Cinéma
Groupe public
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Tout le cinéma indépendant, d’auteur, mainstream… 🎥 Bref, vos films préférés. Ou vos navets chéris, pourquoi pas ? 😉
Etat de choc !
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Spontanément, quel film citeriez-vous qui vous aurait mis une telle gifle que vous pourriez vous en souvenir toute votre vie ? Un choc positif ou pas, mais une expérience cinématographique très intense ? Pour ma part, je suis allé voir “Le voyage de Chihiro” à sa sortie, attiré par les bonnes critiques et par la curiosité car je ne connaissais ni l’univers manga ni la culture japonaise. Je ne m’attendais pas à ça ! Je suis resté trois jours sur un nuage, complètement submergé par la beauté et la poésie de cet univers, plus rien ne pouvait m’atteindre. Je découvrais Miyazaki et je suis fan depuis. Aucun autre film, même les meilleurs que j’ai pu voir, ne m’a fait un tel effet…
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Un seul film c’est peu, mais là comme ça je pense que c’est Seul contre Tous, premier film de Gaspard Noé, qui m’a le plus choqué. Je n’ai pas aimé ses autres ensuite, mais ce premier long métrage est d’une tension qui m’a vraiment marqué le premier coup, avec l’impression de s’être confronté au plus près des pensées d’une personne en train de sombrer, un boucher au chômage dans la france des années 80.
le documentaire m’ayant le plus marqué est The Act of Killing: le génocide impuni, tournée en Indonésie. je n’en dis pas plus, voyez-le, ça vaut vraiment le coup de se poser 3 heures jusqu’à la fin.
je rajouterai Inland Empire (vu une seule fois au cinéma, souvenir indescriptible que je veux garder ainsi), et puis tant qu’on y est Eraserhead, Elephant man, Freaks, Tetsuo, Videodrome, Orange mécanique, Taxi driver, Les diables…tous ces films ont été des chocs visuels, sonores, et cinématographique qui resteront ; je dois en oublier quelques uns dans le lot.
(et oui on est clairement moins dans la force onirique des films de Miyazaki, qui m’ont marqué aussi… mais pas choqué comme ces films qui abordent effectivement des thématiques plus crues, plus brutales, la violence, le corps, le monstre… choc désagréable donc, mais pas négatif pour autant, bien au contraire: ces œuvres, en nous mettant face à l’autre dans ce qu’il a de plus éloigné de nous – de par sa situation sociale, ses perversités ou sa pathologie – nous font vivre d’intenses expériences d’altérité qu’on ne pourrait pas forcément avoir autrement, pour toujours à la fin nous rendre compte de ce qui nous rend profondément semblables à tous ces personnages détraqués.
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Un seul film c’est peu, mais là comme ça je pense que c’est Seul contre Tous, premier film de Gaspard Noé, qui m’a le plus choqué. Je n’ai pas aimé ses autres ensuite, mais ce premier long métrage est d’une tension qui m’a vraiment marqué le premier coup, avec l’impression de s’être confronté au plus près des pensées d’une personne en train de sombrer, un boucher au chômage dans la france des années 80.
le documentaire m’ayant le plus marqué est The Act of Killing: le génocide impuni, tourné en Indonésie. je n’en dis pas plus, voyez-le, ça vaut vraiment le coup de se poser 3 heures jusqu’à la fin.
je rajouterai Inland Empire (vu une seule fois au cinéma, souvenir indescriptible que je veux garder ainsi), et puis tant qu’on y est Eraserhead, Elephant man, Freaks, Tetsuo, Videodrome, Orange mécanique, Taxi driver, Les diables…tous ces films ont été des chocs visuels, sonores, et cinématographique qui resteront ; je dois en oublier quelques uns dans le lot.
alors on est clairement moins dans la force onirique des films de Miyazaki, qui m’ont marqué aussi, mais pas choqué comme ces films, qui abordent effectivement des thématiques plus crues, plus brutales, la violence, le corps, le monstre… question de sensibilité, et choc désagréable peut-être, mais que je ne considère pas comme négatif pour autant, bien au contraire. ces œuvres, en nous mettant face à l’autre dans ce qu’il a de plus éloigné de nous – de par sa situation sociale, ses perversions ou sa pathologie – nous font vivre d’intenses expériences d’altérité qu’on ne pourrait pas forcément avoir autrement, pour toujours à la fin nous faire prendre prendre conscience de ce qui nous rend profondément semblables à tous ces personnages détraqués.
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Oui un seul film c’est peu. Si je devais en citer un autre, au rayon personnages détraqués aussi, ce serait “Shinning” avec Nicholson… Gros choc, je l’ai vu en DVD, jamais au ciné, et je l’ai regardé de jour. Heureusement pour moi !! J’ai adoré mais j’ai eu la musique dans la tête pendant deux jours et deux nuits ensuite (pas facile de dormir…), et la musique de ce film, avec les images et le reste, c’est une expérience vraiment flippante ! Je ne sais toujours pas si j’arriverais à revoir ce film un soir, j’ai jamais essayé !
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“One Flew Over the Cuckoo’s Nest”
“The Shawshank Redemption”
“Good Will Hunting”
“The Color Purple”
En français, c’est “Vol au-dessus d’un nid de coucou”, “Les Evadés”, “Will Hunting”, et “La Couleur pourpre”.
Y en a d’autres évidemment, mais ce sont ceux qui me sont venus à l’esprit là.
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En négatif : il faut sauver le soldat Ryan… Ce film m’a traumatisé ! Alors que j’étais fan de films d’horreur, mais la réalité de la guerre m’a vraiment effrayé !
En positif : un beau trio : joker le plus récent, fight club et la vie est belle de Benigni.
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hou la ! alors “festen” , “vol au-dessus d’un nid de coucou” , ” american beauty” , “das experiment” … entre autres !
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Anonyme
Membre7 mars 2020 à 11 h 22 minLe film qui m’a le plus “marquée” dans le domaine de la peur, c’est “l’Exorciste”.
Côté champs émotionnels bouleversés, c’est le “Le vieux fusil”.
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Out of Africa pour l’esthétique
L’amant pour la voix de Jeanne Moreau
Midnight Express pour la musique
Le grand Bleu pour l’histoire, la beauté, la musique et cette symbiose avec le personnage
Powder pour le message
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Anonyme
Membre7 mars 2020 à 18 h 44 min@Bert : Je réfléchissais aux “pourquoi” ces deux films se sont imposés immédiatement et sans appel ; je n’ai pas eu à chercher, à fouiller, à réfléchir.
Je suis incapable de me rappeler quel âge j’avais lorsque j’ai visionné seule le film “l’exorciste”, mais rien que d’y repenser, je peux encore ressentir cette “atmosphère” extrêmement perturbante et effrayante qui m’a clouée de Peur.
Ai mis beaucoup de temps pour m’en remettre ; les images semblaient être “gravées” dans ma mémoire et pendant une longue période, j’avais peur de m’endormir et je gardais la lumière allumée toute la nuit.
C’est un film dont je n’ai jamais oublié, certaines scènes particulièrement choquantes, non seulement en raison de leur impact “visuel” mais aussi pour leur impact “psychologique” très très perturbant, presque traumatisant pour le “et si…”
Bien entendu, je n’ai regardé ce film qu’une seule fois et jamais je ne pourrais le visionner une seconde fois.
Ce qui est aussi le cas du film “Le Vieux Fusil”. C’est le seul film qui ait “réussi” à impacteur intensément et dans leur totalité, les extrêmes de mes champs émotionnels. Ce film m’a déversée de tous mes états et m’a plongée dans une profonde tristesse.
C’est le film qui m’a le plus “marquée” de par la palette d’états dans lequel il m’a entraînée et fait “tomber”.
Ils sont à part dans ma mémoire…car lorsqu’une histoire filmée m’emporte et me captive, je m’y replonge toujours au minimum une fois.
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