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lieu bleu
En tant qu’embêteuse de personnes porteuses du pseudo- Max’ je crée finalement un lieu bleu — n’est-ce pas la couleur de la grammaire ?
(évidemment je ne souhaite pas embêter surtout qu’il m’a rendu service)Le bleu est aussi la couleur de la sagesse & c’est par le verbe qu’on la transmet. La langue peut faire obstacle ou au contraire servir la sagesse·
Le bleu est aussi la couleur de l’autisme avec son rapport | au sens & au langage | particulier…Donc ici on consigne toute linguistique atypique, travaux comme ceux de l’ouvroir de grammaire potentielle (OUGRAPO), des notations inhabituelles ou innovantes, méta-logique de la langue ou du vocable, typographie, morphophonologie, translittération des alphabets etc ; on l’explique & on en discute s’il y a lieu.
On évite ce qui est stérile & clivant comme de débattre de l’écriture inclusive ou de l’orthographe de ˣnénupharˣ…
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Commençons donc avec ce qui embête : ma manière hyper-rationnelle d’utiliser les temps & les modes au point de refuser la concordance des temps qui n’est pas logique & autres | normes & coutûmes | injustifiées·
exemple : ‾Disons que le terme ˜coloré˜ est inadéquat en regardant cette fresque.‾ VERSVS ‾Disons que le terme ˜coloré˜ soit inadéquat en regardant cette fresque.‾
Dans quel cas j’emploie la première version ?
Quand j’affirme par la présente phrase qu’il y a(it) exagération avec cet adjectif.Dans quel cas j’emploie la seconde version ?
Quand je n’affirme pas par la présente phrase — ce qui n’implique pas que ce ne soit pas le cas ni que je pense que ce ne le soit pas — de mauvais choix pour ce terme.Tout simplement.
‣ Dans la 1 je dis @ la fois ce que je dis & que je le dis, c’est doublement informatif en parallèle, on pourrait sortir la proposition subordonnée relative pour l’exprimer toute seule en tant que proposition principale
‣ alors que dans la 2 je n’indique rien sur la situation actuelle, je ne fais qu’annoncer une sous-phrase totalement imbriquée dans la première qui ne peut exister indépendamment.En Langue Phare d’Universalité (traduction du nom de la langue de mon invention en la troisième époque plus précisément fin de collège) on peut donner quantité de détails & subtilités sémantiques donc doit se poser beaucoup de questions avant de composer une phrase. Par certains aspects elle se rapproche d’une langue ”mathématique‟ comme le Lojban.
Ce sont ses principes que j’ai tendance @ reproduire en Français même si notre bonne vieille langue me limite trop pour y aller totalement.[segment]
Évidemment n’hésitez pas @ me poser des questions sur autres points·˙
À suivre…
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