Déjà merci beaucoup pour le compliment 🙂
Je ne sais pas, mais le concept de “ratisser large” laisse une porte ouverte aux personnes dangereuses de mon point de vue. Après ce n’est que mon expérience mais je suis dans une phase, où, après de nombreux échecs, mon introspection me dit que ne pas poser de limites d’emblée devient contre productif. Je pense que notre état d’esprit optimiste nous rend plus résistant à la douleur (même si on souffre plus ! Ce qui est paradoxal !). On cherche toujours à comprendre, aider, trouver des circonstances atténuantes. Je veux rompre ce cercle vicieux.
Sujet qui n’a pas l’air d’avoir rapport, mais si en fait: je suis en ce moment même dans le cadre de mon métier (responsable éducative) intégrée à une formation/groupe de travail sur les violences sexuelles et une étude nous a été exposée et a attiré mon attention:
Les victimes de ces violences ont 2 fois plus de chances d’en être victimes à nouveau dans leur vie. C’est bien qu’il n’est pas que question de bonne ou mauvaise pioche. Notre comportement quotidien ainsi que notre état d’esprit est déterminant quant aux personnes que nous attirons et par lesquelles nous sommes attirés.
Je me refuse à ce que ce destin soit immuable mais j’ai beaucoup de mal à déterminer les signaux que j’envoie qui laissent entrevoir la faille.
J’ai toujours fini par gagner le combat face aux PN mais cela a été au prix d’une perte de temps et d’énergie conséquentes.
A 38 ans, je voudrais enfin connaître ce que c’est que le respect mutuel, l’empathie partagée et l’absence de pressions en tout genre. (Cette phrase tombe dans le mélodramatique et je déteste ça !!!) 😆😆😆