[hautpotentieldeconneries]

@minos Mais je tiens à préciser : je n’ai rien vu d’aussi exaltant en sport, ever.

J’aurai été anglais, pareil, car l’edf a perdu 😂

[minos]

Ouais @hautpotentieldeconneries … Et là, je regarde comment ces “perdants” sont célébrés Place de la Concorde (qui porte bien son nom, ce coup-ci) et bon, c’est con à dire, mais ça fait “chaud au cœur” devoir une telle communion !

Pour ce qui est de “l’ever” que tu évoques, perso’ (étant aussi un vieux singe), j’ai “vibré” au moins autant (sinon plus) en 2006 (en considérant que là, je soutenais “mon équipe naturelle” (celle d’Italie)), mais presque plus sur la demie contre l’Allemagne (chez elle et dans un stade où les teutons étaient invaincus !) et son épilogue au bout du bout des prolongations avec 2 superbes buts (déjà et encore) coup sur coup (118′ et 120′ !) et après une rencontre haletante depuis son début avec des occasions de chaque côté… Plus loin dans le temps, j’ai toujours en mémoire “cette blessure” (toujours béante et bien pire même que cette finale perdue dans l’Euro’ 2000) du tir au but manqué par Roberto Baggio (un joueur que j’adore) dans la finale contre le Brésil en 1994, aux États-Unis… Encore une séance au dénouement fatidique et cruel… Mais mémorable pour moi.

Ceci étant, on est bien d’accord, ce qu’on a vu et vécu hier dépasse la notion de sport !

[minos]

Tiens…

https://youtu.be/kqwwHk-p5Sk

[minos]

Et encore…

https://youtu.be/AfC7WyFNEto

[hautpotentieldeconneries]

Ma deuxième identité a peu d’occasion de se réjouir niveau sports non-inceltiques : l’écosse 😁 je sors le champagne une année sur 10, quel que soit la discipline 🤣

[hautpotentieldeconneries]

Oui bon tu parles de 2006 le match qu’on (la France, nonobstant un coup de boule) a gagné mais perdu malgré tout 😁 non mais non ! Ce match est dans le cimetière des matchs à oublier 😁

[minos]

C’est sûr qu’à part pour le rugby ou le lancer de tronc, l’Écosse n’est pas hypra compétitive à l’échelle internationale !… 🤣

Et pour ce qui est du fameux “coup de boule”, on va dire que si ça peut froisser des égos, en tout cas, factuellement, ça mettait surtout Zizou out pour le reste de la rencontre et, quant à Materazzi, ben, il s’en est (étonnamment ?…) rapidement remis en transformant son péno’ dans la séance de tirs au but…

Mais oui, je comprends qu’on n’aura pas du tout la même perception de ce match-là, en particulier suivant qu’on sera pour la France ou l’Italie !… ^^

[minos]

Des retours (convergeant) que j’en ai vus, lus ou entendus “ici et là”, cette édition de la Coupe du Monde au Qatar s’est globalement “bien tenue” (ou, à tout le moins, “normalement”) d’un point de vue organisationnel.

Il n’y a pas eu d’incident significatif à déplorer lors de cet évènement. L’accueil des spectateurs s’est lui-même passé sans difficultés notables (tant sur l’aspect de la gestion des transferts qu’en matière d’hébergement), et ce, alors que le Qatar prévoyait accueillir de l’ordre de 1 million de visiteurs sur les 4 semaines qu’aura durée cette compétition (766 000 personnes seraient arrivées dans l’Émirat durant les 2 premières, ce qui devrait donner des chiffres complets de cet ordre, voir, un peu supérieur). Les horaires des matchs ont été respectés et le timing des rencontres n’aura pas souffert de critiques.

Sportivement parlant (et là, c’est forcément beaucoup plus subjectif), la cuvée 2022 de ce Mondial aura été d’une bonne qualité d’ensemble (en la comparant à de précédentes éditions), à mon sens ; pour avoir visionné près de 65 % des rencontres (soit, une quarantaine / 64 matchs), j’ai trouvé mon compte de parties intéressantes, de suspense, de retournements et de surprises. Le niveau d’ensemble m’a paru plus homogène et cela a contribué à ce qu’un plus grand nombre de matchs se soient révélés indécis (ce qui a aussi entraîné que moins de “scores fleuves” auront été dénombrés). Au niveau des buts / match, cette CdM 2022 est dans “une bonne moyenne” (je n’ai pas fait le bilan définitif, mais mes précédents éléments sont assez substantiels pour me permettre d’avancer cela). J’ai noté qu’il me semblait que moins d’opposition auront eu recours aux tirs au but pour départager deux adversaires que, ce qui ne s’était vu en 2018 ou sur la plupart des éditions antérieures (dans l’ère moderne). On a pu constater que, pour la première fois, un pays de la zone Afrique est parvenu à se hisser “dans le dernier carré”… Et que, depuis 2002 et le Brésil, c’est un autre Sud-Américain (l’Argentine) qui est parvenue à remporter cette coupe prestigieuse après une série de quatre éditions gagnées consécutivement par un pays Européen (dans l’ordre ; Italie, Espagne, Allemagne et France) au terme d’une finale enthousiasmante (comme peu l’ont été avant elle).

Bref, en ne s’en tenant qu’à son déroulement et au pan sportif, lui qu’elle était censée mettre en exergue, on peut considérer objectivement que cette compétition majeure aura été une réussite assez remarquable.