Féminisme

  • Publié par haeresis le 27 janvier 2024 à 16 h 32 min

    Alors, aujourd’hui, sujet qui fâche.

    J’vais vous livrer mon sentiment à propos du féminisme.
    Concernant ma partialité… je ne fais aucune apologie.
    Je ne préconise aucune déontologie collective, en vertu d’aucune idéologie, aucune éthique.
    Mais j’ai bel et bien un parti à prendre, le miens.
    En l’occurrence, je crois que la nature est bien faite, et j’vois pas tellement l’intérêt de lui inventer de nouvelles lois.

    La première personne a m’avoir parlé de féminisme… elle s’appelait Désirée.
    Et vous n’avez jamais rencontré qui que ce soit qui portait aussi bien son nom.
    Aujourd’hui, cette personne a des bras gros comme mes jambes, et se fait appeler Monsieur.
    Et y’a assez peu de choses qui m’ont fait aussi mal de toute mon experience.
    Je considère que la terre a perdu l’être le plus féminin que j’ai connu.
    En fait, la définition même de ce mot.

    Moi j’ai jamais bien compris l’objet du féminisme.
    Faut dire que les femmes, très jeune déjà, m’ont toujours mené au doigt et à l’oeil.
    Et j’ai jamais saisi en quoi elles auraient besoin de biceps pour prétendre à une diplomatie équitable.

    Je ne citerai pas son nom, mais pour introduire le propos, je vais vous parler d’un streameur.
    Musicien très talentueux, et philosophe à ses heures perdues.
    Qui animait des streams composition au piano / gouters philos.
    Un jour, quelqu’un est venu lui demander ” j’arrive pas à conclure avec mon crush, je fais quoi ?”.
    Et tout naturellement, il lui a répondu ” et bah tu l’embrasse, et ça passe ou ça casse !”

    Suite à cette réponse…
    -Il a été viré de sa boite.
    -Ses sponsors ont rompu ses contrats, il a du rendre son piano, son système son, sa table de mix, son ordinateur etc…
    -Il a été banni de façon permanente de sa plateforme de streaming.
    -Il a été lynché dans la rue à plusieurs reprises.
    -Et j’en passe et des meilleures.
    Pour avoir fait l’apologie du bisou.

    Alors, parait-il, que Brassens, à son époque, déjà, chantait la libération des mœurs et la fin du christianisme.
    Et là… je les trouve pas super libérés nos mœurs.
    On en est là. Une carrière détruite pour une incitation au bisou.
    Le mec a de l’humour, il a rebondit avec une vidéo tuto ” comment j’ai choppé ma femme”.
    Mais voilà.

    L’histoire est un peu plus complexe.
    On a apprit plus tard que la personne qui lui a posé cette question était membre d’une communauté féministe activiste.
    Aussi que le streamer en question était visé par d’autres chefs d’accusation.
    Cela dit, l’élément déclencheur, et celui qui a été relayé, médiatisé, qui a fait réagir, c’était cette apologie du bisou.
    Et c’est ce qui m’intéresse.
    Vous comprendrez pourquoi.

    A partir de maintenant, attention ça va fâcher.
    On parle beaucoup de l’égalité des sexes devant la loi.
    Ce que dit la loi, c’est que le viol est interdit.
    Il faut bien comprendre que c’est une mesure à l’attention des hommes, en vertu de l’intégrité des femmes.
    Les femmes reconnues coupables de viol… il n’y en a pratiquement pas, et surtout, y’a assez peu d’hommes pour s’en plaindre.

    Effectivement.. les hommes et les femmes, dans le jeu du désir, ne se comportent pas de la même façon.
    -La tendance masculine tend à vouloir consommer ce désir. Le congédier.
    -La tendance féminine tend à vouloir le posséder. L’entretenir.
    Généralement.
    C’est pourquoi je parle de tendance. Les nuances appartiennent à chacun.

    Or, en interdisant le viol…. on permet aux femmes d’entretenir ce désir autant que ça leur chante.
    Et l’on ne permet pas aux hommes de le consommer.

    Si on veut parler d’égalité des sexes devant la loi…
    La seule mesure qui pourrait contrebalancer l’interdiction du viol… c’est l’obligation de copuler.

    Oui. J’entends à quel point c’est violent de dire ça.
    Et je ne suis pas en train de vous dire que c’est une bonne idée.
    Mais les hommes sont privés de l’exercice de leur pouvoir sexuel…
    Ce qui n’est pas le cas des femmes.
    Et ce n’est pas équitable.
    La loi prend clairement le parti des femmes.

    C’est une mesure qui favorise l’exercice du pouvoir sexuel féminin.
    Et certainement pas une mesure équitable.
    (Encore une fois, je ne préconise pas l’institution légale de l’obligation copulatoire.)

    En l’occurrence, aujourd’hui, on constate assez souvent des femmes qui se payent le luxe d’obtenir ce qu’elles veulent des hommes.
    En entretenant cette ambiguité sexuelle.
    Sans forcément y céder, d’ailleurs.

    Voilà, je voulais qu’on fasse ce constat.
    Aujourd’hui, les femmes, même les moins désirables, ont un pouvoir sexuel presque total.
    Et les hommes…. attendent que les femmes daignent leur accorder leurs faveurs.

    Dans l’expression moderne du désir, les femmes sont actives… les hommes sont passifs.
    A vrai dire, les hommes n’osent même plus se payer la liberté d’un bisou.

    Les hommes aujourd’hui, conscients de leur violence masculine, ont peur d’atteindre à l’intégrité des femmes.
    Et se chargent de beaucoup de retenue, de beaucoup d’hypocrisie.
    Personellement, je ne crois pas en la vertu de la restriction.
    Mais, la question c’est… les femmes ont-elles conscience de la violence féminine ?
    Se restreignent-elles ?
    La loi les prévient-elles de nuire à l’intégrité des hommes.
    Et avant d’en parler, on va faire quelques digressions.

    Je rencontre assez peu de gens.
    Principalement des jeunes femmes.
    Et je voulais vous partager mon regard sur ma génération.
    Comme je le disais sur le topic concernant l’entropie…
    Nos relations hommes-femmes sont un monstre d’anarchie.
    Et je ne parle pas de patriarcat ou de matriarcat… mais d’interdépendance.
    Plus rien ne justifie le vivre ensemble.
    Les jeunes femmes que je rencontre… elles s’amusent.
    Elles collectionnent les aventures, les hommes, comme des pokémons.
    Les hommes.. en revanche.. n’ont pas l’air de jouir d’une telle liberté, d’une telle facilité sociale.

    Quand je suis en forme, je représente un bon parti, semblerait-il.
    Et c’est moi le bout de viande.
    Quand je me suis fait un instagram pour partager ma poésie… j’ai été choqué.
    De voir ces femmes qui voulaient m’acheter, me posséder, en m’offrant leurs faveurs.
    C’était littéralement ça, un marché, j’étais un bout de viande, et elles avaient de la monnaie.
    J’ai cru que c’est un jeu qui me plairait…. et je n’ai jamais eu aussi tort.

    Assez vite, l’une d’entre elle est venue se jeter dans mon lit.
    Et avant de se mettre nue, elle m’a fait signer un contrat oral.
    Comme quoi c’était juste du sexe, y’avait pas d’amour, pas de lendemain.
    Qu’elle tenait à pouvoir se taper qui elle voulait quand elle voulait.
    Et qu’elle ne voulait surtout pas sacrifier ses petits caprices, cette facilité à aller et venir vers qui bon lui semble.

    Elle était super jolie.
    Mais c’était tellement stérile.
    Tellement vide de passion, d’abandon.
    Que j’ai pas été foutu de me trouver de l’enthousiasme à la découvrir.

    Et ce n’est pas un cas isolé.
    De cette génération, toutes les jeunes femmes qui partagent une certaine compétitivité sexuelle…
    Sont des monstres de cynisme.
    Et, oui, il y a lieu de faire une généralité.

    Mon petit frère de 11 ans, s’est fait choppé par mon père…
    En train d’acheter des nus à une camarade de classe.
    On en est là.
    C’est ça, la relation homme femme. Une monaie d’échange.
    Qui est vachement plus rentable quand elle s’exprime au travers d’une économie éuropéène.

    J’ignore ce qu’en disent vos yeux et vos oreilles…
    Mais moi je vois des femmes qui se permettent tout, et des hommes en position d’attentisme.
    Il y a une croyance populaire qui dit que les hommes sont volages.
    Et que les femmes ne le seraient pas….
    Ah bon.

    J’ai vu mon père se marier trois fois.
    Faire tous les efforts, tous les sacrifices en vertu d’une relation durable.
    Trois fois il s’est fait pissé dessus.
    Pourtant, mon père… j’suis peut être en conflit d’intérêt… mais je trouve que c’est plutôt un bon parti.

    Le troisième mariage de mon père…
    S’est conclu sur :
    ” Ca va faire dix ans que je te trompe avec ton beau frère”.
    “Tu te barre de la maison que tu viens de nous construire, il va venir habiter ici avec ton fils et tes nièces”.

    Et moi, ce qui me percute, c’est surtout l’insatiabilité des femmes.
    C’est aussi ce que j’ai constaté de mon experience.
    Et de celles de nombreux autres.

    J’ai vu un ami de mon père, un mec en or..
    Il a grandit avec une femme, il est devenu un homme à ses cotés.
    Elle s’est barrée quand ils ont eu la trentaine.
    Elle a profité du reste de sa jeunesse.
    Lui, il n’a jamais connu qui que ce soit d’autre.

    La première que je vois dans ce contexte d’indépendance des femmes, c’est ma mère.
    Elle a quitté mon père, pour un caprice, se cherchant un spartacus aux normes européènes.
    Et parceque le divorce, c’était en vogue à cette époque.
    Elle a savouré le reste de sa jeunesse.
    Et maintenant, elle vieillit seule.

    J’ai rencontré plus récemment, une femme qui a connu un parcours similaire.
    Qui s’est casée, à 40 ans, par peur de vieillir seule.
    Et dont le ton renifle le désespoir, de ne plus pouvoir se payer le luxe de ses caprices.
    Celle-ci continue de proclamer l’indépendance des femmes à ses cadettes.
    Comme pour continuer de jouir de ces caprices, par procuration.

    J’en vois plein des gars, et même sur ce site.
    Qui se plieraient en quatre pour l’amour d’une vie.
    Qui ferraient tout pour pouvoir se reposer sur une relation de confiance.
    Mais qui vieillissent seuls.
    Et des femmes, qui pour rien au monde ne sacrifieraient leur liberté.
    Avant de vieillir, de ne plus être désirables.

    Des jeunes hommes seuls, qui vieillissent seuls.
    Des jeunes femmes entourées, qui vieillissent seules.

    Et notre société, ce n’est pas le patriarcat des vieux sages, soient-ils séniles.
    Ni la politique des jeunes vigoureux.
    Ni même le matriarcat, le pouvoir des mères.
    Non.
    Notre système social, c’est le pouvoir de la jeune femme.
    Et croyez moi sur parole, des 4, on ne pouvait pas trouver pire ingrate, pire tyran que la demoiselle.

    Le pouvoir diplomatique, en françe, en 2024, revient aux femmes de moins de 35 ans.
    Je ne vous parle pas de bouts de papiers dans des urnes.
    Je vous parle de marge de manoeuvre sociale, concrète.
    Les hommes de cette tranche d’age…. sont leurs esclaves.
    Vous allez me dire qu’on ne peut pas généraliser… mais si, on peut.
    Les jeunes femmes peuvent tout se permettre, sans conséquence.

    Les jeunes hommes.. perdent tout espoir de carrière pour une apologie du bisou.
    Quand leurs homologues féminins, sur un site ludique, sans prétention pornographique…. vendent leurs corps.
    Je suis assez d’accord pour dire que c’est pas équitable.
    Par contre il faut m’expliquer à quel moment ça justifie un activisme féministe.

    —-

    La violence des hommes et la violence des femmes…

    Au cours des 13 dernières années, y’en a 3 que j’ai pas passées dans la solitude.
    J’étais en couple.
    Et je vais vous partager un peu de cette expérience.. qui ne me semble pas anecdotique.

    Faut savoir que, malgré les apparences, que je suis naturellement doté d’une patience, d’un calme olympient.
    Un jour, celle-ci, dans une crise d’hystérie, m’a pété le nez avec un cendrier en bois.
    Et après m’avoir menacé avec notre couteau de cuisine, elle est partie s’enfermer avec dans la salle de bain.
    Quelque peu dépassé par les événements, j’ai fait quelque chose de très inhabituel, j’ai appellé les flics..
    M’inquiétant surtout pour sa sécurité, et ne voulant pas déclencher de violence en défonçant la porte.
    Quand les flics sont arrivés, ils m’ont plaqué et menotté…. parcequ’il y avait du sang par terre. (Eh ouais, le nez, ça pisse)
    Ils m’ont libéré, seulement quand ils ont eu confirmation que ce sang au sol était le miens et pas le sien.
    Et c’est amusant, n’est-ce pas.
    Si cela avait été le sien, j’aurai fini au poste.
    Mais comme c’était que le miens… ils se sont même pas fait chier à appeller une assistance médicale, je me suis démerdé.
    En fait, dès lors que ce sang a été reconnu comme le miens, ils ne m’ont plus adressé la parole.

    Je m’en fous, je suis pas procédurier, et même pas tellement rancunier.
    Mais je voudrais qu’on prenne la mesure des démarches légales qui s’imposent quand un homme pète le nez de sa conjointe, et quand l’inverse se produit.

    Encore une fois, dans cet exemple, la parole de la jeune femme est assermentée.
    La mienne ne valait rien. Quand bien même c’était moi qui ait appellé à une intervention.

    Mais si je vous parle de cette jeune femme… c’est pas pour ses violences physiques.
    Quand je l’ai rencontrée, elle était perdue, sans repères, et si j’ose dire, sans père.
    Et elle a vu en moi une forme d’autorité.
    Elle est devenue mon echo.
    Elle s’est mise à penser comme moi, parler comme moi, traiter les autres comme moi… à me ressembler.
    Semble-t’il que j’avais de l’influence, et qu’elle en dépendait.

    Je lui ai toujours dit que je la voulais à mes cotés, demain.
    Mais que rien ne la retenait. Sinon sa propre volonté.
    Elle a détesté.
    Non que je dépende d’elle, mais que je serai prêt à accepter de ne plus en dépendre.
    Elle s’est vengée.

    Une fois, elle est rentrée de paris, elle avait passé la semaine avec sa copine, prostituée d’internet.
    Elle est allée sur mon ordinateur, a ouvert une page internet, et m’a montré un blog où elle aparaissait nue.
    Aussi n’était-ce que de l’art. Et que mon égo, que notre couple soient saufs.

    Une autre fois, elle est allée au Gabon.
    Elle y a couché avec un homme, régulièrement.
    Et d’autres, occasionellement.
    Elle est rentrée à la maison avec des bijoux, et tout un tas de fournitures qu’elle avait reçue en offrande à sa beauté.

    Une autre fois, j’ai eu la superbe idée de regarder dans son téléphone.
    Et je l’ai vue, entretenir une ambiguité sexuelle avec plusieurs hommes.
    Notament, encore, certains du gabon.

    Et je vous passe ce qui est anecdotique, elle ne s’est pas arêtée là.

    Elle a tout fait pour détruire mon égo.
    Pour prendre l’ascendant hiérarchique.
    Pour me prouver son indépendance, ou ma dépendance à elle.
    Pas de chance, malgré ma douleur, malgré mon narcissisme, ce n’était pas suffisant.

    Un jour, son père est venu me parler.
    Il m’a dit qu’il avait rencontré un docteur.
    Et que ce docteur lui avait parlé de la maladie de la dépendance.

    Aussi qu’il était contrarié, que sa fille soit devenue le reflet d’un autre homme.
    Qu’elle était alors une victime malade, et que j’étais un criminel malade.
    Et que l’amour est admissible, seulement quand il est stérile de toute influence, de toute dépendance.

    Je lui ai répondu que je n’y pouvais rien, si elle avait oublié de se réferer à une figure paternelle.
    Mais elle aura préféré prendre son parti, plutôt que le miens.
    Car alors elle eu trouvé une arme pour m’opposer résistance.
    Elle pouvait désormais me traiter de pervers narcissique.
    Elle pouvait me repprocher d’avoir eu de l’influence sur elle, et de l’avoir contrainte à dépendre de moi.
    Et elle s’est barrée, en me traitant de pervers narcissique sociopathe et infréquentable, sous les conseils de son père et du docteur des relations.

    Mais elle s’est pas vraiment barrée.
    Elle a continué de tout faire pour détruire mon égo.
    Elle a continué le jeu du désir.
    Pendant 4 ans.
    Me vendant son retour, et ne retournant pas.
    Me vantant l’exploit de ses conquètes.
    M’expliquant à quel point cela la navrait, de ne pouvoir aimer un malade mental.
    Combien elle était fragile, combien elle manquait d’assurance, et combien c’était difficile de faire tout ce qu’elle voulait, avec qui elle voulait.
    Et combien elle s’ennuyait de faire la teuf toutes les semaines, quand je me pétais les dents dans le silence de son absence.
    Elle m’a torturé.

    Je viens pas vous vendre ma misère, je ne suis victime que de ce que j’entends.
    Mais je voudrais qu’on prenne la mesure, encore une fois.
    Savez vous que, de l’opinion générale, de ceux qui nous ont connus….
    Elle est une pauvre petite chose innocente et déboussolée.
    Moi, je n’ai jamais connu de créature plus sadique.
    Et jamais de dents plus longues que les siennes.

    J’ai grandi dans les rues de Toulouse.
    J’en ai vu des hommes violents.
    J’ai vu des tessons de bouteilles, des flingues, des coffres de voiture, et des os cassés.
    Je n’ai jamais vu autant de violence que dans les mots d’une femme.

    Et je voudrais qu’on arrête de parler de petites choses fragiles.
    Un homme ça pète une gueule.
    Une femme ça pète une vie.

    Maintenant, croyez vous que mon ex, que l’ex-femme de mon père sauraient être inquiétées vis-à-vis de la loi pour leurs violences ?
    Non.
    Et je dis pas qu’elles devraient.
    Je dis que si on leur avait rendu la moitié de cette violence à coup de poings, mon père et moi on serait sous les barreaux.
    Et l’égalité des sexes…. ouais. Bof.

    Je ne vous ai pas fait part des traumas que je porte de ma relation.
    Mais j’aurais juste plus jamais confiance en une femme jusqu’à la fin de ma vie.
    J’étais le plus grand romantique que la terre ait porté.
    Je ne suis plus capable de croire que je vais vieillir autrement que dans la solitude.
    Et croyez moi, je me serais volontiers payé une soirée de plus à l’hopital plutôt que d’avoir à assumer ça.

    Cela dit j’assume, je n’incrimine pas les femmes du fait d’êtres des femmes.
    Je ne suis pas en train de vous dire que les femmes doivent arrêter d’être des femmes.
    J’veux seulement qu’on admette que même chez les hommes les plus violents.. on constate de la pitié.
    Et que c’est assez rare, dans une rixe, que le vaincoeur achève son ennemi, le dominer suffit.

    Avant de conclure, petite anecdote.
    Les snipers de l’armée rouge étaient des femmes.
    Il a été constaté que les hommes avaient besoin de se sentir entourés pour trouver l’esprit guerrier.
    Et que les femmes n’avaient aucun scrupule à abattre froidement leurs cibles, sans besoin d’être galvanisées.

    Alors….
    Je tiens à préciser que je n’ai aucunement l’intention de créer un clivage avec ce post.

    Y’aurait beaucoup de choses à dire, encore.
    Mais je voulais commencer par là.

    Nos codes sociaux favorisent (grandement) les (jeunes) femmes.
    Au détriment de tous les autres.
    Surtout des jeunes hommes…. qui sont dans une position d’attentisme et de frustration permanente.
    Et qui logiquement, s’inventent des stratagèmes sournois, car il ne leur est pas permit d’assumer leur virilité.

    Les femmes ne sont pas des petites choses fragiles et sans défense.
    En ce qui me concerne, je préfère me faire tabasser par dix connards que de remettre mon coeur à une femme.
    Et sans conteste, aucune.

    Je ne veux plus qu’on dise que les femmes sont soumises.
    Ni celle de l’ancienne, ni celle de la nouvelle génération.
    C’est juste faux.
    Même au cours de l’histoire patriarcale.

    Je suis pas en train de vous dire que le patriarcat c’est bien ou que le matriarcat c’est mieux.
    Mais qu’on est en train d’engendrer une génération de succubes et d’homme frustrés.
    Et que, si l’objectif, c’est la cohésion sociale…. bah c’est rapé.

    En attendant vos retours les plus pertinents.
    (Me traitez pas d’incel ou que sais-je… vous êtes pas sortis de l’auberge si vous voulez m’identifier à un courant politique)
    Je suis autant opposé à la gauche qu’à la droite, et autant au patriarcat qu’au féminisme.
    Je considère que la nature a doté les deux partis d’armes qui se valent largement… et qu’il n’y a pas grand intérêt à priver un parti, ou l’autre, de ses atouts.
    Ne me traitez pas non plus de violeur… vous auriez tort.
    Voilà, bref, ne me parlez pas de moi, parlez moi de vous, de votre expérience, de votre point de vue… faites vos retours.
    Contester la légitimité des miens….c’est pas constructif, et puis c’est pas vraiment possible, j’y peux rien si je pense ce que je pense, et ce que je pense… c’est ce que je pense.

    byaku a répondu il y a 2 mois, 3 semaines 12 Membres · 47 Réponses
  • 47 Réponses
  • claralafantastique

    Membre
    27 janvier 2024 à 16 h 50 min

    En voila un sujet interessant…..

    Le post est long, tres long et en mleine crise emotionnelle putain de BP, putain de lithium… impossible de tout lire….

    Je vais rebondir sir ce que j ai survolé, pas de jugement.

    D abord j ai ecrit ici sur la pornographie, cette creation qui met souvent le corps de la femme en parade et l erection de l homme comme un pouvoir supreme….

    Et c est une bonne chose selon moi, c est l ordre de la nature.

    Tout est sexuel comme dit Freud, il.se rapporte à la pulsion de vie. Et sans cette difference fondamentale entre feminin et masculin, pas de vie, pas de creation.

    Moi qui est 42 ans,qui traine comme une ame en peine sur les sites de rencontres, je ne croise que des violeurs en puissance avec qui je m amuse, derriere mon ecran ou sous les draps, ou bien des mauviettes qui n ont meme pas l audace d un baiser ou d une caresse apres un rendez vous qui s est bien passé!

    La faute a ce putain de #meetoo c est tout.

    Oui le viol.existe et c est une abomination. Mais de la à castrer la moitie de l humanité,non!

    Oui les transgenres existent depuis la nuit des temps, mais ce n est que la minorite des minorites.

    La societe fonctionne pour la majorite.

    Et vous savez quoi? 100% des gens qui liront ce texte sont issus d un rapport homme femme ( pipette ou non aidant, mere porteuse ou non…)

    Nous avons tous besoin de cette difference dans la sexualite, elle existe meme dans la sexualite homosexuelle.

    La penetration est un acte important dans nos vies, à tois. Que ce soient les esprits ou les corps, elle necessite d etre acceuillie.

    Perso, je dit oui à une masculinite fiere et retrouvee.

    Je ne fais pas l apologie du viol evidemlrnt mais bien l apologie de relations differenciees et assumees.

  • haeresis

    Membre
    27 janvier 2024 à 17 h 03 min

    Alors, si l’on condamne les violeurs, c’est précisément du fait des travaux de freud.
    Qui dit que, le problème avec le violeur c’est qu’il n’est pas responsable de son comportement.
    En fin de compte, qu’il offense la société, qui lui a pourtant fourni une éducation.
    Et si l’on le condamne, au pénal, ce n’est pas d’avoir causé du tort à un tiers.
    Mais d’avoir ignoré son éducation idéologie athéiste.

    Pour ce qui est du reste de ton intervention…
    J’ai pas envie de réagir.
    Juste, j’ai pas envie qu’il soit fait mention d’une telle créature que ce sigmund freud ici.
    La seule chose qui égale sont taux de médiocrité, c’est son taux de corruption.
    C’est pas un scientifique ce mec. C’est un prophète.
    C’est celui qui a transformé la médecine cléricale et médecine psychiatrique.
    Et certainement pas quelqu’un qui a contribué à des avancées scientifiques, d’aucune façon.

  • haeresis

    Membre
    27 janvier 2024 à 17 h 38 min

    https://www.youtube.com/watch?v=VQgSyUK08Rs

    Et quand les hommes font un hommages aux femmes.
    xd

  • sarah-mg

    Membre
    28 janvier 2024 à 8 h 40 min

    Parler féminisme sous le spectre unique de “l’amour” est compliqué.

    Car déjà, l’amour n’est pas une émotion de base. C’est une artificialisation des émotions, que l’humain a développé pour la reproduction… donc c’est un vaste sujet qui englobe beaucoup d’éléments des politiques homme/femme.

    Je vais déjà commencer par des définitions.

    Le patriarcat c’est quand les hommes sont apparentés (génétiquement) et que c’est la femme qui rejoint ce groupe apparenté. Le matriarcat c’est quand les femmes sont apparentées, et que c’est l’homme qui rejoint ce groupe.

    La phallocratie c’est quand l’homme exerce le pouvoir, la gynocratie c’est l’inverse.

    Tu peux avoir des modèles patriarcaux phallocratiques, patriarcaux gynocratiques, matriarcaux phallocratiques et matriarcaux gynocratique.

    Dans la nature, tout existe. Mais à quelques exceptions près, les animaux et mammifères sont plutôt matriarcaux et gynocratiques. Les femelles exercent le pouvoir et forment des groupes apparentés.

    Nous ne sommes pas comme les animaux, car dans auquel règne animal, il n’y a violence létale contre les femelles. Il peut y avoir des violences dans les sociétés phallocratiques, mais pas forcément dans les sociétés patriarcales.

    Ce qui se passe actuellement dans ce que tu décris, c’est un rapport gynocratique/phallocratique.

    Certes la femme intègre le groupe apparenté masculin, cela ne l’exempt pas de vouloir y intégrer une politique dans laquelle elle peut s’épanouir.

    Pour moi c’est important de commencer par ça, car il serait trop réducteur de parler féminisme par le seul biais du patriarcat par exemple et l’exemple que tu donnes sur ta maman par exemple qui n’avait besoin d’aucun artifice pour te “commander”, est un reflet parfait de ce qu’est la gynocratie.

    Nos sociétés sont en évolution, et cette évolution est le fruit de programmations (ADN et culturelles).

    Dans les pays nordiques, la loi est équitable entre les hommes et les femmes, et pourtant c’est dans ces pays que les féminicides sont les plus importants, dans les pays musulmans, on y trouve les taux les plus faibles. Ca interroge. En Europe, nous avons été traversé de plusieurs migrations notoires, de groupes d’humains au comportement différents.

    De l’est sont venu les éleveurs nomades (dont les sociétés étaient assez égalitaires car l’outil développé devait être maitrisé par tous => d’où le mythe des amazones très dévoyé), ceux-là sont remontés vers le nord. C’était des société matriarcales/phallocratiques dont l’héritage était culturel. Puis du sud sont venus les agriculteurs sédentaires, dont l’outil n’étant que la force physique et la propriété étaient des sociétés patriarcales/phallocratiques dont l’héritage était la transmission des terres.

    La coercivité masculine est un facteur important à prendre en compte. Tu décris à un moment une notion de “déclassement” que ressentent les hommes. Je te donne raison et il est multifactoriel (également et principalement économique, l’incapacité de l’homme à exercer son pouvoir économique dans un système patriarcal ==> gros bug ! ).

    J’ai envie de parler de milles choses, dis moi déjà, si ça te parle et si ça éclairci un peu ton sentiment.

  • alb69000

    Membre
    28 janvier 2024 à 8 h 50 min

    J’ai voulu répondre au post originel, mais ça n’a pas marché.

    Mec, étant sûrement de la même génération que toi, je ne peux que confirmer ce que je viens de dire.

    L’époque est dure, et j’ai l’impression que si l’humanité a un but, c’est celui de s’affranchir de ses chaînes. Toutes. Les dictats sexuels en font partie.

    Ainsi, il semblerait que ne voulant dépendre de personne, les membres des deux sexes ont pour avenir de se séparer.

    Ca me fend le coeur, mais il me semble que c’est ce que l’avenir nous réserve.

    Force à toi.

  • sarah-mg

    Membre
    28 janvier 2024 à 9 h 32 min

    Ce que tu appelles “amour” est une série d’échanges chimiques devant mener à la reproduction. Dans nos sociétés modernes ou existent la contraception et l’avortement, la gynocratie est prédominante.

    Etre équitable dans une telle société imposerait le consentement des deux parents avant un avortement par exemple.

    Mais au final, nous avons créé une nouvelle notion de couple sans reproduction. C’est compliqué et vain, et cela mène à l’arrêt des interactions.

    Les hommes aujourd’hui veulent s’intégrer dans la reproduction et l’éducation des enfants. Les deux ayant toujours été dans les mains des femmes.

    Donc les “malaises” sont multiples et des deux côtés. Les femmes ont investis les domaines économiques de l’homme, mais l’homme n’arrive pas investir les domaines de reproduction (en terme de lois). On voit bien que la reproduction est depuis l’origine gynocratique. Les autres créations sociales (comme l’économie) ne sont pas des besoins fondamentaux et peuvent être exercés par tout les sexes si tant est qu’ils soient éduqués à ces compétences.

    Après, la nature humaine tend à échanger des gênes multiples, donc le grand amour est idéologique.

  • alb69000

    Membre
    28 janvier 2024 à 10 h 37 min

    *ce que tu viens de dire

  • haeresis

    Membre
    28 janvier 2024 à 12 h 13 min

    @Sarah-Mars

    Pour commencer.. l’objet de ce post, c’est précisément de ramener la politique dans un contexte concret.
    De parler de nous, de nos relations, de notre diplomatie, entre nous.
    Pas du rapport entre l’individu et l’état.
    Tu comprends que j’ai pas envie de te laisser parler du spectre des politiques de genre historiques.

    Comme tu peux le constater, quand je parle de notre rapport à la loi, je ne parle que des applications concrètes de celle-ci, de la déontologie légale.
    Et jamais de l’idéologie.
    Je m’en tape de l’idéologie.
    Comme tu le dis, dans la nature, on retrouve de tout… j’vois pas l’intérêt de se priver de ce tout en ramenant le sujet aux archétypes supposés de ce tout.
    C’est d’ailleurs là, tout l’intérêt de la tendance et la nuance.
    Moi, ce qui m’intéresse, ce sont les nuances inhérentes à chacun.
    Pas les tendances qui permettraient supposément de les amalgamer.

    Tu comprends, ça ne m’intéresse pas de savoir si les racines culturelles que représentent l’islam et le christianisme impactent notre politique française.
    Je suis précisément en train de nier l’islam, nier le christianisme, nier la françe, et de m’intéresser à l’individu.
    De nier la portée idéologique de la politique.
    Mais merci d’éclairer ma lanterne.

    Je n’ai aucun problème avec le fait qu’une femme fasse la loi.
    Mon problème, c’est qu’elle le fasse dans l’insouciance et l’inconséquence.
    (Et j’ai pas dit dans l’irresponsabilité).
    En l’occurrence, j’ai rencontré un certain nombre de harpies…
    Qui auraient été incapables de faire leur loi, si elles avaient été exposées à la politique de la claque.
    Mais qui se sont tout permit, et qui on tout obtenu, car la législation les a protégées de toute opposition.

    Qu’une femme se fasse respecter.
    Mais qu’elle le fasse en étant respectable.
    Non pas parce que la loi lui reconnait ce respect comme un dû.
    Et je ne m’inquiète absolument pas du fait que les femmes savent s’entourer, et même gouverner.
    Mais qu’elles le fassent en conséquence de leur qualité, de leur aptitude à le faire.
    Non pas sous le dictat d’un bout de papier.

    Or quand j’essaie de t’offrir la compétence de la femme… tu me vends la légitimité du bout de papier.
    Et merci d’éclairer ma lanterne.
    Je suis pas là pour débattre de l’influence des institutions religieuses.
    Je suis là pour l’éradiquer.

    Pour ce qui est de l’amalgame que tu m’inventes entre l’amour et le désir…
    Ne le fais pas.
    Ce n’est pas parceque je publie des topics à main levée que j’ai oublié de me montrer plus talentueux et plus rigoureux que tout tes prophètes.
    Certes, l’amour est induit, artificiel.
    Certes, le désir est fortuit, réel et fonctionnel.
    Et j’ai développé ces tendances, bien au delà de l’imaginaire.
    Mais je ne suis pas venu dépeindre cette sémantique.
    Je suis venu contextualiser, traduire, notre environnement diplomatique.

    -En l’occurrence, quand je parle de réactions chimiques, je parle de désir, non pas d’amour.
    D’un désir qui justifie sa fonction, celle de la reproduction.

    -Les hommes modernes n’essaient pas de s’intégrer à l’éducation.
    Ils y sont contraints, par un rapport de force, sous la menace de l’autorité légale.

    -……………..

    Voilà, tout ça ne me parle pas trop, et n’éclaircit pas grand chose.

  • haeresis

    Membre
    28 janvier 2024 à 12 h 22 min

    @Alb69000

    Je te rejoins, il semble que l’humanité tente de s’affranchir de toute condition à son comportement, de toute atteinte à son intégrité… de trouver la “liberté”.

    Cela dit.. je ne suis pas le plus à plaindre, j’arrive à tirer mon épingle du jeu.
    Et il m’importe peu, la solidarité masculine.

    Je voudrais te faire faire une nuance…
    C’est ce que l’humain nous réserve, non pas l’avenir.
    Je ne crois pas que cette anarchie soit inéluctable, du moins, pas à si court terme.
    Et je crois que tu aurais tort de croire que la politique humaine réponde à des lois immuables.
    Seraient-elles gravées dans le marbre.

  • alb69000

    Membre
    28 janvier 2024 à 12 h 36 min

    “Et il m’importe peu, la solidarité masculine.”

    Je ne suis pas certain d’avoir capté ce passage.

    Effectivement, ça n’est peut-être pas pour tout de suite, mais les prémices se ressentent, il y aura certainement des robots humanoïdes perfectionnés à l’avenir, qui auront aussi un impact dans les relations humaines.

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