Homme idéal

  • berenice

    Membre
    15 juillet 2018 à 12 h 21 min

    Voilà @ver1976, tu m’as démasquée. J’ai en effet préféré les grasses matinées à l’élevage de petits humains. Beaucoup moins fatigant.
    Blague à part, merci de partager ton ressenti, qui est, selon ce que je constate, plutôt largement partagé sur la planète…
    Tu dois donc être l’homme idéal de nombreuses femmes !

  • ver1976

    Membre
    15 juillet 2018 à 12 h 44 min

    oO
    @berenice : Moi ? L’homme idéal ? Les “nombreuses femmes” ne doivent pas être au courant de çà, alors ! ^^

  • Membre Inconnu

    Membre
    15 juillet 2018 à 21 h 59 min

    @foliedouce
    J’aime bien votre introduction… Pas condescendante pour deux sous, non, non.
    Si je disais de mon côté, que les discussions avec des lectrices de Voici ou de Modes & Travaux m’indisposent, j’aurais droit à juste titre à un tollé. Mais bon, comme vous le dites, je cumule les crimes d’être blanc, hétéro et d’être pourvu d’une zigounette…

    Vous vous trompez, c’est vous qui avez tous les droits.

    Le « moi je » est à la mode chez tout le monde : tout se communautarise. Fut un temps où les hommes essayaient de mettre en place un idéal républicain où le « moi je » cédait devant l’intérêt général ou si vous préférez, s’effaçait au nom du « vivre ensemble ». Ce que vous ne semblez pas comprendre c’est qu’à ce rythme-là, à force de mélanger des combats futiles avec ceux qui valent vraiment la peine, nous courrons vers un morcellement de la société. Pendant que les minorités défendent égoïstement leur bout de gras, les politiques font ce qu’ils veulent ou maquillent leur incompétence…

    Je ne parle même pas des crispations de plus en plus fortes de la majorité silencieuse. Crispations qui, un jour, se traduiront immanquablement en violences.

    Il y a eu des époques (lire le message de @bérénice), des cultures, des civilisations où les femmes avaient une place centrale. Au dix-neuvième siècle, sous le joug du puritanisme anglo-saxon, le statut des femmes à fortement régresser. La France a emboité le pas du monde anglo-saxon, parce que Napoléon III et la bourgeoisie de l’époque voulaient un rapprochement culturel avec l’Angleterre de Victoria (très bigote et très misogyne).

    Les femmes ont eu des rôles ou des pouvoirs plus ou moins marqués selon les périodes de l’Histoire. Je vous invite à lire l’excellent ouvrage d’Alain Decaux intitulé, « Histoire des Françaises », (ed. Perrin). Vous pourrez vous rendre compte de plusieurs choses ; notamment que reconnaître le rôle des femmes, c’est d’abord ne pas les oublier or je suppute que vous êtes ignorante de leur Histoire.

    Beaucoup de reines et d’autres femmes ont eu des rôles politiques de premier ordre (Marie de Médicis, Olympe de Gouge, Charlotte Cordais par exemple). Vous conviendrez que ces figures restent ou sont restées plus ou moins dans l’ombre de l’Histoire et des hommes, et qu’elles sont de toutes façons des exceptions qui ne font que confirmer la règle. Sauf que l’Histoire que vous connaissez, c’est celle instituée par les politiques et les intellectuels de l’après-guerre. Il s’agit d’une Histoire tronquée, fortement iconisée, mythifiée et idéologique. Les programmes scolaires de cette période se sont focalisés sur l’antiquité, la féodalité, la révolution (Jacobine), les deux guerres mondiales, la guerre froide et la décolonisation. Cette grille de lecture interdisait de s’attarder sur les précédents régimes et leurs différentes figures. En fait, tout ce qui était hors vingtième siècle, n’avait pas grand intérêt exception faite du point de vue jacobin de la révolution de 1789…

    Je vous cite : « Mon ami ne proteste pas contre un anglicisme, mais contre l’idée qu’il s’en fait. ».
    Si je suis la logique loufoque de votre phrase, votre ami proteste contre lui-même… De toute façon, il n’y a aucun lien entre les « ressentis » et la raison. Je vous suggère de relire vos cours de philo (Platon, Descartes, Spinoza…).

    Plus loin vous dites que mon argument sur la névrose américaine ne tient pas, mais vous ne dites pas pourquoi. Je vous rappelle qu’au-delà de l’esclavage, les États-Unis ont mené une politique ségrégationniste jusqu’au milieu des années 60. A la différence de tous les autres pays qui ont pratiqué la traite négrière – exception faite de l’Afrique du Sud. Par ailleurs, l’esclavage a été pratiqué et subi par tous les peuples, toutes les civilisations, toutes les races. Donc oui, comme vous dites, « on y était » : On a été de chaque côté du fouet.
    N’en déplaise à vos idées reçues.

    Que l’on parle des luttes raciales, de la reconnaissance des préférences sexuelles ou des droits des femmes tout s’accorde au diapason de la culture américaine. Culture américaine qui fut longtemps raciste (extermination des indiens, ségrégations des noirs) et puritaine Ce qu’il se passe à l’heure actuelle n’est rien moins que la contrition de cette culture… et comme cette culture domine économiquement le reste du monde, nous devons subir ses névroses.

    Vient ensuite des propos confus de votre part. Il semble à vous lire que seules les personnes directement concernées par un sujet peuvent en débattre. Mais je vous le demande, qui êtes-vous pour décréter qu’un tel ou une telle est concernée ou pas ?

    Vous spéculez ensuite sur mon mépris et ma haine… Je vous assure, vous surestimez mes sentiments à votre endroit. Si vous avez ce « ressenti », vous n’avez pas pour autant « raison » (CQFD). Je serais tenté de vous dire que si vos impressions vous malmènent, c’est votre problème.

    Vous dites aussi : « […]vous, l’homme blanc hetero cisgenre qui cumule absolument tous les privilèges de cette planète, il est évident que vous savez mieux ! ». Excusez, mais n’est- ce pas un peu raciste et, un peu misandre comme propos ?
    Vous parlez du café du commerce que vous snobez, mais c’est à se demander si vous ne fréquentez pas celui des Sports tant vos propos sont médiocres…

    Vous mettez tous les mouvements et tous les combats féministes dans le même panier, c’est ça le problème (en cela vous ne valez pas mieux que ceux que vous fustigez). Se battre pour l’égalité des salaires c’est une lutte noble et légitime ; pousser des cris d’orfraies pour que le dictionnaire français se féminise, c’est juste ridicule. Il y a des féministes qui ne détestent pas les hommes ou qui font preuve de bon sens. Certains mouvement sont courageux (Femen russes ou ukrainiennes) et d’autres complètement démagogues (Femen françaises), mais la nuance et le sens critique ne semblent pas être votre fort…

    Condamner le politiquement correcte et la moraline, c’est le cheval de bataille de gens appartenant à toutes les sensibilités politiques, exception faite de certains libéraux (de gauche ou de droite, la bêtise transcende les partis). Ce sont eux qui, en l’occurrence ont instauré le terrorisme intellectuel dont vous essayer maintenant d’utiliser les grosses ficelles.

    Allez, encore un petit effort et vous atteindrez le point Godwin (la logique étant : parti nauséabond, droite, extrême droite, Vichy, Pétain, fasciste, nazi, Hitler)…

  • Membre Inconnu

    Membre
    23 juillet 2018 à 19 h 10 min

    Pour moi, l’homme idéal c’est Loïc Nottet (ptn je passe tellement pour une fangirl mais le pire c’est que je le connais vraiment, donc je suis pas là en mode c’est un dieu blablabla -je m’enfonce je crois- breeef! XD)

    L’homme idéaaaaaaaal c’eeessstttttt… Quelqu’un d’hypersensible, intense, aussi beau à l’intérieur qu’à l’extérieur, qui est différent, non conforme, intelligent, drôle, qui s’en fout du regard des autres, qui aime pour ce qu’on est et qui aime nos défauts parce que c’est ce qui nous rend NOUS, qui soit toujours spontané, avec une âme d’enfant. Qui voit le monde différemment aussi. Ca c’est mon homme idéal hehe
    J’ai besoin de quelqu’un qui me comprenne en un seul regard et qui sache ce que je ressens.

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