[olbius]

“Nous savons où un changement se produit dans le cerveau et comment certaines personnes peuvent contourner ce changement. C’est un marqueur de résilience”, explique Suarez-Jimenez. “Savoir ce qu’il faut rechercher dans le cerveau lorsqu’une personne est exposée à un traumatisme pourrait faire progresser considérablement les traitements”, affirme le chercheur.

Source : Comment les traumatismes psychologiques changent le cerveau

[Membre Inconnu]

Methylation chromosomique

Impact des neurotransmetteurs lorsque l’adrénaline et le cortisol cèdent le pas aux morphine-lire et ketamine-like. ➡️ modification du fxnt du circuit mémoire, d’où mémoire traumatique.

Pour traiter les conséquences…

1- prévenir: violence en genenral, intra familiale, sociétaire, intra entreprise etc

2- être à la page des recherches: étudier le fxnt du cerveau permet de déterminer des voies de réparation qui. ´enrichiront pas l’industrie agri-pharmaceutique ; Bayer a racheté Monsanto. 😉

Donc EMDR, régulation émotionnelle, yoga, boxe etc. Cf Dr B. Van der Kolk «Le corps n’oublie rien »

Et sa conférence de présentation lors de la parution en français du bouquin : van der Kolk YouTube (45 mn )

Je ne sais pas poster de lien ici. Nouvellement arrivée…

[Membre Inconnu]

Pour voir régulièrement et traiter régulièrement des traumas (et stress post-traumas) je dirais qu’il faut faire attention avec les médicaments. Il peuvent être une béquille ou une aide mais jamais seul.

Certes, lors des évènements traumatiques il y a un chamboulement hormonal et surtout un apprentissage particulier qui se forme. Qui je pense pourrais biologiquement se traduire par une construction neurologique particulière.

Mais dans mes observations en séances, ce qui ressort le plus c’est une rupture non consciente de communication entre le corps (et la biologie normale) et la conscience. Ce qui entraîne une réponse comportementale “anormale” pour l’individue.

L’imagination n’est-elle aussi qu’un support. C’est le support pour la personne de comprendre quelque chose de très abstrait.

Personnellement dans mon protocole de travail, face à cette problématique, juste rétablir une communication saine entre les deux parties suffit à éliminer les troubles. Ca peut prendre du temps et demander des répétitions, mais une fois cette communication réapprise correctement les comportements gênants disparaissent sans se déplacer ou se manifester sous une autre forme. Qu’il y est déni de l’évènement ou non, que je connaisse l’évènement ou non.

[Membre Inconnu]

Et attention, se baser sur des théories pratiques tronquées, je dis bien “tronquées” et pas incomplète, est dangereux voire même nocif pour certains profil. Que ce soit pour l’EMDR, la PNL ou les médicaments.

Et pour le moment, dans ce que j’observe en séance, la majorité des personnes qui viennent me voir connaissent déjà leur solution et la méthode d’application de manière non consciente.