle des lettres de couleurs, qui s’envolent à tour de rôle, puis se transforme elle même en papillon ?

  • bert

    Membre
    7 mars 2020 à 22 h 33 min

    @Cineaste Belles images ! Mon premier grand souvenir de cinéma c’est Disney aussi, avec Bambi. C’était la première fois que je voyais un drame au cinéma. Le 2e souvenir c’est les Aristochats, le graphisme m’a marqué, le reste aussi. Pour moi c’est son tout meilleur car la musique est fantastique.

  • bert

    Membre
    7 mars 2020 à 23 h 18 min

    @zelos Bambi c’est vraiment un souvenir spécial. Pas larmoyant pour moi mais vraiment comme une prise de conscience. C’est peut-être la première fois que je voyais !a mort au cinéma et l’une de mes premières approches de la mort tout court. Assez glaçant. Je l’analyse comme ça aujourd’hui, c’est ce que j’ai ressenti à l’époque.

  • malvina

    Membre
    7 mars 2020 à 23 h 33 min

    Je trouve en effet que la scène de mort de la mère de Bambi a quelque chose de particulier qui est glaçant. Un côté inéluctable malgré tous les efforts de la mère, comme la mort à laquelle nous ne pourrons nous même échapper.

    J’ai beaucoup aimé l’analyse que Link the Sun a faite plan par plan dans son point culture sur les méchants Disney. On se rend compte qu’il y a beaucoup de travail derrière ces quelques secondes.

  • marco

    Membre
    10 mars 2020 à 22 h 44 min

    L’empathie des HPs dans un film d’action

    https://youtu.be/3vhA6heweUE

  • bagayaga

    Membre
    11 mars 2020 à 17 h 44 min

    Dumbo, c’est marrant je l’ai regardé hier soir la version de Burton! Je ne m’en souvenais plus trop bien. Et au cours du film tout m’est revenu. Et oui très marquant.

    Je vais rajouter

    Extrêmement fort et incroyablement près de Stephen Daldry.

    Et 8th Wonderland de Nicolas Alberny.

    https://m.youtube.com/watch?v=N5AHbcEPVYY

    https://m.youtube.com/watch?v=tPSaUmb1EwA

Page 2 sur 4

Connectez-vous pour répondre.