Mise à part qlqs réactions qui me semblent être plus de la provoc pour gratter spécifiquement là où ça démange, nous sommes, nous surdoués, “hystériquement” en croix vis à vis de l’injustice. Ça nous aura sans doute chacun dans notre histoire valu quelques déboires.
D’une manière perso je ne hiérarchise pas les injustices, celles envers les femmes pas plus que celles envers les enfants, les lanceurs d’alertes, les exploités, les manipulés, les trompés, les exclus, les animaux, les territoires, les institutions. Même vis à vis d’un gros con victime je bondis. Alors je dirais que le féminisme est à la fois pour moi une évidence et un non sujet en soi.