@Neba je peux enfin vous répondre.
Pourquoi cet actualisation ?
Parce que je suis tombé sur des informations en rapport au moment où j’ai posté ces messages. Ni plus, ni moins.
Qui est parano à vos yeux ? Oserez-vous le dire ?
Pourquoi devrais je me porter juge sur la question ? N’est ce pas à chacun de se remettre en question, en consultant ces articles, et de s’auto-évaluer pour savoir s’il serait ou non concerné par le sujet ?
Ne pourrait-on pas simplement voir un homme blessé par la vie ressentant une difficulté émotionnelle quand on pose des jugements sur lui ?
Là je ne vous suis pas.
Lui dire qu’il est parano arrangera sont état émotionnel ?
La réponse est évidemment non. Par contre, poser la question, directement ou indirectement selon le profit type, peut aider selon les cas.
Ou est passé l’amour de votre prochain et votre miséricorde ?
Mais il est omniprésent, l’ami. Omniprésent.
N’est-ce pas finalement Juda qui se cache derrière ce pseudo ?
Eh bien, eh bien. Vous semblez dans l’ignorance de la réalité concernant mon ami Judas. Mais c’est un autre sujet. Pour résumé, il a été instrumentalisé, tout comme ma personne, à des fins politiques (d’ordre politico-religieux pour être exact, ou luttes des pouvoirs).
De plus, notez que si j’ai employé le terme “cannabinoïde”, c’est uniquement pour reprendre le terme employé dans l’article. Et si d’autres individus emploient ce terme, cela n’a aucun rapport avec moi. Je préfère que la chose soit claire en raison d’accusations fatigantes à la longue. Gérer les profils à tendance paranoïaque n’est pas mon travail. Contribuer à les soigner si je le peux, oui.
Dans tous les cas : si vous pensez quelque chose à propos de quelqu’un, au lieu de tricoter quelques complots sur la personne, posez simplement la question. C’est simple, facile, et bien souvent efficace. Pourquoi compliquer ce qui peut être simple après tout ? (réciproquement : pourquoi chercher à simplifier ce qui est complexe et déjà compressé au mieux du possible)