[oxytrichlorure]

<3 Et toi donc alors! J’uis mort de rire 😀 😀 😀

[Membre Inconnu]

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Bon qui a vu “la Belle verte” sus-citée ?
Vous avez eu les poils, vous avez pleuré ? Racontez-moi vos émois de soeurs/frères, vos aterements
ou tout ce qui vous est passé.

[oxytrichlorure]

Je vais aller voir ça, j’ai pas sommeil 😉

https://www4.voirfilms.ws/la-belle-verte.htm

Jte dirais frérot 😉

Synopsis et détails: Quelque part dans l’univers existe une planète dont les habitants évolués et heureux vivent en parfaite harmonie. De temps en temps quelques-uns d’entre eux partent en excursion sur d’autres planètes. Curieusement, depuis deux cents ans plus personne ne veut aller sur la planète Terre. Or un jour, pour des raisons personnelles, une jeune femme décide de se porter volontaire. Et c’est ainsi que les Terriens la voient atterrir en plein Paris.

[Membre Inconnu]

@jabberwocky Je vois que tu flattes le vieux zèbre que je suis, et passer de cavanna à ellul ce n’est plus un escalier que l’on prend c’est l’ascenseur.
Il me semble que l’hypothétique film surdoué ne serait tout simplement pas financé
Delicatessen est avant tout un film “petit budget” le plus gros investissement semble être le frigo !!! Le fabuleux destin d’Amélie Poulain c’est un mastodon et donc la liberté d’expression est inversement proportionné.
Les sous, les sous, l’ami c’est lui qui fait les guerres et brise les vies.

Du coup nous pauvres zèbres nous sommes contraint de fouillé un peu pour trouver des petits rien.

[Membre Inconnu]

@jabberwocky :

L’important n’est pas de savoir lire mais de savoir ce qu’on lit, de raisonner sur ce qu’on lit, d’exercer un esprit critique sur la lecture. En dehors de cela, la lecture n’a aucun sens. »

Que cela soit pour le cinéma, la littérature, l’Art, la Musique..ne pourrait-on pas laisser de côté la notion de “raison”, de “critique”, de “jugement” pour laisser place au “regard par les émotions” que nous avons ressenties à la “lecture” ou bien à l’Histoire qui nous est, non pas racontée, mais offerte à la rencontre de notre propre regard ?

Ce qui peut vous apparaître, bien ou meilleur, ne peut-il apparaître à mon regard, sous une autre forme, une forme moins inspirante, moins “attractive pour la pensée ou le plaisir” ?

Ne pensez-vous pas que la magie de l’Art, de la littérature, du cinéma, habite et demeure, non pas dans le “savoir” lire ce que l’auteur a essayé de nous poser devant le regard ou l’esprit, mais de ce que nous ressentons à la “lecture” de ce qu’il partage avec nous ; il partage son regard, ses pensées, ses questionnements, son imaginaire, ses propres paysages, tels qu’ils les voit et sans jamais nous imposer sa vision, bien au contraire, c’est une invitation, non pas à entrer dans le savoir, mais davantage dans l’imaginaire, dans l’écho, dans le son, dans ses champs Intérieurs qui lui sont Uniques et très intimes…

“Tout blâme, toute critique, revient à dire, je ne suis pas toi” Paul Valéry…oui, ces mots me semblent remplis d’une intense justesse.

“Lire pour se cultiver, c’est l’horreur. Lire pour rassembler son âme dans la perspective d’un nouvel élan, c’est la merveille. ”

“Lire c’est ajouter au livre, découvrir, en s’y penchant, son propre visage dans la fontaine de papier blanc…J’ai accroché mon cerveau au porte-manteau puis je suis sorti et j’ai fait la promenade parfaite.”

Je suis sortie du sujet initial “Le fabuleux d’Amélie Poulain”, complètement “zébré non ?
j’ai aimé ce voyage, j’ai aimé les tours doux de ce manège, j’ai aimé ce que ce voyage m’a fait ressentir ainsi que la beauté des paysages Humains et décors-couleurs posées devant les regards.
Très jolie palette, harmonieuse, mélodieuse et rêveuse-valseuse.

“Le cinéma est pour moi un art tridimensionnel. Avec ma caméra, j’ai le sentiment de sculpter l’espace”. DAVID CRONENBERG ; joli non ? Ses “traits surlignés, ou hachures, parlent à d’autres zébrures.
Que sont les “zébrures” ? Des traits surlignés, intenses, non pas de par leur forme, mais de par leur singularité “unique”.

Les feuilles d’un même arbre se ressemblent ; et pourtant il n’en existe pas deux identiques.

[Membre Inconnu]

@fabo

“trouver des petits rien”Pitain merci frangin, ça me précise bien l’idée du petit rien, so good

[Membre Inconnu]

Un petit hors sujet dans ce sujet, les garçons …
Une pointe de sel fait ressortir le goût d’un plat sucré (hum !)
Mais trop de sel tue le plat ….
Je vous embrasse

[Membre Inconnu]

C’est vrai tu as raison, mais que veux-tu, le jabber m’a choppé direct le premier jour en faisant chier, justement par rapport à un hors sujet et c’est devenu épidermique, dès qu’il lâche une malveillance c’est plus fort que moi, j’ai besoin de lui dire ma façon de voir ses comportements sur le site. Et mon langage est direct. Qu’il dégage ou qu’il la boucle. C’est bon des NP qui se prennent pour des demi-dieux, c’est bon j’en ai souper et s’ils me manquent je n’ai qu’à sortir dans la rue pour me satisfaire.
Désoler je veux pas gêner les autres.
Merci d’avoir dit.

[Membre Inconnu]

Alors pas de client pour “La belle verte” ?

[5emeours]

La belle verte, vu il y a une dizaine d’années. Je me rappelle d’un double effet: sur le moment, j’ai vraiment passé un bon moment, avec des scènes étonnement drôle et quelques “fulgurances” (la scène où Lindon avoue ne pas être capable d’assurer un accouchement en s’adressant à la sage-femme; “mais…c’est vous qui savez le faire, pas moi”… magique).
Puis il y a eu une sorte de relent à posteriori, quand je me suis à bêtement “intellectualiser” de manière irrépressible ce que je venais de regarder… un film de bisounours, “la mélodie du bonheur” sauce 90’s. Bien sûr c’est totalement idiot, Serreau n’a pas la prétention d’avoir fait un film à énigme, ambitieux philosophiquement… mais il y a quand même ce petit quelque chose qui me gêne dedans.

En revanche, n’en déplaise à jabberchépakoi dont j’ai eu le “plaisir” de lire les désobligeances déjà sur 3 ou 4 topics alors que je suis inscrit sur le site depuis à peine 48h, Amélie Poulain est pour moi un chef d’oeuvre intemporel, meilleur que n’importe quel anti-depresseur en cas de coup de blues, qui a su redonner à Paris une chaleur et un charme incroyable grâce aux yeux de la candide mais hyper-empathique protagoniste. Je comprends pourquoi l’auteur de ce sujet y voit un film, non pas POUR les zébrés, mais qui en tout cas leur parle émotionnellement.