Merci pour l’article.
C’est exactement ça, il me semble que notre sentiment de sécurité ou d’insécurité intérieure se base en grande partie là dessus et influe sur la façon dont on aura tendance à aborder la vie (la voir comme quelquechose de menaçant/effrayant qui demande d’être toujours sur ses gardes ou de léger/stimulant), en tous cas dans nos jeunes années.
L’enfance est une étape essentielle et heureusement on commence à se poser les bonnes questions, à créer des bases plus justes, cohérentes, épanouissantes.
Etre parent ne doit pas être facile non plus, le monde d’aujourd’hui est stressant, on emmagasine parfois beaucoup de peurs, de stress, de colère intérieure, de tristesse ou autres sentiments négatifs et l’enfant ou les proches deviennent dans certains cas un exutoire.
La bonne nouvelle c’est effectivement qu’on peut éviter ça si on le décide, si en tant que parent on se prend en charge, si on choisit de nourrir les énergies positives pour le bien-être de tous.
Le parent parfait n’existe pas puisqu’aucun être humain ne l’est mais ce qui compte c’est que l’intention soit là déja et faire de son mieux.
Dans le cas de relations conflictuelles, l’indulgence, le pardon, apprendre à voir l’autre avec les yeux du coeur (et la prise de distance parfois) sont nécessaires je pense même si ça peut prendre un certain temps.
Et comme on dit il n’est jamais trop tard pour avoir une enfance heureuse.
C’est important aussi de trouver l’équilibre entre attention/bienveillance et fermeté/assertivité.