Psychanalyse ou neurosciences ?

  • noiram

    Membre
    14 février 2018 à 0 h 39 min

    Hmm forcément vu de ce point de vu là…

    Dois-je te rappeler que du crottin naît la plus belle des fleurs? 🙂

    Ce n’est pas facile à assimiler mais tout a un ordre, chaque action entraîne une réaction qu’elle soit bonne ou mauvaise, et si par exemple on déchire une belle feuille qui n’avait rien demander à personne et que chaque morceaux de cette feuille se retrouve au final à alimenter un beau feu! (heuuu c’est pas le bon exemple) Mais il faut garder à l’esprit (et au coeur si tu veux) que même les pires actions se retrouveront au final à l’origine de très belles choses. Nous n’y pouvons pas grand chose, MAIS parce qu’il y a un MAIS ahah! On ne voit et l’on ne retient que les mauvaises choses. Il est plus facile de sombrer vers l’obscur que de se hisser vers la lumière, les ascensions sont toujours terribles! Regarde le Mont Blanc ça n’a pas du être facile tout de même xD tandis que sauter du 10ème étage… ça tout le monde peut le faire non?

  • zack24

    Membre
    14 février 2018 à 11 h 56 min

    Oui , pas bêtes !😜
    Je commence à comprendre ce que tu me dis … mais c’est une questions compliqué ?!
    Je pense que peu etre notre societe tant vers le mieux avec ses autoflagellation et ses doléances , ses caprices .
    Peut être est ce en effet des stades préopératoires pour notre salut ! Et je conçois que l’humain n’a pas le même potentiel à s’accrocher à son idéal …
    Ét je pense que un amas de fumier étouffe toute culture si il est postée au meme endroit !
    Il en est de meme pour l’homme , les codes sociaux , les valeurs de l’homme sont orienté dans pas dans le cadre d’un équilibre mais dans celui de la domination instinctive par ses normes véhiculées. En effet beaucoups d’entre nous ne sont pas capable d’assumer les responsabilités ! Ét c’est tant mieux car profondément inhumain .
    Alors tout dépend ce que l’on appelle des grandes choses !
    L’écosystème est assumer par les végétaux et les animaux et l’homme au contrainte se sert de son environnement sans vergogne meme si il commence à avoir du mieux .
    Nous apprenons de nos erreur mais un esprit conditionner ne voit pas ses fautes …donc il faut du temps et j’espère que nous sommes pas déjà perdu ! Zèbre ou pas zèbre …
    Alors n’hésitons pas à parler aussi avec le coeur ét prendre le temps de réfléchir à ce que faisons .🙂

  • zack24

    Membre
    14 février 2018 à 12 h 24 min
  • aidos

    Membre
    16 mars 2018 à 16 h 35 min

    Zach24, tu fait quoi là? Tu donnes un cours?

  • Membre Inconnu

    Membre
    2 septembre 2018 à 6 h 16 min

    J’ai une question sur notre spécificité amigdalique en lien avec nos émotions.
    Quid de son rôle dans ce fatra d’émotivité ?
    C’est quoi chez nous qu’est pas pareil ?
    En fait ça fait deux questions
    Je suis un peu embrouillardisé et je crois que c’est important de savoir ces choses là en net.
    Merci !

  • Membre Inconnu

    Membre
    2 septembre 2018 à 7 h 23 min

    Connaissez-vous le mécanisme de la forclusion du nom du père et la castration dans le réel du registre symbolique de la psychose pendant le complexe oedipien durant la phase phallique ?

    Ce que je connais surtout, ce sont les phrases en français… Tu sais, cela consiste en un enchaînement de type “sujet + verbe + complément” ? On peut aussi utiliser des symboles appelés “ponctuations” qui permettent de différencier les propositions et de les rythmer…

    J’ajouterais que balancer des termes abscons n’apporte pas nécessairement de crédibilité. Quant à l’idée répandue par her Sigmund que tout les garçons veulent faire zizi-panpan avec moman, je m’en amuse…

  • Membre Inconnu

    Membre
    2 septembre 2018 à 10 h 11 min

    Jabber ?
    A oui moa pareil. Alors on va dire que je te demande rien et comme Je ne sais pas comment on fait un doigt avec le clavier en fait Môssieur je te laisse à la sodomie de tes diptère, si si ça me fais plaisir.

  • zack24

    Membre
    2 septembre 2018 à 10 h 21 min

    En fait , j’essaye seulement d’organiser ce que je sais en ayant des retours à travers vos questions . Depuis j’ai un peu avancer sur c’est question …
    La vérité je sais pas avec qui échanger car pour moi l’apprentissage passe aussi par des liens de pensées , une construction sur un sujet déterminé . Il me semble que ça fait un peu présomptueux et mes allégations sont un peu hasardeuses . Cette science est difficile et j’ai du mal à apprendre tout seul 😔

  • Membre Inconnu

    Membre
    2 septembre 2018 à 10 h 36 min

    Salut Zack, Tu sais on fait un peu tous pareil et si certains présomptueux te disent le contraire, te laisse pas faire, on rencontre parfois de la bassesse en intelligente. Laisse pas tomber et fait-le comme tu aimes le faire! Moi ça m’intéresse d’avoir des bases propres pour engager une réflexion, alors on va dire que j’ai besoin (avec tes mots) de toi pour démarrer. Enfin si tu peux/veux répondre ce serais cool. Merci Zack (que je te connais pas encore).

  • zack24

    Membre
    2 septembre 2018 à 11 h 03 min

    Oui XD ! En fait j’ai préparé une synthèse de mes connaissances sur ce sujet . Voilà mes mots 🤗

    La psychose se définit par une perte de contact avec la réalité et éventuellement un délire comme tentative de guérison , et des hallucinations . Le mécanisme constitutif de la psychose et la forclusion du nom du père du l’échec de la métaphore paternelle qui dans un processus normale est instillée pendant le complexe œdipien durant la phase phallique .

    La régression libidinale du sujet psychotique est lente et progressive parallèlement à la perte de contact avec la réalité après la décompensation de la structure . Celle ci peut aussi être brutale , la bouffée délirante aigu est la signe du déclenchement de la psychose grâce à un mécanisme que Freud appelle le retour du refoulé. Le refoulement est induit par le moi et demeure inconscient , la frustration inacceptable pour l’enfant d’une représentation pernicieuse et mortifère engendre le détachement de là libido à l’objet extérieur qui dans un second temps casse la chaîne de signifiant inconscient et crée une rupture de l’équilibre psychique par le mécanisme du retour du refoulé quand il revient à la conscience .

    le sujet est torturé par son moi faible du à l’absence du phallus paternelle , de la mère castratrice et ambivalence créant un surmoi tyrannique et du ca , qui sont des représentations du monde extérieur , soit du réel refoulé et admis comme réalité subjective. Donc le ca étant le dominant de l’inconscient, réservoir premier de l’énergie psychique où s’affrontent les pulsions de vie et de mort , instinct d’amour ou de conversation et thanatos , source d’agressivité et de destruction. Ensuite les pulsions inconscientes qui pour partie se propage dans le moi , siège des identifications et des résistances Transforme cette énergie en pulsions du moi tendant vers un but de satisfaction. En tenant compte que le désir inconscient n’est pas toujours celui du conscient…. Le surmoi quant à lui en partie inconscient est l’instance des remords , du repentir , en somme de la morale parentales et sociale . Donc l’adjonction d’un inconscient dont le signifiant du symbolique n’est pas inscrit dans son langage , déstructure l’ensemble de l’appareil psychique rendant le ca , le moi et le surmoi désorganisé et donnant naissance à de nombreux symptômes dont la conscience fait les frais .

    L’imaginaire en excès est la cause du replie social ou sa prédominance influe et déforme la perception du réel . En ce sens cette forme de catatonie est le précurseur de l’apragmatisme , du replié social et de la désorganisation et d’une défense narcissique persécutrice , mégalomaniaque ou erotomaniaque qui existe dans les psychose passionnelle . Avec délire de revendication , délire de jalousie . Quoi qu’il en soit la rupture de l’équilibre psychique fige un caractère immuable de la pensée par mécanisme structurel de défense propre à cette structure.

    Les antipsychotiques en réduisant l’imaginaire, permettent une meilleure prise sur le réel d’où sont effet anti déficitaire par son effet anti délirant et anti hallucinatoire.
    C’est dans la voie mésolimbique que cette drogue agit. La dopamine est un excitant du système nerveux , sa production sans l’aire mésencéphalique dans l’aire tegmentale ventrale et la pars compacta se propage dans le striatum ventrale et dorsale , dans le système limbique comprenant l’amygdale, les noyaux accumbens le corps mamillaire , le fornix et le thalamus . L’influe nerveux réduit dans cette voie réduit l’agressivité, la peur , l’anxiété, le plaisir, l’intention , le codage primitif des émotions primaires et du renforcement par conditionnement. Sans oublier la structure hippocampique , siège des souvenirs et du stockage de l’information à long terme . Donc par l’effet direct de neuroleptiques qui réduit l’influx nerveux par des blocages postsynatiques dans cette zone empêche l’apprentissage par le biais du circuit de papez où le renforcement positif du à l’émotion du plaisir et un défaut de potentialisation à long terme entre le circuit de la récompense et l’hippocampe est inhibibé . Dans le cortex cérébral au niveau prefrontal , un ralentissement de l’affluence de dopamine empêche la projection à long terme donc le raisonnement déductif qui se situe dans le cortex dorsolateral , le langage dans sa face intermédiaire et interne se trouve l’aire de broca et le comportement social dans le cortex orbitaire centre de traitement de la valeur émotionnelle d’un stimuli , de l’intention sont amoindrie. Ainsi les drogue protège contre les épilepsie temporale, sauvegardant certaines facultés cognitives au détriment des fonctions exécutives situées au niveau prefrontale . Il est dit que la dopamine serai en excès de production et causerai les symptômes productifs de la schizophrénie… son affluence surabondante dans le thalamus auditif peut être responsable des hallucinations auditives chez 85 pour cent des schizophrènes . Il y a une dégradation du tissu cellulaires dans le thalamus auditif qui par un excédent de dopamine produit qui stimulerai cette zone de manière trop importante conduisant aux hallucinations. Le délire quant à lui serai dû aux hippocampes et à La Défense psychotique du sujet qui reçoit des souvenirs dénaturer revenant à la conscience sans contrôle dans un versant imaginaire, interprétatif et persécutrices ou mégalomanes soit inhibititrice ou stimulatrice. Ses souvenirs peuvent être des images mentales créées de toute pièce appelé souvenirs écrans. Des images mentales peuvent être partiellement vrais , laissant place à interprétation et à l’imaginaire. Seul une bonne relativités pallie aux représentations pathologiques.

    C’est la conscience qui se bat contre l’inconscient créant une formation réactionnelle qu’est l’annulation rétroactive de l’affect par la condensation et l’isolement. l’inconscient qui sur la défensive du à une carence d’une structure stable , pour s’en protéger stimule la dopamine , excitant du sn, pour que par le mécanisme du délire et de la projection délirante tente de reproduire ce qui a été perdu . Une mère aimante et rassurante et un père structurant et puissant dans sa forme symbolique . La notion de l’Autre et de son désir .

    Les antipsychotiques par son action chimique bloquent les récepteurs postsynaptiques dopaminergiques, l’influx nerveux est ralentit et rétractent le réseaux neuronales en établissent des connections plus localisées. Au niveau de la projection corticales son blocage provoque une atrophie lobaire frontal à la hauteur de la posologie, de la durée et aussi du à l’exacerbation de l’oisiveté , de la torpeur angoissante directement articulée a l’effet du médicament.

    L’imaginaire est alors réglé selon une fantasmatique infantile du stade oral .

    Le stade du miroir est une étape décisive dans la construction imaginaire de l’enfant car il permet entre 18 et 24 mois d’édifier les prémices du moi et donc du narcissisme primaire pour peu que la mère reconnaisse l’enfant par un regard , une parole , une identification.

    Le complexe œdipien permet l’identification au père est donc au phallus paternelle par sa fonction symbolique et du renforcement du moi , interdisant l’inceste .
    Interdit le désir de la mère par un refoulement originaire par le moi dans l’inconscient et qui par le mécanisme du retour du refoulé permet d’acquérir sous forme d’une métaphore appellé métabolisme hôte du nom du pere , une transcription dans l’inconscient du désir parletre.Effet d’un signifiant inconscient qui régule le discours par la captation du désir de l’Autre sous forme d’une métaphore du signifiant symbolique .

    Dans la topologie lacanienne du symbolique , du réel et de l’imaginaire , le symbolique doit est-ce dans le réel pour que l’imaginaire soit adapté à l’autre comme à l’Autre.

    Le délire est en fait une tentative de guérison, de reconstruction de l’esprit . Une production morbide et où en ce lieu l’imaginaire prends le dessus sur le réel dans médiation du symbolique. Le psychotique est donc hors discours car il se voit dans l’autre dans une image miroir dont le sens lui échappe et où se joue une tension agressive ou erotique sans prisme entre ses deux extrêmes paroxystique des émotions humaines .

    La marque de la forclusion du nom du pere est donc ce lieu où les perceptions du réel reviennent sous forme délirante et où hallucinatoire

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