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  • marco

    Membre
    18 avril 2020 à 10 h 19 min
  • marco

    Membre
    25 avril 2020 à 17 h 48 min

    L’antre é libre.

    Perdu sur la route

    Marche un root

    Plongé dans ses doutes

    Les Sirènes l’envoutent.

    La lumière éclaire ma chaumière

    Entourée de quelques barrières.

    Elles sont si légères,

    Si facile à mettre à terre.

    N’ai peur de demander le gîte

    J’ai déjà mis le couvert

    La bonté m’habite

    Et je serai fier

    Qu’aujourd’hui tu t’invites

    Pour partager tes galères

    Que ce soir tu lévites

    Sur les cendres d’hier.

    Ces murs ne sont miens

    De matériel je n’ai rien

    Seulement mes mains

    Tendues vers toi, serein,

    Calme, doux et apaisé

    Malgré la promiscuité

    D’un bruyant quartier

    Empli de préjugés.

    Faisons abstraction du réel

    Échangeons à la pelle

    Quelques minutes des plus belles

    Avant que tu repartes vers ce monde cruel.

  • Membre Inconnu

    Membre
    30 avril 2020 à 0 h 25 min

    Quelqu’un connait cela mon grand-père le fredonnait !

    NON !!!😠

    tu ne les verras plus !😑

    Les poils de mon cul ! 😌

    J’en ai fait des brosses !😏

    100 franc le kilos !🤑

    C’est du bon boulot ! 🤨

    Pour nourrir les gosses !😲

    Il disait toujours “je ne renierai pas mon cul pour un pet” et en lâchait toujours une a table !

    Paix à son âme !

  • marco

    Membre
    11 mai 2020 à 0 h 22 min

    Se jouer des mots comme une baleine sur la plage, pour se détendre lit-s en t’esclaffant les sous titres si chers à ce pitre.

    https://youtu.be/jirImR3oa9k

  • marco

    Membre
    24 mai 2020 à 18 h 18 min

    “Non merci, je ne veux pas de Cette gentillesse”

    Très bizarre ce qu’il m’arrive ces derniers temps. J’ai aidé quelques personnes à redresser la barre, à sortir de leurs déprime, à surmonter les épreuves compliquées qui obstruaient leur chemin. Un coup de main naturel et non forcé dont je n’attendais rien, surtout pas la pareille. N’ayant pas transpiré pour les conseiller, pourquoi en réclamer des lauriers ?

    Mais ces gens là ne sont pas comme cela !

    Ils ont à cœur aujourd’hui de me retourner ce service prêté pour que mon rendu soit des plus heureux. Je salue la démarche mais m’interroge sur l’attention qu’ils ont accordé à nos discussions.

    Je ne suis pas ce qu’il leur seraient plus simple d’imaginer. Mes formes sont solitaires, animales, utopiques et singulières.

    Je n’en reste pas moins terre à terre.

    Je ne peux revenir à ce que vous me proposez car 20 ans n’ont suffit à accepter et me faire accepter par mes semblables. Pourquoi aujourd’hui serait différent ?

    Même si j’ai changé et que j’affronte la vie les yeux dans les yeux, le regard que je lui porte est trop biaisé par le fond pour que la forme m’attire et attise le feu, la flamme qui m’illumine ces temps-ci.

    La routine ne me contente, au contraire elle me repousse dans mes derniers retranchements au point de devenir un sujet déviant toujours plus extrême.

    Laissez-moi faire ce qu’il doit, je m’y affaire car se sont les miennes et vous solliciterai pour partager d’autres moments que ces questions administratives auxquelles vous administrez une dose léthargique de normalité qui de toute évidence vous convient mieux qu’à moi. Ce n’est pas péjoratif de le dire car tout mes essais se sont soldés par des échecs. Alors ne cherchez pas à me vendre du rêves pour la nième fois, je sais ce que je ne veux pas.

  • marco

    Membre
    31 mai 2020 à 19 h 40 min

    “L’insécurité du Nouveau Né”

    Je viens de comprendre. Je voudrais te parler. J’aimerais revenir dans le passé. Je ne sais pas te retrouver. J’espère que tu me lis.

    Un jour, ce décalage fut nommé, ainsi tu as eu une identité pour t’expliquer.

    L’impuissance des uns, l’indifférence des autres amenant à être seul face à ce monde menaçant, tu as navigué à vue tant bien que mal et pris pour habitude de t’exprimer par des accès de fureur.

    Indiscipliné, incompris, la férocité contre l’adversité, la colère est devenue ta meilleure alliée.

    Comme l’eau qui dort, toujours sous tension, près à submerger la population de tes flots acerbés, déversant un débit électrique aux pieds des barrages jalonnant ton chemin, tu as électrisé ton monde, dressant des clôtures solides dans tes pensées, érigées seul à la force de ton caractère bien trempé.

    Je comprends tes choix. Je vois ce qui t’as Marcqué. Tu te sentais vulnérable et tu t’es adapté, ignoré alors tu as répercuté toute ton énergie à repousser les menaces du quotidien, exagérant ces petits rien.

    Laisse-moi te réconforter, te protéger et te cajoler, te dire que c’est le passé et que tu ne dois plus t’en inquiéter.

    Aujourd’hui tu es en sécurité car tes qualités t’ont mis à l’abri. Cette conscience de tout, ce regard pointu, inhabituel pour un enfant, dangereux pour un adolescent qui année après année s’est affirmé en coup de gueule, en coup de sang.

    Lâches prise, ton esprit de guerrier n’a plus lieux d’être car temps que tu es en moi, plus jamais tu ne pleureras.

    Alors, cher matador, est grâce de ce taureau écorné et du peu d’allégresse qui soit encore en son sein, il te pardonnera les blessures et l’humiliation publique reçues.

  • marco

    Membre
    3 juin 2020 à 19 h 10 min

    “Doubs l’on vient et où l’on va”.

    Dans un torrent, turbulent, remuant, dévalant la moyenne montagne où je naquit, les tumultes furent nombreux.

    Parfois perdu dans les confluents où les afflux étrangers vous apportent joies et peines, mais surtout forces et troubles, mon filet de voix s’est gaugé des ondées nouvelles, il s’est accru et affirmé comme rivière des pensées régionalistes.

    Puis happé par le courant général, je fus noyé dans les autres flux pour suivre dans la cohue la destinée toute tracée.

    Mais il y a toujours un moment où nous finissons dans le grand bain, amarré à un port, à des falaises, le delta entre soi et la réalité gigantesque.

    Alors rester immobile ou m’enfuir par un étroit détroit, mon choix est fait. Je veux être côte à côte avec les terres du monde sans distinction de paysages.

    Je vais contre vents et marées à la recherche d’îles vierges de tsunamis pour que l’écoulement se transforme en eau stagnante.

  • toc

    Membre
    18 juin 2020 à 9 h 12 min

    « Un homme en chemin »

    Je suis un homme qui marche dans le vent. Partie depuis bien longtemps de chez lui. Un chez, d’ailleurs, dont il ne se souvient plus.

    Un homme partie en quête de lui-même, en quête de son unité qu’il peut ressentir par moment mais jamais ne saisir.

    Et il marche le long de la côte. Il se sent vivant grâce aux embruns qui lui fouettent le visage, grâce au vent qui le chahute et l’oblige à s’affirmer. Face à ces éléments, deux mots reviennent en boucle dans sa bouche « Je suis ». Des mots qu’il ânonne inlassablement dans l’effort.

    Tout en marchant, quand le temps est plus clément, il étend son esprit. Il envoi celui-ci jouer avec les oiseaux voltiger dans les cieux.

    Je veux être comme le vent, vivace, libre est insaisissable. Je veux être comme les racines d’un arbre qui s’enfoncent dans le sol. Je veux être un, la tête dans les étoiles et les pieds enraciné dans l’univers. Je veux m’unir au chant de la forêt et de la nature. Je veux m’unir à Dieu. Je veux être pleinement un, en communion.

    Je suis un homme partie depuis bien longtemps de chez lui.

    Sur mon chemin je croise des hommes et des femmes. Je les écoute, je porte leurs sacs. Je veux leur partager le chemin que j’ai déjà réalisé. Je veux les soulager et panser leurs blessures lors des temps de repos.

    Voilà qui je suis dit l’homme, le visage ridé, la barbe pleine de givre, mais les yeux pétillants et emplie de bienveillance.

  • marco

    Membre
    21 juin 2020 à 21 h 13 min

    Provoquer sa chance

    Trop souvent dans l’expectative de jours meilleurs, je me suis lassé. L’attente est longue et infructueuse par manque d’investissement. Oui, rien n’est le fruit de la paresse et de l’inaction.

    Il faut s’atteler à la tâche si l’on veut un jour toucher au but. Mesurer son effort serait déjà une forme de renoncement. Si nous ne sommes convaincu de ce que l’on fait, qui le sera. Il faut aller de l’avant, sans prendre la tangente et assumer ce que l’on est, ce que l’on pense.

    Tel un jardinier, je dois cultiver la terre de mon hêtre, qu’il puisse y croitre et croire en son être.

    Qu’il soit à la française, ordonné et clair, ou à l’anglaise, luxuriant et coloré, il a besoin de moi pour ne pas dépérir et retourner à l’abandon passé.

    Cela ne tient à pas grand chose : entamer le premier massif ! Les éléments se chargeront de nourrir ce parterre floral pour peintre un tableau de maître.

    Le travail n’est pas le terme qui définirait aux mieux ces efforts, mais la passion. Celle là même qui m’anime pour alimenter mon corps et mon esprit.

    Assez de rénovations ont été faites à l’intérieur. Aujourd’hui, l’extérieur m’attend et le soleil raillonne de tout son éclat. Je ne peux le décevoir.

    Équipé de mes plus beaux outils, je défriche, j’élague, je taille, afin qu’un jour une belle plante si développe à son aise dévoilant ainsi sa splendeur à mes yeux.

  • hanae

    Membre
    22 juin 2020 à 14 h 33 min

    – Tendres pensées –

    Tu es arrivé dans ma vie par une douce brise parfumée de soleil.

    Faisant entrer la poésie telle une mélodie.

    Tu sais lire dans le cœur des gens

    Et décrire la beauté d’un instant.

    Toi artiste et poète, tu as accepté d’entrer dans mon univers,

    Ouvert à mon existence et sans jugement

    Pour cela je t’en remercie humblement.

    J’avais une vipère à mes côtés

    Qui sifflait sans cesse des atrocités.

    J’aurais préféré que ce fut toi à sa place

    Qui m’écoute et me rassure tel un ange protecteur.

    Toi, le grand frère à aimer,

    Toi le frère à chérir.

    Depuis quelques temps, j’ai le cœur en débandade,

    N’arrivant pas à savoir où la vie me mènera.

    Je voudrais prendre ta main et que tu ne la lâche pas.

    Je me sens déjà lié à toi, par quelque chose d’indéfinissable,

    Plus grand que nous,

    Plus grand que tout cela.

    Tu as désormais une place dans mon cœur,

    Sache que si tu as du vague à l’âme,

    Je serais là pour chasser ta peine,

    Par la douceur de mes mots ou la ferveur de mes propos.

    Je voudrais te serrer dans mes bras pour te dire tout cela,

    Mais tu n’es pas là, il n’y a que ma plume et moi.

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