@shainag
J’adore les réflexions qui désossent…je m’engouffre…
Je te rejoint sur la passerelles des trois état du temps, passé; présent, futur, la rythmique induit les trois temps, elle les appelle. elles sont corrélées à nos signifiants profonds (corporel, battement organique du cœurs), donc en ce sens elles peuvent aussi être déstructurantes.
Qu’est ce que tu appelle “forme géométrique” ? Quand tu parles de ça j’y voie des structures cognitives, et le compositeur de jouer avec les attendus, les dissonances (de manière consciente ou pas) échos de nos structures et donc de ce qui devrait être présent (forme géométrique globale ou l’absence d’un élément reste présent par un ensemble cohérent, échos de dissonance, la note bleu 🙂 ), c’est ça ? ou pas du tout ?
Le temps et l’espace vont de pair…
@guillome
Pour moi le temps de la musique est une nappe des possibles, elle rejoint notre flux ou tout émerge, le lien énergique à soi. Et la mélodie, une charge émotive, qui joue sur ce flux, pression, dissonance, elle reflète en échos nos mouvement émotif qui distordent le flux quotidien de notre énergie, la comprime, la libère, la tord…
Le son c’est de la matière…la transcription corporelle de la musique…
C’st ce flux solidifié et tordu qui nous envoûte…