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Cinéma
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Ces films exprimant si bien la difficulté de vivre
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Ces films exprimant si bien la difficulté de vivre
Ces films exprimant si bien la difficulté de vivre, les combats menés, le besoin de respirer, d’exister, la résilience…
Je commence par celui-ci, car je l’ai vu il n’y a pas très longtemps.
Precious (2009) de Lee Daniels avec Gabourey Sidibe
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11 Réponses
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Je voulais vous présenter le film avec un speech bien fait mais je vais aller à l’essentiel : Isabelle CARRÉ et l’enfer du décor pour les gens déviants.
Je le recommande vraiment.
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Merci @quetzal, je le mets dans ma liste des films à voir 🙂.
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2 films qui m’ont assez secoué :
A Monster Calls : quelques minutes après minuit
et
I kill Giants : Chasseuses de Géants
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Merci @baf pour ton partage 🙂.
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Regardé hier “A Monster Calls : quelques minutes après minuit”.
Bon film fantastique mêlant l’imaginaire à la dure réalité.
Merci pour le partage.
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A la recherche du bonheur (2005)
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<div>Dans les forêts de Sibérie, film d’aventure de Safy Nebbou avec Raphaël Personnaz et Evgeniy Sidikhin, adapté du récit autobiographique éponyme de Sylvain Tesson.
</div>https://www.youtube.com/watch?v=Qw1_m9NdEoc
“Pour assouvir un besoin de liberté, Teddy décide de partir loin du bruit du monde, et s’installe seul dans une cabane, sur les rives gelées du lac Baïkal. Une nuit, perdu dans le blizzard, il est secouru par Aleksei, un Russe en cavale qui vit caché dans la forêt sibérienne depuis des années. Entre ces deux hommes que tout oppose, l’amitié va naître aussi soudaine qu’essentielle.”
Bande originale : Ibrahim Maalouf
https://www.youtube.com/watch?v=Z0ElTBRRUHg
Le livre est le carnet d’ermitage de l’auteur Sylvain Tesson – Dans les forêts de Sibérie (2011)
https://www.babelio.com/livres/Tesson-Dans-les-forets-de-Siberie/281102
“Assez tôt, j’ai compris que je n’allais pas pouvoir faire grand-chose pour changer le monde. Je me suis alors promis de m’installer quelque temps, seul, dans une cabane. Dans les forêts de Sibérie.
J’ai acquis une isba de bois, loin de tout, sur les bords du lac Baïkal.
Là, pendant six mois, à cinq jours de marche du premier village, perdu dans une nature démesurée, j’ai tâché d’être heureux.
Je crois y être parvenu.
Deux chiens, un poêle à bois, une fenêtre ouverte sur un lac suffisent à la vie.
Et si la liberté consistait à posséder le temps ?
Et si le bonheur revenait à disposer de solitude, d’espace et de silence – toutes choses dont manqueront les générations futures ?
Tant qu’il y aura des cabanes au fond des bois, rien ne sera tout à fait perdu.” -
Pour moi c’est extrêmement fort et incroyablement prêt, sans doute par identification avec le personnage principal
, du coup c’est un peu biaisé, surtout que beaucoup de personne à qui je le conseille ne l’aiment pas. -
Oui oui oui cette chaîne YouTube est super, analyse hyper intéressante des différentes morts de personnages de films. J’aime beaucoup 👍😄
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