FĂ©minisme

  • PubliĂ© par Unknown Member le 27 janvier 2024 at 16 h 32 min

    Alors, aujourd’hui, sujet qui fâche.

    J’vais vous livrer mon sentiment Ă  propos du fĂ©minisme.
    Concernant ma partialitĂ©… je ne fais aucune apologie.
    Je ne prĂ©conise aucune dĂ©ontologie collective, en vertu d’aucune idĂ©ologie, aucune Ă©thique.
    Mais j’ai bel et bien un parti Ă  prendre, le miens.
    En l’occurrence, je crois que la nature est bien faite, et j’vois pas tellement l’intĂ©rĂŞt de lui inventer de nouvelles lois.

    La première personne a m’avoir parlĂ© de fĂ©minisme… elle s’appelait DĂ©sirĂ©e.
    Et vous n’avez jamais rencontrĂ© qui que ce soit qui portait aussi bien son nom.
    Aujourd’hui, cette personne a des bras gros comme mes jambes, et se fait appeler Monsieur.
    Et y’a assez peu de choses qui m’ont fait aussi mal de toute mon experience.
    Je considère que la terre a perdu l’ĂŞtre le plus fĂ©minin que j’ai connu.
    En fait, la définition même de ce mot.

    Moi j’ai jamais bien compris l’objet du fĂ©minisme.
    Faut dire que les femmes, très jeune dĂ©jĂ , m’ont toujours menĂ© au doigt et Ă  l’oeil.
    Et j’ai jamais saisi en quoi elles auraient besoin de biceps pour prĂ©tendre Ă  une diplomatie Ă©quitable.

    Je ne citerai pas son nom, mais pour introduire le propos, je vais vous parler d’un streameur.
    Musicien très talentueux, et philosophe à ses heures perdues.
    Qui animait des streams composition au piano / gouters philos.
    Un jour, quelqu’un est venu lui demander ” j’arrive pas Ă  conclure avec mon crush, je fais quoi ?”.
    Et tout naturellement, il lui a rĂ©pondu ” et bah tu l’embrasse, et ça passe ou ça casse !”

    Suite Ă  cette rĂ©ponse…
    -Il a été viré de sa boite.
    -Ses sponsors ont rompu ses contrats, il a du rendre son piano, son système son, sa table de mix, son ordinateur etc…
    -Il a été banni de façon permanente de sa plateforme de streaming.
    -Il a été lynché dans la rue à plusieurs reprises.
    -Et j’en passe et des meilleures.
    Pour avoir fait l’apologie du bisou.

    Alors, parait-il, que Brassens, à son époque, déjà, chantait la libération des mœurs et la fin du christianisme.
    Et lĂ … je les trouve pas super libĂ©rĂ©s nos mĹ“urs.
    On en est là. Une carrière détruite pour une incitation au bisou.
    Le mec a de l’humour, il a rebondit avec une vidĂ©o tuto ” comment j’ai choppĂ© ma femme”.
    Mais voilĂ .

    L’histoire est un peu plus complexe.
    On a apprit plus tard que la personne qui lui a posĂ© cette question Ă©tait membre d’une communautĂ© fĂ©ministe activiste.
    Aussi que le streamer en question Ă©tait visĂ© par d’autres chefs d’accusation.
    Cela dit, l’Ă©lĂ©ment dĂ©clencheur, et celui qui a Ă©tĂ© relayĂ©, mĂ©diatisĂ©, qui a fait rĂ©agir, c’Ă©tait cette apologie du bisou.
    Et c’est ce qui m’intĂ©resse.
    Vous comprendrez pourquoi.

    A partir de maintenant, attention ça va fâcher.
    On parle beaucoup de l’Ă©galitĂ© des sexes devant la loi.
    Ce que dit la loi, c’est que le viol est interdit.
    Il faut bien comprendre que c’est une mesure Ă  l’attention des hommes, en vertu de l’intĂ©gritĂ© des femmes.
    Les femmes reconnues coupables de viol… il n’y en a pratiquement pas, et surtout, y’a assez peu d’hommes pour s’en plaindre.

    Effectivement.. les hommes et les femmes, dans le jeu du désir, ne se comportent pas de la même façon.
    -La tendance masculine tend à vouloir consommer ce désir. Le congédier.
    -La tendance fĂ©minine tend Ă  vouloir le possĂ©der. L’entretenir.
    Généralement.
    C’est pourquoi je parle de tendance. Les nuances appartiennent Ă  chacun.

    Or, en interdisant le viol…. on permet aux femmes d’entretenir ce dĂ©sir autant que ça leur chante.
    Et l’on ne permet pas aux hommes de le consommer.

    Si on veut parler d’Ă©galitĂ© des sexes devant la loi…
    La seule mesure qui pourrait contrebalancer l’interdiction du viol… c’est l’obligation de copuler.

    Oui. J’entends Ă  quel point c’est violent de dire ça.
    Et je ne suis pas en train de vous dire que c’est une bonne idĂ©e.
    Mais les hommes sont privĂ©s de l’exercice de leur pouvoir sexuel…
    Ce qui n’est pas le cas des femmes.
    Et ce n’est pas Ă©quitable.
    La loi prend clairement le parti des femmes.

    C’est une mesure qui favorise l’exercice du pouvoir sexuel fĂ©minin.
    Et certainement pas une mesure Ă©quitable.
    (Encore une fois, je ne prĂ©conise pas l’institution lĂ©gale de l’obligation copulatoire.)

    En l’occurrence, aujourd’hui, on constate assez souvent des femmes qui se payent le luxe d’obtenir ce qu’elles veulent des hommes.
    En entretenant cette ambiguité sexuelle.
    Sans forcĂ©ment y cĂ©der, d’ailleurs.

    VoilĂ , je voulais qu’on fasse ce constat.
    Aujourd’hui, les femmes, mĂŞme les moins dĂ©sirables, ont un pouvoir sexuel presque total.
    Et les hommes…. attendent que les femmes daignent leur accorder leurs faveurs.

    Dans l’expression moderne du dĂ©sir, les femmes sont actives… les hommes sont passifs.
    A vrai dire, les hommes n’osent mĂŞme plus se payer la libertĂ© d’un bisou.

    Les hommes aujourd’hui, conscients de leur violence masculine, ont peur d’atteindre Ă  l’intĂ©gritĂ© des femmes.
    Et se chargent de beaucoup de retenue, de beaucoup d’hypocrisie.
    Personellement, je ne crois pas en la vertu de la restriction.
    Mais, la question c’est… les femmes ont-elles conscience de la violence fĂ©minine ?
    Se restreignent-elles ?
    La loi les prĂ©vient-elles de nuire Ă  l’intĂ©gritĂ© des hommes.
    Et avant d’en parler, on va faire quelques digressions.

    Je rencontre assez peu de gens.
    Principalement des jeunes femmes.
    Et je voulais vous partager mon regard sur ma génération.
    Comme je le disais sur le topic concernant l’entropie…
    Nos relations hommes-femmes sont un monstre d’anarchie.
    Et je ne parle pas de patriarcat ou de matriarcat… mais d’interdĂ©pendance.
    Plus rien ne justifie le vivre ensemble.
    Les jeunes femmes que je rencontre… elles s’amusent.
    Elles collectionnent les aventures, les hommes, comme des pokémons.
    Les hommes.. en revanche.. n’ont pas l’air de jouir d’une telle libertĂ©, d’une telle facilitĂ© sociale.

    Quand je suis en forme, je représente un bon parti, semblerait-il.
    Et c’est moi le bout de viande.
    Quand je me suis fait un instagram pour partager ma poĂ©sie… j’ai Ă©tĂ© choquĂ©.
    De voir ces femmes qui voulaient m’acheter, me possĂ©der, en m’offrant leurs faveurs.
    C’Ă©tait littĂ©ralement ça, un marchĂ©, j’Ă©tais un bout de viande, et elles avaient de la monnaie.
    J’ai cru que c’est un jeu qui me plairait…. et je n’ai jamais eu aussi tort.

    Assez vite, l’une d’entre elle est venue se jeter dans mon lit.
    Et avant de se mettre nue, elle m’a fait signer un contrat oral.
    Comme quoi c’Ă©tait juste du sexe, y’avait pas d’amour, pas de lendemain.
    Qu’elle tenait Ă  pouvoir se taper qui elle voulait quand elle voulait.
    Et qu’elle ne voulait surtout pas sacrifier ses petits caprices, cette facilitĂ© Ă  aller et venir vers qui bon lui semble.

    Elle Ă©tait super jolie.
    Mais c’Ă©tait tellement stĂ©rile.
    Tellement vide de passion, d’abandon.
    Que j’ai pas Ă©tĂ© foutu de me trouver de l’enthousiasme Ă  la dĂ©couvrir.

    Et ce n’est pas un cas isolĂ©.
    De cette gĂ©nĂ©ration, toutes les jeunes femmes qui partagent une certaine compĂ©titivitĂ© sexuelle…
    Sont des monstres de cynisme.
    Et, oui, il y a lieu de faire une généralité.

    Mon petit frère de 11 ans, s’est fait choppĂ© par mon père…
    En train d’acheter des nus Ă  une camarade de classe.
    On en est lĂ .
    C’est ça, la relation homme femme. Une monaie d’Ă©change.
    Qui est vachement plus rentable quand elle s’exprime au travers d’une Ă©conomie Ă©uropéène.

    J’ignore ce qu’en disent vos yeux et vos oreilles…
    Mais moi je vois des femmes qui se permettent tout, et des hommes en position d’attentisme.
    Il y a une croyance populaire qui dit que les hommes sont volages.
    Et que les femmes ne le seraient pas….
    Ah bon.

    J’ai vu mon père se marier trois fois.
    Faire tous les efforts, tous les sacrifices en vertu d’une relation durable.
    Trois fois il s’est fait pissĂ© dessus.
    Pourtant, mon père… j’suis peut ĂŞtre en conflit d’intĂ©rĂŞt… mais je trouve que c’est plutĂ´t un bon parti.

    Le troisième mariage de mon père…
    S’est conclu sur :
    ” Ca va faire dix ans que je te trompe avec ton beau frère”.
    “Tu te barre de la maison que tu viens de nous construire, il va venir habiter ici avec ton fils et tes nièces”.

    Et moi, ce qui me percute, c’est surtout l’insatiabilitĂ© des femmes.
    C’est aussi ce que j’ai constatĂ© de mon experience.
    Et de celles de nombreux autres.

    J’ai vu un ami de mon père, un mec en or..
    Il a grandit avec une femme, il est devenu un homme à ses cotés.
    Elle s’est barrĂ©e quand ils ont eu la trentaine.
    Elle a profité du reste de sa jeunesse.
    Lui, il n’a jamais connu qui que ce soit d’autre.

    La première que je vois dans ce contexte d’indĂ©pendance des femmes, c’est ma mère.
    Elle a quitté mon père, pour un caprice, se cherchant un spartacus aux normes européènes.
    Et parceque le divorce, c’Ă©tait en vogue Ă  cette Ă©poque.
    Elle a savouré le reste de sa jeunesse.
    Et maintenant, elle vieillit seule.

    J’ai rencontrĂ© plus rĂ©cemment, une femme qui a connu un parcours similaire.
    Qui s’est casĂ©e, Ă  40 ans, par peur de vieillir seule.
    Et dont le ton renifle le désespoir, de ne plus pouvoir se payer le luxe de ses caprices.
    Celle-ci continue de proclamer l’indĂ©pendance des femmes Ă  ses cadettes.
    Comme pour continuer de jouir de ces caprices, par procuration.

    J’en vois plein des gars, et mĂŞme sur ce site.
    Qui se plieraient en quatre pour l’amour d’une vie.
    Qui ferraient tout pour pouvoir se reposer sur une relation de confiance.
    Mais qui vieillissent seuls.
    Et des femmes, qui pour rien au monde ne sacrifieraient leur liberté.
    Avant de vieillir, de ne plus être désirables.

    Des jeunes hommes seuls, qui vieillissent seuls.
    Des jeunes femmes entourées, qui vieillissent seules.

    Et notre sociĂ©tĂ©, ce n’est pas le patriarcat des vieux sages, soient-ils sĂ©niles.
    Ni la politique des jeunes vigoureux.
    Ni même le matriarcat, le pouvoir des mères.
    Non.
    Notre système social, c’est le pouvoir de la jeune femme.
    Et croyez moi sur parole, des 4, on ne pouvait pas trouver pire ingrate, pire tyran que la demoiselle.

    Le pouvoir diplomatique, en françe, en 2024, revient aux femmes de moins de 35 ans.
    Je ne vous parle pas de bouts de papiers dans des urnes.
    Je vous parle de marge de manoeuvre sociale, concrète.
    Les hommes de cette tranche d’age…. sont leurs esclaves.
    Vous allez me dire qu’on ne peut pas gĂ©nĂ©raliser… mais si, on peut.
    Les jeunes femmes peuvent tout se permettre, sans conséquence.

    Les jeunes hommes.. perdent tout espoir de carrière pour une apologie du bisou.
    Quand leurs homologues fĂ©minins, sur un site ludique, sans prĂ©tention pornographique…. vendent leurs corps.
    Je suis assez d’accord pour dire que c’est pas Ă©quitable.
    Par contre il faut m’expliquer Ă  quel moment ça justifie un activisme fĂ©ministe.

    —-

    La violence des hommes et la violence des femmes…

    Au cours des 13 dernières annĂ©es, y’en a 3 que j’ai pas passĂ©es dans la solitude.
    J’Ă©tais en couple.
    Et je vais vous partager un peu de cette expérience.. qui ne me semble pas anecdotique.

    Faut savoir que, malgrĂ© les apparences, que je suis naturellement dotĂ© d’une patience, d’un calme olympient.
    Un jour, celle-ci, dans une crise d’hystĂ©rie, m’a pĂ©tĂ© le nez avec un cendrier en bois.
    Et après m’avoir menacĂ© avec notre couteau de cuisine, elle est partie s’enfermer avec dans la salle de bain.
    Quelque peu dĂ©passĂ© par les Ă©vĂ©nements, j’ai fait quelque chose de très inhabituel, j’ai appellĂ© les flics..
    M’inquiĂ©tant surtout pour sa sĂ©curitĂ©, et ne voulant pas dĂ©clencher de violence en dĂ©fonçant la porte.
    Quand les flics sont arrivĂ©s, ils m’ont plaquĂ© et menottĂ©…. parcequ’il y avait du sang par terre. (Eh ouais, le nez, ça pisse)
    Ils m’ont libĂ©rĂ©, seulement quand ils ont eu confirmation que ce sang au sol Ă©tait le miens et pas le sien.
    Et c’est amusant, n’est-ce pas.
    Si cela avait Ă©tĂ© le sien, j’aurai fini au poste.
    Mais comme c’Ă©tait que le miens… ils se sont mĂŞme pas fait chier Ă  appeller une assistance mĂ©dicale, je me suis dĂ©merdĂ©.
    En fait, dès lors que ce sang a Ă©tĂ© reconnu comme le miens, ils ne m’ont plus adressĂ© la parole.

    Je m’en fous, je suis pas procĂ©durier, et mĂŞme pas tellement rancunier.
    Mais je voudrais qu’on prenne la mesure des dĂ©marches lĂ©gales qui s’imposent quand un homme pète le nez de sa conjointe, et quand l’inverse se produit.

    Encore une fois, dans cet exemple, la parole de la jeune femme est assermentée.
    La mienne ne valait rien. Quand bien mĂŞme c’Ă©tait moi qui ait appellĂ© Ă  une intervention.

    Mais si je vous parle de cette jeune femme… c’est pas pour ses violences physiques.
    Quand je l’ai rencontrĂ©e, elle Ă©tait perdue, sans repères, et si j’ose dire, sans père.
    Et elle a vu en moi une forme d’autoritĂ©.
    Elle est devenue mon echo.
    Elle s’est mise Ă  penser comme moi, parler comme moi, traiter les autres comme moi… Ă  me ressembler.
    Semble-t’il que j’avais de l’influence, et qu’elle en dĂ©pendait.

    Je lui ai toujours dit que je la voulais à mes cotés, demain.
    Mais que rien ne la retenait. Sinon sa propre volonté.
    Elle a détesté.
    Non que je dĂ©pende d’elle, mais que je serai prĂŞt Ă  accepter de ne plus en dĂ©pendre.
    Elle s’est vengĂ©e.

    Une fois, elle est rentrĂ©e de paris, elle avait passĂ© la semaine avec sa copine, prostituĂ©e d’internet.
    Elle est allĂ©e sur mon ordinateur, a ouvert une page internet, et m’a montrĂ© un blog oĂą elle aparaissait nue.
    Aussi n’Ă©tait-ce que de l’art. Et que mon Ă©go, que notre couple soient saufs.

    Une autre fois, elle est allée au Gabon.
    Elle y a couché avec un homme, régulièrement.
    Et d’autres, occasionellement.
    Elle est rentrĂ©e Ă  la maison avec des bijoux, et tout un tas de fournitures qu’elle avait reçue en offrande Ă  sa beautĂ©.

    Une autre fois, j’ai eu la superbe idĂ©e de regarder dans son tĂ©lĂ©phone.
    Et je l’ai vue, entretenir une ambiguitĂ© sexuelle avec plusieurs hommes.
    Notament, encore, certains du gabon.

    Et je vous passe ce qui est anecdotique, elle ne s’est pas arĂŞtĂ©e lĂ .

    Elle a tout fait pour détruire mon égo.
    Pour prendre l’ascendant hiĂ©rarchique.
    Pour me prouver son indépendance, ou ma dépendance à elle.
    Pas de chance, malgrĂ© ma douleur, malgrĂ© mon narcissisme, ce n’Ă©tait pas suffisant.

    Un jour, son père est venu me parler.
    Il m’a dit qu’il avait rencontrĂ© un docteur.
    Et que ce docteur lui avait parlé de la maladie de la dépendance.

    Aussi qu’il Ă©tait contrariĂ©, que sa fille soit devenue le reflet d’un autre homme.
    Qu’elle Ă©tait alors une victime malade, et que j’Ă©tais un criminel malade.
    Et que l’amour est admissible, seulement quand il est stĂ©rile de toute influence, de toute dĂ©pendance.

    Je lui ai rĂ©pondu que je n’y pouvais rien, si elle avait oubliĂ© de se rĂ©ferer Ă  une figure paternelle.
    Mais elle aura préféré prendre son parti, plutôt que le miens.
    Car alors elle eu trouvĂ© une arme pour m’opposer rĂ©sistance.
    Elle pouvait désormais me traiter de pervers narcissique.
    Elle pouvait me repprocher d’avoir eu de l’influence sur elle, et de l’avoir contrainte Ă  dĂ©pendre de moi.
    Et elle s’est barrĂ©e, en me traitant de pervers narcissique sociopathe et infrĂ©quentable, sous les conseils de son père et du docteur des relations.

    Mais elle s’est pas vraiment barrĂ©e.
    Elle a continué de tout faire pour détruire mon égo.
    Elle a continué le jeu du désir.
    Pendant 4 ans.
    Me vendant son retour, et ne retournant pas.
    Me vantant l’exploit de ses conquètes.
    M’expliquant Ă  quel point cela la navrait, de ne pouvoir aimer un malade mental.
    Combien elle Ă©tait fragile, combien elle manquait d’assurance, et combien c’Ă©tait difficile de faire tout ce qu’elle voulait, avec qui elle voulait.
    Et combien elle s’ennuyait de faire la teuf toutes les semaines, quand je me pĂ©tais les dents dans le silence de son absence.
    Elle m’a torturĂ©.

    Je viens pas vous vendre ma misère, je ne suis victime que de ce que j’entends.
    Mais je voudrais qu’on prenne la mesure, encore une fois.
    Savez vous que, de l’opinion gĂ©nĂ©rale, de ceux qui nous ont connus….
    Elle est une pauvre petite chose innocente et déboussolée.
    Moi, je n’ai jamais connu de crĂ©ature plus sadique.
    Et jamais de dents plus longues que les siennes.

    J’ai grandi dans les rues de Toulouse.
    J’en ai vu des hommes violents.
    J’ai vu des tessons de bouteilles, des flingues, des coffres de voiture, et des os cassĂ©s.
    Je n’ai jamais vu autant de violence que dans les mots d’une femme.

    Et je voudrais qu’on arrĂŞte de parler de petites choses fragiles.
    Un homme ça pète une gueule.
    Une femme ça pète une vie.

    Maintenant, croyez vous que mon ex, que l’ex-femme de mon père sauraient ĂŞtre inquiĂ©tĂ©es vis-Ă -vis de la loi pour leurs violences ?
    Non.
    Et je dis pas qu’elles devraient.
    Je dis que si on leur avait rendu la moitié de cette violence à coup de poings, mon père et moi on serait sous les barreaux.
    Et l’Ă©galitĂ© des sexes…. ouais. Bof.

    Je ne vous ai pas fait part des traumas que je porte de ma relation.
    Mais j’aurais juste plus jamais confiance en une femme jusqu’Ă  la fin de ma vie.
    J’Ă©tais le plus grand romantique que la terre ait portĂ©.
    Je ne suis plus capable de croire que je vais vieillir autrement que dans la solitude.
    Et croyez moi, je me serais volontiers payĂ© une soirĂ©e de plus Ă  l’hopital plutĂ´t que d’avoir Ă  assumer ça.

    Cela dit j’assume, je n’incrimine pas les femmes du fait d’ĂŞtres des femmes.
    Je ne suis pas en train de vous dire que les femmes doivent arrĂŞter d’ĂŞtre des femmes.
    J’veux seulement qu’on admette que mĂŞme chez les hommes les plus violents.. on constate de la pitiĂ©.
    Et que c’est assez rare, dans une rixe, que le vaincoeur achève son ennemi, le dominer suffit.

    Avant de conclure, petite anecdote.
    Les snipers de l’armĂ©e rouge Ă©taient des femmes.
    Il a Ă©tĂ© constatĂ© que les hommes avaient besoin de se sentir entourĂ©s pour trouver l’esprit guerrier.
    Et que les femmes n’avaient aucun scrupule Ă  abattre froidement leurs cibles, sans besoin d’ĂŞtre galvanisĂ©es.

    Alors….
    Je tiens Ă  prĂ©ciser que je n’ai aucunement l’intention de crĂ©er un clivage avec ce post.

    Y’aurait beaucoup de choses Ă  dire, encore.
    Mais je voulais commencer par lĂ .

    Nos codes sociaux favorisent (grandement) les (jeunes) femmes.
    Au détriment de tous les autres.
    Surtout des jeunes hommes…. qui sont dans une position d’attentisme et de frustration permanente.
    Et qui logiquement, s’inventent des stratagèmes sournois, car il ne leur est pas permit d’assumer leur virilitĂ©.

    Les femmes ne sont pas des petites choses fragiles et sans défense.
    En ce qui me concerne, je préfère me faire tabasser par dix connards que de remettre mon coeur à une femme.
    Et sans conteste, aucune.

    Je ne veux plus qu’on dise que les femmes sont soumises.
    Ni celle de l’ancienne, ni celle de la nouvelle gĂ©nĂ©ration.
    C’est juste faux.
    MĂŞme au cours de l’histoire patriarcale.

    Je suis pas en train de vous dire que le patriarcat c’est bien ou que le matriarcat c’est mieux.
    Mais qu’on est en train d’engendrer une gĂ©nĂ©ration de succubes et d’homme frustrĂ©s.
    Et que, si l’objectif, c’est la cohĂ©sion sociale…. bah c’est rapĂ©.

    En attendant vos retours les plus pertinents.
    (Me traitez pas d’incel ou que sais-je… vous ĂŞtes pas sortis de l’auberge si vous voulez m’identifier Ă  un courant politique)
    Je suis autant opposĂ© Ă  la gauche qu’Ă  la droite, et autant au patriarcat qu’au fĂ©minisme.
    Je considère que la nature a dotĂ© les deux partis d’armes qui se valent largement… et qu’il n’y a pas grand intĂ©rĂŞt Ă  priver un parti, ou l’autre, de ses atouts.
    Ne me traitez pas non plus de violeur… vous auriez tort.
    VoilĂ , bref, ne me parlez pas de moi, parlez moi de vous, de votre expĂ©rience, de votre point de vue… faites vos retours.
    Contester la lĂ©gitimitĂ© des miens….c’est pas constructif, et puis c’est pas vraiment possible, j’y peux rien si je pense ce que je pense, et ce que je pense… c’est ce que je pense.

    byaku a rĂ©pondu 1 year, 1 month ago 12 Membres · 47 RĂ©ponses
  • 47 RĂ©ponses
  • Unknown Member

    Member
    27 janvier 2024 at 16 h 50 min

    En voila un sujet interessant…..

    Le post est long, tres long et en mleine crise emotionnelle putain de BP, putain de lithium… impossible de tout lire….

    Je vais rebondir sir ce que j ai survolé, pas de jugement.

    D abord j ai ecrit ici sur la pornographie, cette creation qui met souvent le corps de la femme en parade et l erection de l homme comme un pouvoir supreme….

    Et c est une bonne chose selon moi, c est l ordre de la nature.

    Tout est sexuel comme dit Freud, il.se rapporte Ă  la pulsion de vie. Et sans cette difference fondamentale entre feminin et masculin, pas de vie, pas de creation.

    Moi qui est 42 ans,qui traine comme une ame en peine sur les sites de rencontres, je ne croise que des violeurs en puissance avec qui je m amuse, derriere mon ecran ou sous les draps, ou bien des mauviettes qui n ont meme pas l audace d un baiser ou d une caresse apres un rendez vous qui s est bien passé!

    La faute a ce putain de #meetoo c est tout.

    Oui le viol.existe et c est une abomination. Mais de la à castrer la moitie de l humanité,non!

    Oui les transgenres existent depuis la nuit des temps, mais ce n est que la minorite des minorites.

    La societe fonctionne pour la majorite.

    Et vous savez quoi? 100% des gens qui liront ce texte sont issus d un rapport homme femme ( pipette ou non aidant, mere porteuse ou non…)

    Nous avons tous besoin de cette difference dans la sexualite, elle existe meme dans la sexualite homosexuelle.

    La penetration est un acte important dans nos vies, Ă  tois. Que ce soient les esprits ou les corps, elle necessite d etre acceuillie.

    Perso, je dit oui Ă  une masculinite fiere et retrouvee.

    Je ne fais pas l apologie du viol evidemlrnt mais bien l apologie de relations differenciees et assumees.

  • Unknown Member

    Member
    27 janvier 2024 at 17 h 03 min

    Alors, si l’on condamne les violeurs, c’est prĂ©cisĂ©ment du fait des travaux de freud.
    Qui dit que, le problème avec le violeur c’est qu’il n’est pas responsable de son comportement.
    En fin de compte, qu’il offense la sociĂ©tĂ©, qui lui a pourtant fourni une Ă©ducation.
    Et si l’on le condamne, au pĂ©nal, ce n’est pas d’avoir causĂ© du tort Ă  un tiers.
    Mais d’avoir ignorĂ© son Ă©ducation idĂ©ologie athĂ©iste.

    Pour ce qui est du reste de ton intervention…
    J’ai pas envie de rĂ©agir.
    Juste, j’ai pas envie qu’il soit fait mention d’une telle crĂ©ature que ce sigmund freud ici.
    La seule chose qui Ă©gale sont taux de mĂ©diocritĂ©, c’est son taux de corruption.
    C’est pas un scientifique ce mec. C’est un prophète.
    C’est celui qui a transformĂ© la mĂ©decine clĂ©ricale et mĂ©decine psychiatrique.
    Et certainement pas quelqu’un qui a contribuĂ© Ă  des avancĂ©es scientifiques, d’aucune façon.

  • Unknown Member

    Member
    27 janvier 2024 at 17 h 38 min

    https://www.youtube.com/watch?v=VQgSyUK08Rs

    Et quand les hommes font un hommages aux femmes.
    xd

  • sarah-mars

    Member
    28 janvier 2024 at 8 h 40 min

    Parler fĂ©minisme sous le spectre unique de “l’amour” est compliquĂ©.

    Car dĂ©jĂ , l’amour n’est pas une Ă©motion de base. C’est une artificialisation des Ă©motions, que l’humain a dĂ©veloppĂ© pour la reproduction… donc c’est un vaste sujet qui englobe beaucoup d’Ă©lĂ©ments des politiques homme/femme.

    Je vais déjà commencer par des définitions.

    Le patriarcat c’est quand les hommes sont apparentĂ©s (gĂ©nĂ©tiquement) et que c’est la femme qui rejoint ce groupe apparentĂ©. Le matriarcat c’est quand les femmes sont apparentĂ©es, et que c’est l’homme qui rejoint ce groupe.

    La phallocratie c’est quand l’homme exerce le pouvoir, la gynocratie c’est l’inverse.

    Tu peux avoir des modèles patriarcaux phallocratiques, patriarcaux gynocratiques, matriarcaux phallocratiques et matriarcaux gynocratique.

    Dans la nature, tout existe. Mais à quelques exceptions près, les animaux et mammifères sont plutôt matriarcaux et gynocratiques. Les femelles exercent le pouvoir et forment des groupes apparentés.

    Nous ne sommes pas comme les animaux, car dans auquel règne animal, il n’y a violence lĂ©tale contre les femelles. Il peut y avoir des violences dans les sociĂ©tĂ©s phallocratiques, mais pas forcĂ©ment dans les sociĂ©tĂ©s patriarcales.

    Ce qui se passe actuellement dans ce que tu dĂ©cris, c’est un rapport gynocratique/phallocratique.

    Certes la femme intègre le groupe apparentĂ© masculin, cela ne l’exempt pas de vouloir y intĂ©grer une politique dans laquelle elle peut s’Ă©panouir.

    Pour moi c’est important de commencer par ça, car il serait trop rĂ©ducteur de parler fĂ©minisme par le seul biais du patriarcat par exemple et l’exemple que tu donnes sur ta maman par exemple qui n’avait besoin d’aucun artifice pour te “commander”, est un reflet parfait de ce qu’est la gynocratie.

    Nos sociétés sont en évolution, et cette évolution est le fruit de programmations (ADN et culturelles).

    Dans les pays nordiques, la loi est Ă©quitable entre les hommes et les femmes, et pourtant c’est dans ces pays que les fĂ©minicides sont les plus importants, dans les pays musulmans, on y trouve les taux les plus faibles. Ca interroge. En Europe, nous avons Ă©tĂ© traversĂ© de plusieurs migrations notoires, de groupes d’humains au comportement diffĂ©rents.

    De l’est sont venu les Ă©leveurs nomades (dont les sociĂ©tĂ©s Ă©taient assez Ă©galitaires car l’outil dĂ©veloppĂ© devait ĂŞtre maitrisĂ© par tous => d’oĂą le mythe des amazones très dĂ©voyĂ©), ceux-lĂ  sont remontĂ©s vers le nord. C’Ă©tait des sociĂ©tĂ© matriarcales/phallocratiques dont l’hĂ©ritage Ă©tait culturel. Puis du sud sont venus les agriculteurs sĂ©dentaires, dont l’outil n’Ă©tant que la force physique et la propriĂ©tĂ© Ă©taient des sociĂ©tĂ©s patriarcales/phallocratiques dont l’hĂ©ritage Ă©tait la transmission des terres.

    La coercivitĂ© masculine est un facteur important Ă  prendre en compte. Tu dĂ©cris Ă  un moment une notion de “dĂ©classement” que ressentent les hommes. Je te donne raison et il est multifactoriel (Ă©galement et principalement Ă©conomique, l’incapacitĂ© de l’homme Ă  exercer son pouvoir Ă©conomique dans un système patriarcal ==> gros bug ! ).

    J’ai envie de parler de milles choses, dis moi dĂ©jĂ , si ça te parle et si ça Ă©clairci un peu ton sentiment.

  • alb69000

    Member
    28 janvier 2024 at 8 h 50 min

    J’ai voulu rĂ©pondre au post originel, mais ça n’a pas marchĂ©.

    Mec, étant sûrement de la même génération que toi, je ne peux que confirmer ce que je viens de dire.

    L’Ă©poque est dure, et j’ai l’impression que si l’humanitĂ© a un but, c’est celui de s’affranchir de ses chaĂ®nes. Toutes. Les dictats sexuels en font partie.

    Ainsi, il semblerait que ne voulant dépendre de personne, les membres des deux sexes ont pour avenir de se séparer.

    Ca me fend le coeur, mais il me semble que c’est ce que l’avenir nous rĂ©serve.

    Force Ă  toi.

  • sarah-mars

    Member
    28 janvier 2024 at 9 h 32 min

    Ce que tu appelles “amour” est une sĂ©rie d’Ă©changes chimiques devant mener Ă  la reproduction. Dans nos sociĂ©tĂ©s modernes ou existent la contraception et l’avortement, la gynocratie est prĂ©dominante.

    Etre équitable dans une telle société imposerait le consentement des deux parents avant un avortement par exemple.

    Mais au final, nous avons crĂ©Ă© une nouvelle notion de couple sans reproduction. C’est compliquĂ© et vain, et cela mène Ă  l’arrĂŞt des interactions.

    Les hommes aujourd’hui veulent s’intĂ©grer dans la reproduction et l’Ă©ducation des enfants. Les deux ayant toujours Ă©tĂ© dans les mains des femmes.

    Donc les “malaises” sont multiples et des deux cĂ´tĂ©s. Les femmes ont investis les domaines Ă©conomiques de l’homme, mais l’homme n’arrive pas investir les domaines de reproduction (en terme de lois). On voit bien que la reproduction est depuis l’origine gynocratique. Les autres crĂ©ations sociales (comme l’Ă©conomie) ne sont pas des besoins fondamentaux et peuvent ĂŞtre exercĂ©s par tout les sexes si tant est qu’ils soient Ă©duquĂ©s Ă  ces compĂ©tences.

    Après, la nature humaine tend à échanger des gênes multiples, donc le grand amour est idéologique.

  • alb69000

    Member
    28 janvier 2024 at 10 h 37 min

    *ce que tu viens de dire

  • Unknown Member

    Member
    28 janvier 2024 at 12 h 13 min

    @Sarah-Mars

    Pour commencer.. l’objet de ce post, c’est prĂ©cisĂ©ment de ramener la politique dans un contexte concret.
    De parler de nous, de nos relations, de notre diplomatie, entre nous.
    Pas du rapport entre l’individu et l’Ă©tat.
    Tu comprends que j’ai pas envie de te laisser parler du spectre des politiques de genre historiques.

    Comme tu peux le constater, quand je parle de notre rapport à la loi, je ne parle que des applications concrètes de celle-ci, de la déontologie légale.
    Et jamais de l’idĂ©ologie.
    Je m’en tape de l’idĂ©ologie.
    Comme tu le dis, dans la nature, on retrouve de tout… j’vois pas l’intĂ©rĂŞt de se priver de ce tout en ramenant le sujet aux archĂ©types supposĂ©s de ce tout.
    C’est d’ailleurs lĂ , tout l’intĂ©rĂŞt de la tendance et la nuance.
    Moi, ce qui m’intĂ©resse, ce sont les nuances inhĂ©rentes Ă  chacun.
    Pas les tendances qui permettraient supposément de les amalgamer.

    Tu comprends, ça ne m’intĂ©resse pas de savoir si les racines culturelles que reprĂ©sentent l’islam et le christianisme impactent notre politique française.
    Je suis prĂ©cisĂ©ment en train de nier l’islam, nier le christianisme, nier la françe, et de m’intĂ©resser Ă  l’individu.
    De nier la portée idéologique de la politique.
    Mais merci d’Ă©clairer ma lanterne.

    Je n’ai aucun problème avec le fait qu’une femme fasse la loi.
    Mon problème, c’est qu’elle le fasse dans l’insouciance et l’inconsĂ©quence.
    (Et j’ai pas dit dans l’irresponsabilitĂ©).
    En l’occurrence, j’ai rencontrĂ© un certain nombre de harpies…
    Qui auraient été incapables de faire leur loi, si elles avaient été exposées à la politique de la claque.
    Mais qui se sont tout permit, et qui on tout obtenu, car la législation les a protégées de toute opposition.

    Qu’une femme se fasse respecter.
    Mais qu’elle le fasse en Ă©tant respectable.
    Non pas parce que la loi lui reconnait ce respect comme un dĂ».
    Et je ne m’inquiète absolument pas du fait que les femmes savent s’entourer, et mĂŞme gouverner.
    Mais qu’elles le fassent en consĂ©quence de leur qualitĂ©, de leur aptitude Ă  le faire.
    Non pas sous le dictat d’un bout de papier.

    Or quand j’essaie de t’offrir la compĂ©tence de la femme… tu me vends la lĂ©gitimitĂ© du bout de papier.
    Et merci d’Ă©clairer ma lanterne.
    Je suis pas lĂ  pour dĂ©battre de l’influence des institutions religieuses.
    Je suis lĂ  pour l’Ă©radiquer.

    Pour ce qui est de l’amalgame que tu m’inventes entre l’amour et le dĂ©sir…
    Ne le fais pas.
    Ce n’est pas parceque je publie des topics Ă  main levĂ©e que j’ai oubliĂ© de me montrer plus talentueux et plus rigoureux que tout tes prophètes.
    Certes, l’amour est induit, artificiel.
    Certes, le désir est fortuit, réel et fonctionnel.
    Et j’ai dĂ©veloppĂ© ces tendances, bien au delĂ  de l’imaginaire.
    Mais je ne suis pas venu dépeindre cette sémantique.
    Je suis venu contextualiser, traduire, notre environnement diplomatique.

    -En l’occurrence, quand je parle de rĂ©actions chimiques, je parle de dĂ©sir, non pas d’amour.
    D’un dĂ©sir qui justifie sa fonction, celle de la reproduction.

    -Les hommes modernes n’essaient pas de s’intĂ©grer Ă  l’Ă©ducation.
    Ils y sont contraints, par un rapport de force, sous la menace de l’autoritĂ© lĂ©gale.

    -……………..

    Voilà, tout ça ne me parle pas trop, et n’éclaircit pas grand chose.

  • Unknown Member

    Member
    28 janvier 2024 at 12 h 22 min

    @Alb69000

    Je te rejoins, il semble que l’humanitĂ© tente de s’affranchir de toute condition Ă  son comportement, de toute atteinte Ă  son intĂ©gritĂ©… de trouver la “libertĂ©”.

    Cela dit.. je ne suis pas le plus Ă  plaindre, j’arrive Ă  tirer mon Ă©pingle du jeu.
    Et il m’importe peu, la solidaritĂ© masculine.

    Je voudrais te faire faire une nuance…
    C’est ce que l’humain nous rĂ©serve, non pas l’avenir.
    Je ne crois pas que cette anarchie soit inéluctable, du moins, pas à si court terme.
    Et je crois que tu aurais tort de croire que la politique humaine réponde à des lois immuables.
    Seraient-elles gravées dans le marbre.

  • alb69000

    Member
    28 janvier 2024 at 12 h 36 min

    “Et il m’importe peu, la solidaritĂ© masculine.”

    Je ne suis pas certain d’avoir captĂ© ce passage.

    Effectivement, ça n’est peut-ĂŞtre pas pour tout de suite, mais les prĂ©mices se ressentent, il y aura certainement des robots humanoĂŻdes perfectionnĂ©s Ă  l’avenir, qui auront aussi un impact dans les relations humaines.

Page 1 of 5

Connectez-vous pour répondre.