Le fabuleux destin d\'Amélie Poulain. Complètement zèbré non ??

  • Le fabuleux destin d\'Amélie Poulain. Complètement zèbré non ??

    Membre Inconnu a répondu il y a 5 années, 5 mois 12 Membres · 69 Réponses
  • oxytrichlorure

    Membre
    9 octobre 2018 à 3 h 02 min

    Super film! 1996 😮 C’es un film du turfu 😀
    Jme demande comment ça ce fait que je ne l’ai pas vu avant…

    Faut que je me débranche définitivement 😀

    Une belle leçon de vie qui donne à réfléchir….

  • Membre Inconnu

    Membre
    9 octobre 2018 à 6 h 21 min

    @substanceetattributs

    J’attend l’ouverture d’un sujet sur la belle verte pour ouvrir les hostilités en attendant j’aiguise ma pelle sur le bitume !!!

  • genroy21

    Membre
    13 octobre 2018 à 4 h 32 min

    @jabberwocky
    Et bien mon but n’est pas de mettre bdu zèbre dans tout se que je vois, à vrai dire c’est le seul film qui m’est apparu comme tel depuis avoir découvert cette nature. Se film me fait simplement penser à mon cheminement vers le bien etre, en plusieurs points directement à moi en d’autre de façon imagé et au final par non je ne suis pas seule. Le but du poste était simplement de savoir si quelqu’un d’autre partageait mon opinion par apport à se film

  • Membre Inconnu

    Membre
    13 octobre 2018 à 15 h 44 min

    Du coup nous pauvres zèbres nous sommes contraint de fouillé un peu pour trouver des petits rien.

    Je ne sais pas si tu aimes le cinéma de genre ou si tu regardes des séries télé @fabo, mais il y a pas mal de trucs étonnants. Ces dernières démontrent qu’on peut faire de la qualité même avec des budgets importants – question de volonté, dira-t-on.

    Voici une petite liste de films hors normes. Il y en a (presque) pour tous les goûts.
    Renseigne-toi à leur sujet…
    – Kiss Kiss, Bang Bang (comédie/policier)
    – Alpha Dogs (policier/drame)
    – Morse (épouvante/drame)
    – Vorace (épouvante/comédie noir)
    – Ré-Animator (épouvante/comédie)
    – La char et le sang (inclassable)
    – Les Duellistes (drame historique)
    – L’échelle de Jacob (épouvante/drame/métaphysique)
    – L’autre (fantastique/thriller/drame) – film de Robert Mulligan (je précise)
    – Freaks (fantastique/drame)
    – Distrcit 9 (satyre politique/science-fiction)
    – Soldat Bleu (western/drame)
    – Un homme nommé cheval (western/drame)
    – Police fédérale Los-Angeles (policier/drame)
    – Les portes du paradis (western/drame historique)
    – Bunny Lake a disparue (policier/drame psychologique)
    – L’antre de la folie (fantastique)
    – L’invasion des profanateurs – version de 1978 – (épouvante)
    – Les chiens de paille (drame/thriller)
    – Un singe en hiver (drame/comédie)
    – La dernière maison sur la gauche (inclassable)
    – Harakiri (inclassable)
    – Street Trash (gore/comédie ultra-noir)
    – Le jour de la bête (comédie noir)
    – Mes chers voisins [la communidad] (comédie)
    – Tuez Charley Varrick ! (Thriller/série B à la Tarantino… avant Tarantino)
    – Season of The Witch (drame psychologique)
    – Moon (drame psychologique/ science-fiction)
    – Anchorman 2 (comédie)
    – Gone Baby Gone (policier/drame)
    – la maison du diable [de Robert Wise] (drame psychologique/fantastique)
    – Les innocents (drame psychologique/fantastique)
    – The nightcomers (inclassable)
    […]

    Et en séries – celles que je trouve les plus ambitieuses :
    – True Detective (saison I)
    – Six feet Under
    – Big Little Lie

  • Membre Inconnu

    Membre
    13 octobre 2018 à 15 h 58 min

    […]Amélie Poulain est pour moi un chef d’oeuvre intemporel, meilleur que n’importe quel anti-depresseur en cas de coup de blues, qui a su redonner à Paris une chaleur et un charme incroyable grâce aux yeux de la candide mais hyper-empathique protagoniste.

    En gros, c’est un chef-d’œuvre parce que tu fantasmes sur Audrey Tautou.
    Mm… Analyse fine et pertinente !
    Ben voilà, tu l’as eu ta désobligeance. 😛

  • genroy21

    Membre
    13 octobre 2018 à 16 h 02 min

    Sérieusement c’est quoi le trip écoeurée le monde juste pour écoeurée le monde si tes pas d’accord avec Rien de sque le monde disent pourquoi tu tentete à les contredire ta rien de mieux à faire

  • Membre Inconnu

    Membre
    13 octobre 2018 à 16 h 21 min

    Pourquoi un coup tu sembles intelligent et juste derrière, ben non je ne suis qu’un con. Comment fais-tu pour t’y retrouver petit trollon.
    Et pis d’abord qu’est ce que tu fous encore là ?

  • Membre Inconnu

    Membre
    13 octobre 2018 à 17 h 08 min

    Elle est au centre et pourtant elle est dehors

    “Ce n’est pas la réalité qui compte dans un film mais ce que l’imagination peut en faire”
    Charlie Chaplin

    C’est vrai que Lucien n’est peut-être pas un génie mais Amélie l’aime bien. Elle aime sa façon de saisir les endives comme si c’étaient des objets précieux qu’il devait manipuler avec respect. C’est sa manière à lui de manifester son amour du travail bien fait. Le narrateur- Amélie Poulain

    “La question est de savoir si l’on donne quelque chose au public qui vise à le rendre plus heureux ou quelque chose qui corresponde à la vérité du sujet.” Stanley Kubrick

    J’ai soudain le sentiment étrange d’être en harmonie avec moi-même, tout est parfait en cet instant, la douceur de la lumière, ce petit parfum dans l’air, la rumeur tranquille de la ville. J’inspire profondément car la vie me parait alors si simple, qu’un élan d’amour me donne tout à coup envie d’aider l’humanité tout entière.

    Le fabuleux destin d’Amélie Poulain

  • Membre Inconnu

    Membre
    13 octobre 2018 à 17 h 58 min

    @filledelair

    Que cela soit pour le cinéma, la littérature, l’Art, la Musique..ne pourrait-on pas laisser de côté la notion de “raison”, de “critique”, de “jugement” pour laisser place au “regard par les émotions” que nous avons ressenties à la “lecture” ou bien à l’Histoire qui nous est, non pas racontée, mais offerte à la rencontre de notre propre regard ?

    J’écoutais Michel Onfray, il y a peu. Il déplorait la volonté de faire disparaitre le débat d’idée, surtout les plus musclés, des habitudes culturelles françaises. La faute en incombe selon lui (et d’autres) à l’importation des modalités et des habitudes de vie américaines.
    Notre pays, c’est vrai, s’est fait à travers la controverse et la satyre.
    C’est notre bagage culturel que de se confronter pour arriver vers un semblant de “concorde” et faire progresser les points de vue.
    Moi qui ait vécu au Canada, je préfère cette tradition très française à celle de la pensée unique.

    Ce que tu mets en avant avec la légitimité des “ressenties” et des “émotions” est typiquement ce que le monde anglo-saxons défend à savoir, un nivellement des valeurs.
    Or tout ne se vaut pas, non.

    Raisonner, débattre, expliquer, s’expliquer c’est permettre de dresser une passerelle vers autrui. C’est aussi une façon de s’approfondir…

    Ce qui peut vous apparaître, bien ou meilleur, ne peut-il apparaître à mon regard, sous une autre forme, une forme moins inspirante, moins “attractive pour la pensée ou le plaisir” ?

    C’est vrai… Mais tu peux aller chercher au fond de toi des “raisons”.
    Dans quel cas partage… mets des mots et explique le cheminement qui t’as fait aimer une chose ou penser que celle-ci relève de la douance (pour reprendre l’objet de ce post).
    Je vais te donner un exemple.
    J’aime bien un film qui s’intitule Bubba Ho-Tep. Il a tout un tas de scories: de gros problèmes de rythme et de mise en scène essentiellement. Du coup, il est parfois à la limite du soporifique. Pourtant je l’apprécie parce que pas mal de gags sont irrévérencieux et que l’enthousiasme des acteurs est vraiment palpable. De même, son côté “bricolé” renvoi aux origines du cinéma et à un certain émerveillement cher à George Méliès.

    Bubba Ho-Tep n’est pas un chef d’œuvre – je reste lucide, mais c’est un vrai plaisir coupable.

    Je viens donc de te faire part de mon émotion et des raisons qui me poussent à l’aimer.
    Mine de rien, en faisant cela, en rentrant dans le détail, je tends une perche.
    Je propose une entrée de discussion…

    Ne pensez-vous pas que la magie de l’Art, de la littérature, du cinéma, habite et demeure, non pas dans le “savoir” lire ce que l’auteur a essayé de nous poser devant le regard ou l’esprit, mais de ce que nous ressentons à la “lecture” de ce qu’il partage avec nous ; il partage son regard, ses pensées, ses questionnements, son imaginaire, ses propres paysages, tels qu’ils les voit et sans jamais nous imposer sa vision, bien au contraire, c’est une invitation, non pas à entrer dans le savoir, mais davantage dans l’imaginaire, dans l’écho, dans le son, dans ses champs Intérieurs qui lui sont Uniques et très intimes…

    Je ne peux pas être d’accord avec ce que tu écris.
    L’émotion est souvent ignorante…
    Quand un auteur produit une œuvre, il partage un monde, son monde.
    Il t’invite à le visiter autant qu’il t’invite à confronter ton regard au sien.

    C’est tout le propos de Fahrenheit 451 (le livre de Bradbury et non pas le film éponyme). Le monde qui y est dépeint s’avère être une tyrannie où l’endormissement intellectuel est de mise. Toutes les œuvres (pas que les livres) qui sont sujet à débats sont détruites. Toutes choses qui portent en elles un potentiel désordre est interdite. La place est faite aux divertissements, aux créations lisses et insipides… et à l’art abstrait parce que ce dernier est un creuset dans lequel, justement, chacun peut y déposer ses propres “émotions” sans avoir à approfondir ce que l’artiste a voulu dire.

    “Tout blâme, toute critique, revient à dire, je ne suis pas toi” Paul Valéry…oui, ces mots me semblent remplis d’une intense justesse.

    Créer est un acte de prétention inouï.
    La plus élémentaire des humilités est de se soumettre à la critique (- ou du moins, l’accepter) car le premier critique, c’est le lecteur, le spectateur, l’auditeur, etc.

    Je me souviens de mon premier article. Il traitait de Apocalypse Now ! et proposait une grille de lecture assez dense, emplie de renvois à la mythologie. J’étais très fier de moi.

    Je l’ai soumis à mon rédacteur en chef avec cette pointe d’orgueil que l’on peut éprouver quant on pense avoir donner le meilleur de soi. Je me souviens de sa consternation le lendemain. Il me dit horrifié avant de m’expliquer posément : ” C’est terrible… Je suis désolé. C’est de la merde.”
    Évidement cela me fit un peu mal à l’entre-jambe, mais il avait raison. Mon texte était ni fait, ni à faire. En dépit de mon investissement, il n’y avait aucune construction. C’était en outre trop touffu et bourré de formulations alambiquées, etc.
    Jamais je ne m’étais mis à la place de mon lecteur et c’est ce que précisément mon rédacteur en chef me fit comprendre au bout de la discussion.

    Si je n’avais pas reçu ou su recevoir cette violence – et donc, cette critique sans concession, jamais je n’aurais pu progresser.

    “Le cinéma est pour moi un art tridimensionnel. Avec ma caméra, j’ai le sentiment de sculpter l’espace”. DAVID CRONENBERG ; joli non ?

    Joli, mais contestable. Cronenberg sculpte plutôt les corps, la chair, et pas tellement l’espace je trouve…

    Tu cites un auteur dont le regard est pour le moins singulier et qui en plus, est engagé dans une narration extrêmement dérangeante (regarde “Crash”, par exemple). En comparaison, Amélie Poulain et le cinéma de Jeunet font pâle figure…
    Et ce n’est peut-être pas un hasard si les films du réalisateur canadien remplissent difficilement les salles.
    En tous cas, moi j’adore.

  • 5emeours

    Membre
    13 octobre 2018 à 19 h 42 min

    Chhhht wocky… En amoureux transi d’Audrey Tautou, j’aime les petites phrases sans beaucoup d’ambition. Alors “si ce que tu as à dire n’est pas plus beau que le silence, tais toi”. Des bisous!

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