Mieux vaut tard que jamais

  • Mieux vaut tard que jamais

    Publié par jonayla le 20 décembre 2018 at 18 h 53 min

    Apprendre Ă  70 ans qu’on est un zĂšbre, c’est Ă  vous faire pousser des rayures.
    Plus sĂ©rieusement, je me languis d’un homme avec qui je pourrais partager tout et n’importe quoi, dans ma tranche d’Ăąge, bien sĂ»r…
    Dure, dure la solitude !

    hiro33 a rĂ©pondu 6 years, 1 month ago 4 Membres · 3 RĂ©ponses
  • 3 RĂ©ponses


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  • cissy

    Member
    20 décembre 2018 at 20 h 22 min

    Oui mieux vaut tard que jamais. J’ai 42 ans et je viens de comprendre. C’est un remaniement total de sa maniĂšre de se concevoir. Rassurant quelque part malgrĂ© tout.J’imagine que cela ne doit pas ĂȘtre simple pour autant. Aujourd’hui c’est Jeanne Siaud qui me comprends le mieux ! 😉

  • ailleursland

    Member
    20 décembre 2018 at 22 h 26 min

    Youhou ! vive les rayures et tant mieux si elles apparaissent un peu tard !
    Tant mieux si tu te dĂ©couvres ou te confirmes enfin… Il fut un temps oĂč il n’Ă©tait mĂȘme pas question d’envisager quelques diffĂ©rences sans les cataloguer de pathologies Ă  enfermer… Disons mĂȘme qu’il s’agit d’une nouveautĂ© et qu’il lui faudra un certain temps avant qu’elle devienne une vĂ©ritable Ă©vidence.

    Je te souhaite de trouver celui qui sera aussi plaisant qu’assurant et dĂ©sinvolte que tu apprĂ©cierais qu’il soit… mais peut-ĂȘtre est-ce autres distinguants (le pluriel n’existe pas… tant pis, je l’invente, il a son Ă©tat d’ĂȘtre) et alors, je te souhaite qu’il soit par ici.

  • hiro33

    Member
    21 décembre 2018 at 14 h 24 min

    Depuis mon tout jeune Ăąge, je me suis toujours senti Ă  part. Dans l’impossibilitĂ© d’exprimer pleinement non seulement mes pensĂ©es mais plus spĂ©cialement mes Ă©motions, je me suis Ă©loigne d’un rythme scolaire classique qui cachait bien mon Ă©tat. Resultat: De premier de la classe, j’ai su trustĂ© les pires rangs. La raison. Je ne l’ai jamais parfaitement compris. Surement. J’en avais marre de faire semblant. Je n’apprenait pas par des mots, mais par des perceptions Ă©motionnelles aux tourbillements diverses e. Il t variĂ©s. Il me parait dĂ©sormais impossible de revenir Ă  mon Ă©tat d’usine. Oui, je crois qu’aprĂšs la perte, par principes de vie, de mes amis d’enfance et l’Ă©loignement social de ma cousine, celle qui savait m’Ă©couter vraiment j’ai perdu pied. Le mot “surdouĂ©” m’a toujours impressionnĂ© mais il a fallu que j’en comprenne la vraie signification Ă  29 ans. Je n’ai pas pu terminer mon cycle Licence… Depuis 7 ans. Et je crois malgrĂ© tout que le bonheur est la chose pour la quelle j’ai peur de perdre pied Ă  la situation existentielle de l’humanitĂ©.. C’Ă©tait long? DĂ©solĂ©…

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