Fermeté mais pas Fermeture

  • Membre Inconnu

    Membre
    13 octobre 2020 à 23 h 07 min

    Malheureusement quand on subit ce genre de traumatisme, on devient une victime. Tu ne veux pas être cette victime, tu ne veux pas être défini par ce mot, pourtant ça t’emporte et conditionne ta vie par bien des aspects.

    Ensuite tu en parles et tu espères secrètement que tu vas déposer ton fardeau de honte et de culpabilité, mais ça ne fonctionne pas comme ça. Il faut considérer la victime en toi, pour pouvoir avancer, ne serait-ce que pour la mettre à distance.

    C’est particulièrement difficile, surtout si tu as une amnésie traumatique, qui t’empêches de te souvenir de la totalité de l’agression.

    Alors soit, les agresseurs, les violeurs, les pervers narcissiques ne devraient pas être définis par un simple mot, ce sont des êtres humains, mais la différence entre bourreau et victime c’est que le bourreau a fait un choix qui l’essentialise comme bourreau , la victime, elle, n’a rien demandé.

  • Membre Inconnu

    Membre
    16 octobre 2020 à 12 h 01 min

    @aurore

    Il y a une chaîne de violences, une personne déséquilibrée qui croyant se rééquilibrer déséquilibre le suivant, etc… mais la violence n’amène pas l’équilibre, ce n’est que de la souffrance.

    Y a t’il des gens qui créent le déséquilibre original comme disent certains ou est ce tous les participants qui en rajoutent une louche au passage, comme disent d’autres, ? Ou les deux ?

    Peut on rétablir l’équilibre, de façon à ce qu’il n’y ait aucune violence ?

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