Antidépresseurs, anxiolytiques etc…

  • Antidépresseurs, anxiolytiques etc…

    Publié par max le 14 mai 2022 à 22 h 06 min

    Avec le nombre de personnes en difficulté sur ce site, certains d’entre vous ont sûrement un traitement, si vous l’acceptez, pourriez-vous nous expliquer leurs effets ( pas un article wiki, mais plutôt du retour d’expérience) et comment vous percevez votre traitement ?

    le_bacteriophage a répondu il y a 2 années, 2 mois 5 Membres · 11 Réponses
  • 11 Réponses
  • matty

    Membre
    15 mai 2022 à 22 h 03 min

    J’ai toujours refusé de me soumettre à ce genre d’expérience que je trouve normalisante. Impossible pour moi, même au fond du gouffre, on ne touche pas à ma chimie intime, surtout de la part d’incompétents médicaux.

  • le_bacteriophage

    Membre
    17 mai 2022 à 18 h 40 min

    Avec plaisir Max,

    Je te décrirai tout ça dès que j’aurai un petit moment.

  • Membre Inconnu

    Membre
    18 mai 2022 à 4 h 40 min

    Salut Max 😉 je prend des antidepresseurs et ça me fais l’effet comme aprés avoir fais une seance de sport ! A macher du chocolat 🥴😁 j’ai un vélo elliptique a 1500 boules dans le salon mais je dois le monter et je trouve po la notice ! 🤥 sinon j’ai aussi du prazepam un trés puissants anxiolitique qui te coupe l’angoisse comme du beurre ! J’ai de l’amulsipride chai plus l’orthographe ! 🤔 ça rend con comme un légume parce que mon docteur a dit je suis pas assez legume ! 😌 j’ai de l’aripiprazol ça me detache de mon dialogue interieur ! Et j’ai du xeplion ça ralenti mes excés de vitesse de penser ! Jmet tout ça dans un space cake et je me transforme en être humain sinon je suis catalogué dans les mollusques par les zumain ! 🙂

  • le_bacteriophage

    Membre
    23 mai 2022 à 6 h 29 min

    Salut @max

    De mon côté, j’ai été sous traitement dernièrement (après avoir vivement refusé cette solution pendant 2 ans). 1 premier traitement pour traiter une phase de dépression suite une rupture amoureuse (la mère de ma fille), 1 deuxième rupture amoureuse l’année dernière, 1 rupture professionnel, la perte d’un quotidien intouchable avec ma fille, le fait d’avoir du mal à accepter d’être au moins 2 personnes différentes et jongler constament avec ça (semaines avec ma fille et semaines sans ma fille). Bien sûr tout ça implique tout un tas d’autres trucs mais je ne vais pas trop m’attarder là-dessus, pour une fois. Je peux juste dire qu’au moment où j’ai cédé au traitement, je faisais des crises de panique sur tous les sujets, tout le temps. J’ai attendu 2 ans puis j’ai franchement eu besoin d’un coup de pouce pour me reposer. Pour les détails :

    De Septembre 2021 à Avril 2022 :

    1 cp de Venlafaxine par jour (37,5mg)

    2 gouttes de Tercian (neuroleptique) chaque soir

    Les doses ont donc été très légères.

    En terme d’effet, on peut dire que j’ai vite été rassuré. J’ai d’abord eu quelques effets secondaires pas top mais comme ces effets étaient déjà présents avant de prendre mon traitement, via mes crises de panique, ça ne m’a pas fait + peur que ça. J’avais des formes palpitations, des frissons et vertiges, tendance au balaise vagal, des mouches dans les yeux et de grosses tensions dans mes intestins. Ces effets ont disparus peu à peu et, en 10 jours, je n’avais plus que les effets bénéfiques :

    ENFIN, pour la toute 1ere fois de ma vie, j’arrêtais de boucler constament dans ma tête. Alors oui, je me posais toujours des questions mais je n’avais plus besoin de partir dans 30/40 boucles à la minute. Je ne faisais plus que 3 ou 4 aller/retour dans ma tête puis j’étais capable de faire un choix, mais surtout d’accepter de ne pas en faire (grosse révolution). Je retrouvais aussi le sommeil peu à peu. Je n’avais plus à me réveiller 10 fois par nuit, mon sommeil était stable. Le truc c’est qu’au fil des semaines, je ressentais de moins en moins les effets donc, il a fallut passer à 5 gouttes de Tercian. Et effectivement, le Tercian est efficace, surtout le soir, pour trouver le sommeil. Normalement, le soir et le matin, c’est le pire pour moi quand je suis seul. C’est là où je ressens le plus ma solitude, forcément. Et l’idée d’aller m’endormir sans n’avoir personne à qui dire un dernier “bonne nuit” m’était insupportable, donc je n’allais pas dormir et j’attendais de m’endormir par pur épuisement. Bref, avec le Tercian, pas de soucis. Je le prenais et 1h après, je piquais clairement du nez, jusqu’à m’endormir au moment où je me disais “aller, au lit”. Finalement, je n’avais pas le temps de me lever et je passais ma nuit sur mon canapé.

    C’est aussi le Tercian qui a eu le plus d’effet sur mes “ruminations” (merci à mes psy pour ce terme…) en journée. Je n’arrive d’ailleurs pas trop à d’écrire les effets de la Venlafaxine de façon isolée aujourd’hui. Mais comme j’ai arrêté pendant 1 mois et demi et que j’ai repris uniquement la Venlafaxine depuis hier soir, je pourrais peut-être préciser dans les jours qui viennent. Mais bref!

    Quoi qu’il en soit, au bout d’1 mois et demi, je me retrouve ace au constat que, même si il y avait du mieux avec ce traitement, je restais complètement paumé. J’ai commencé à me renseigner sur le TDA/H et j’ai posé la question psychiatre qui a répondu par l’affirmative. Du coup :

    A partir d’octobre/novembre :

    5g de Ritaline (methylphenidate) chaque soir

    Avec ces 5 grammes, je retrouvais les premiers effet des anti-dépresseurs. Ok, mais pas satisfaisant et surtout très déçu parce que j’en attendais beaucoup. Le moins suivant, passage à 10g et là, révélation = le monde est différent et moi aussi! J’étais dans un état parfait… Je me sentais juste dans mes ressentis et dans ma façon de dire les choses. J’étais subitement plus intelligent!!! Concrètement, les effets n’étaient pas incroyables non plus, c’était juste que tous les petits détails devenaient soudainement plus simple à analyser. Et quelques détails dans un quotidien, ça change absolument tout. Puis ça s’estompe

    De nouveau, après quelques semaines, on passe à 20g qui me ramène aux premiers effets. Puis 40gr et là, les effets se sont stabilise. Je suis resté à 40g de Février à Avril.

    Actuellement, il y a des ruptures sur la Ritaline et les pharmaciennes qui s’occupent de moi ont l’air d’être tellement soulager de ne plus pouvoir me fournir de Ritaline qu’elle ne m’ont même pas propose de dérivés d’autre laboratoire. Chose signalé à mon psychiatre 1 mois plus tard (donc 1 mois sans traitement) qui a donc indiqué “Methylphenidate” sur mon ordonnance au lieu de “Ritaline”. J’ai amené cette ordonnance en début de semaine dernière à la pharmacie mais : Ritaline toujours en rupture et les pharmacienne avaient besoin d’appeler mon psy pour parler du dosage des produits des autres laboratoire car différent. On devait me rappeler rapidement, j’ai donc rappelé au bout de 3 jours… Depuis, on doit toujours me rappeler rapidement….

    Ce qui nous amène à aujourd’hui, où je n’ai plus été sous aucun traitement pendant 1 mois et demi. Qu’est-ce m’a amené à cette situation?

    1 – Le Tercian était devenu tellement efficace que je n’arrivais plus à me réveiller le matin. J’avais beau mettre plusieurs réveils, je ne les entendais juste pas du tout. Après avoir fait rater plusieurs matinées d’école à ma fille pendant des semaines, j’ai demandé à mon psy de diminuer le Tercian. Nous sommes donc passés au minimum du minimum : 1 goutte. Ça a fonctionné 1 mois puis j’ai dû le stopper complètement, après que la maîtresse de ma fille me tape sur les doigt et que je me mette à paniquer à l’idée de perdre la garde de ma fille parce que je n’étais plus capable de l’amener à l’école tous les matins. J’ai arrêté sans l’avis du psy.

    2 – La Ritaline semblait suffisament efficace pour me passer des antidépresseurs, donc j’ai commencé à me conditionner à l’idée d’arrêter mon traitement. Finalement, au bout de 6 mois de Ritaline, je ne le comprenais plus pourquoi je devais la prendre… Parce que oui, j’avais des soucis, oui ça me faisait du bien, mais que je commençais à me manquer. J’avais besoin de cogiter autant qu’avant… Peu à peu, là où je me plaisais à dire que je me sentais “plius intelligent” sous Ritaline, je me rendais compte qu’en fait, c’était plutôt l’inverse…

    Alors oui, j’arrivais à mieux maîtriser mes pensées pour rester focaliser sur quelques sujets mais les autres sujets, je ne pouvais plus les traiter… Et comme mon psychiatre n’est pas du tout dans la thérapie, tous ces sujets en suspens sur lesquels j’avais pourtant besoin de réfléchir, sont restés là… Ils attendaient juste que je redevienne moi-même. Bref, la rupture de Ritaline a été stressante pour moi mais au final, ça a été une bonne chose je pense. Ça m’a permis de constater que non, je n’allais pas forcément beaucoup plus dans le fonds. Oui, mes crises paniques ont très largement diminués mais les questionnement eux demeuraient. Du coup, aujourd’hui je peux dire qu’avec la Ritaline, la vie est moins lourde mais qu’on se perde quand même un petit peu. Assez en tout cas pour que je considère que, finalement, je me sens “intelligent” sans Ritaline, car plus sensible et ouvert sur ma sensibilité (sans être totalement excessif, je pense).

    3 – A cause (grace) à la rupture de Ritaline, j’ai oublié de prendre la Venlafaxine 3 jours d’affilée. Le 4eme, j’ai décidé d’oublier de la prendre parce que c’était le moment de tenter pour moi. Toujours contre l’avis de mon psy mais j’ai franchement pas mal de choses à repprocher à mon psy qui m’aurait certe fait sortir de mes états de panique grâce à ce traitement mais qui ne m’aura absolument pas aidé à cheminer pendant 8 mois… Peu importe, on a au moins détecte le TDA/H. Peu importe… Ou pas… Il m’a demande d’être patient avant de pouvoir absorder les sujets, on entame bientôt le 9eme mois et toujours rien d’autre que fes rdv de 10 minutes vite expédiés… Après 3 psychologue et 1 psychiatre en 3 ans, timides sur le travail à effectuer sur moi-même : “Mais noooon, vous êtes bien, vous avez probablement + besoin d’1 coach et de passer le WAIS que d’autre chose. Aimez vous blablabla truc muche. Et la TCC c’est trop chouette même si vous avez tenté et que vous avez dit que ça n’allait pas assez loin”. En gros, j’arrête les frais… J’avais déjà pas les sous à la base et je les ai encore moins aujourd’hui. En 3 ans, ces quand même plusieurs milliers d’euros qui sont partis dans des therapies que j’estime très limitées et militantes… J’avais tout de même choisi de tenter la psychanalyse en dernier recours, histoire de boucler la boucle mais ça ne se fera finalement pas. J’ai pris le rdv avec de l’annuler. J’en ai juste marre.


    Donc, pour résumer : Oui, ce traitement m’a beaucoup aidé, surtout la Ritaline une fois le TDA/H mais sans surprise, non, les médocs ne suffisent pas à traiter des problèmes psy, quoiqu’en disent les psychiatres que vous voyez… Ça m’avait toujours semblé évident jusque là (d’où mon extrême retissence quant au traitement médicamenteux, malgré ma grande détresse psychique pendant 2 ans), ce ne l’est qu’encore + aujourd’hui.

    Si votre vie tout entière est une grosse crise d’angoisse/panique, ne négligez pas les médicament. Par contre, parlez, parlez, parlez encore et encore. Que ce soit à votre famille, vos amis ou à un professionnel bien choisi parce que non, les problèmes ne s’envolent pas d’un coup de baguette magique, comme certains semblent le croire.

    Pour le reste, sur l’approche de mon psychiatre, le mot final sur son analyse (parce que je le verrai bientôt plus vu qu’il me soule) : Il faudrait peut-être que vous pensiez plus simple Monsieur *Nom de famille* (que je ne donnerai pas ici, malgré ma naïveté légendaire…). Voilà… Non comment…

    Et a ma question : et le TSA : “non, vous n’êtes pas concerné, je n’y crois pas.”

    Ah? Mais on peut pas faire les tests histoire de? => “Non, on ne peut pas”

    Pour le TSA, c’est la réponse du psychiatre mais ça a été pareil pour mes 3 psychologues… Donc bref, on parle de quoi avec un thérapeute? Seulement de ce dont lui veut bien parler? Bref!

    Désolé, j’ai un peu dérivé mais bon, z’avez l’habitude maintenant.

  • max

    Modérateur
    23 mai 2022 à 8 h 33 min

    Merci @Le_bacteriophage , c’est exactement le style de témoignage que j’espérais, et les digressions sont tout à fait utiles 🙂. J’étais moi aussi contre la solution médicamenteuse, me disant que mettre des lunettes rondes ne rendait pas le monde plus joli, mais je suis de plus en plus hésitant.

    Je pense que beaucoup ici ont besoin de réponses comme la tienne et c’est hélas un sujet encore assez sensible alors merci d’avoir raconte tout ça.

  • le_bacteriophage

    Membre
    23 mai 2022 à 8 h 59 min

    Oh bah c’est avec plaisir hein @max

    Qui que vous soyez, n’hésitez pas à mes questionner. Je répondrai toujours, je pense. Aucun tabou pour moi sur la dépression, bien au contraire. Et comme personne ne veut en parler, c’est l’occasion pour moi de laisser sortir tout ça.

    Édit :

    J’ai fait au plus vite pour première réponse. J’ai essayé de ne pas partir dans du pavé mais du coup, j’ai pas donné toutes les précisions. C’est pas que je veux pas donc allez-y.

  • le_bacteriophage

    Membre
    23 mai 2022 à 9 h 25 min

    @max qu’est-ce qui fait que tu penses aux médicaments aujourd’hui?

  • max

    Modérateur
    23 mai 2022 à 10 h 05 min

    @Le_bacteriophage beaucoup de problèmes sont insolubles, et me prennent la tête en continu, boire et fumer, c’est pas vraiment une solution viable. J’aurais parfois besoin de pouvoir faire le tri, laisser de côté les choses que je ne peux pas changer…

    À l’origine, je posais la question pour quelqu’un d’autre, mais j’avoue que ça me touche aussi.

    Une question qui m’intrigue sur la dépression : s’il s’agit d’un problème physiologique, un dysfonctionnement de neurotransmetteurs par exemple, alors les médicaments sont une solution logique, mais comment savoir si c’est bien le cas ? Beaucoup de gens sont catégorisés dépressifs, prennent des médicaments, alors qu’ils sont juste tristes, qu’ils n’arrivent pas à sortir de l’impasse sans que leur cerveau dysfonctionne pour autant.

  • le_bacteriophage

    Membre
    23 mai 2022 à 10 h 19 min

    @max

    En fait, il y a des tas de choses qui peuvent expliquer la dépression et ça commence à priori (comme toujours) par l’alimentation ou ce qu’on propose à notre corps (pour prendre en compte les drogues, peu importe lesquelles). Les intestins représentent le parasympathique qui prend tout l’aspect émotionnel à sa charge. Les bactéries qui bossent (un peu) pour notre microbiote envoient des informations au cerveau pour qu’il libère ce qu’il faut pour que le corps apporte une réponse appropriée à une situation donnée. En mangeant, buvant, fumant n’importe quoi, nos petites bactéries ne peuvent se charger de transmettre l’information correctement, surtout quand l’information en tant que telle manque…

    En gros, c’est ce que j’ai compris dernièrement à force de parler avec des gens qui s’intéressent à ça et de consulter quelques petits trucs à droite, à gauche.

    Après, faut pas non plus oublier que si tu veux résoudre tes problèmes intestinaux, t’as plutôt intérêt à ne pas te surcharger de stress. Parce que faire attention à ce qu’on mange pour limiter le stress tout en s’infligeant une quantité de stress pour contrôler tout ce qui entre dans notre corps, c’est pas le truc le plus efficace du monde même si il faut passer par là. C’est du vécu mais ptete que ça se voit? 🙂

    Je ne connais pas les effets des médicaments mais, si ton hygiène de vie est mauvaise (ou simplement en déséquilibre), tes intestins seront forcément en mauvaise condition (microbiote défaillant), en plus d’un probablement problème de porosité intestinale qui va allez foutre tout un gros bordel là-dedans. Ces médicaments vont représenter une sorte de pansement le temps que la cicatrisation ait le temps de se faire. Soit, tu peux patienter le temps de la cicatrisation (en rappelant le processus de cicatrisation demande énormément d’énergie au corps. J’aime bien l’analogie la psyché du coup) et tu te passes de la thérapie (ou des discussions poussées avec ton entourage sur tous les sujets qui s’imposent), soit tu choisis la thérapie mais il faut pouvoir trouver le bon thérapeute.

    Si tu as juste besoin de temps (vu que ton cheminement intérieur est déjà bien avance) et les médicaments me semblent être préférables à une situation à risque, les médicaments ne sont pas aberrant mais attention… Le travail, le vrai est ailleurs.

  • Membre Inconnu

    Membre
    23 mai 2022 à 13 h 06 min

    @Le_bacteriophage
    Je crois qu’il y a comme une légère erreur dans la posologie d’amphets enfantine que tu décrits.
    Parles-tu de mg ou alors, t’en bouffais réellement à coup de cuillère à soupe?
    Avec le dosage à la cuillère à soupe, t’as déjà du te procurer combien d’enfant chinois pour leur voler leurs reins?

    Plus sérieusement, ça doit faire 10 ans que je “m’auto-médique” avec des “médicament” pour adulte de manière très très épisodiques. J’avoue que les amphets, c’est pas mal mais alors, après 1 gramme en 2 jours sans dormir (le mode zombie du milieu de l’aprèm du 2ème jour c’est toujours intéressant) , chuis guérit pour au moins 2 mois.
    Pour les Neuro (quétiapine) ce truk la, j’en ai pris seulement en cas de non-sommeil extrême car, j’en fume une microdose sur une clope (moins d’un mg) et je me réveil la tronche dans l’assiette en me demandant comment je suis arrivé la.
    Pour ce qui est des anti-dépresseurs issus de laboratoires sous-terrain indépendant, je ne fais plus car, ça donne beaucoup trop envie de crever la semaine d’après médication mais alors, c’est drôlement efficace sur le coup.

    Je n’arrive pas à comprendre comment il est humainement possible de se dire qu’être constamment défoncé tout le temps de manière légale sous recommandation d’un charlatan des temps modernes est un semblant de solution.

    Le corps humain est simplement une machine à accepter.
    Si on n’accepte pas, la machine s’enraille.
    C’est à mon avis la seule chose à comprendre.

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