[Membre Inconnu]

Alors comme je l’ai déjà dit, personnellement je lis plusieurs livres en même temps . Mon moment de lecture est le soir, dans mon lit. J’ai besoin d’être “plongée” dans ma lecture pour m’immerger dans ce que je lis et le “vivre” à 100%.

Plusieurs livres à la fois me permet de “choisir” selon mon humour, ma journée, mon envie ce que je vais lire

Voici mes lectures du moment :

– livre d’Anne Perry : du “so british” sans être dans l’Agatha Christie vu que les histoires se déroulent à l’époque Victorienne et dans la “high society” … un inspecteur venant lui d’une classe sociale + “basse” mais avec une épouse qui a une soeur qui a épousé un aristocrate. Assez d’humour vis-à-vis de la différence de ces 2 classes sociales avec du cynisme sur la “high society” … délassant et j’aime le “so british” style

– livre sur des chroniques d’un médecin légiste parce que je suis passionnée de criminologie et que le métier de médecin légiste m’aurait beaucoup plu ( j’aurais été incapable de faire médecine de peur de faire “mal” aux patients et le travail de médecin légiste a une connotation d'”enquête” qui me plairait

– livre de Richard North Patterson , un auteur que j’aime beaucoup et qui mélange du judiciaire à un peu de la politique américaine

– livre sur le psychologie des chiens parce que passionnée d’éthologie , premier métier dont je rêvais à 10ans (et donc passion depuis 40 ans ! )

– livre de Daniel Hammet , personne découverte grâce à @byaku que je remercie

– re-re-re lecture des BD de Léonard le génie parce que c’est tout simplement génial de cynisme, plein de détails sur chaque dessin et des petits “sous-personnages” (Raoul le chat, Bernadette la souris et la crâne) qui me font mourir de rire

[Membre Inconnu]

nan ! je n’y arrive pas ! mais je dois être trop près d’la mer, mon esprit dit vague beaucoup trop :+) peut être quand j’en aurai marre et, …, sur toucan mon veau de cerf aura dit géré, tout ce que je lui ai fait ingurgiter depuis quelques semaines… mais je pie cormoran corps tel la mouette dans le si-on… du labour webesque :+)

[shan]

“Autre question : lisez-vous plus au vu du confinement actuel ?”

C’est prévu…mas je n’ai pas encore commencé. ^^

[shan]

“je dois être trop près d’la mer, mon esprit dit vague beaucoup trop” j’aime 🙂

[Membre Inconnu]

@Zelos tu te trompe sur mes goûts en lecture dans ceux que tu cites, celui qui m’interpelle et m’intéresserait le plus est “La controverse de Valladolid” (je le note d’ailleurs ^^)

[veronica27]

J’aurais bien bien voulu lire un maximum pendant le confinement. Mais j’ai surtout admiré les piles de livres sans savoir vraiment lequel commencer. Et concentration pas au top pendant cette période… Je me disais je vais pouvoir faire 1000 choses. Et finalement pas tant que ça. Car justement… Trop de choses à faire et en très grande quantité ! Enormissime même 😂 Donc difficile de commencer quoi que ce soit…

[veronica27]

Joli choix Isabelle, j’en retient 3 qui vont me plaire ! Merci à toi pour ce partage.

[marco]

“Au lieu de vendre ton cul, prends ton dû !”

Tel pourrait être la conclusion de cet essai concret de Henry David Thoreau. 👌

[Membre Inconnu]

@Quetzal il doit aimer Emil Cioran (que j’adore ! )qui a écrit : “Les hommes travaillent généralement trop pour pouvoir encore rester
eux-mêmes. Le travail : une malédiction que l’homme a transformée en
volupté. Oeuvrer de toutes ses forces pour le seul amour du travail,
tirer de la joie d’un effort qui ne mène qu’à des accomplissements sans
valeur, estimer qu’on ne peut se réaliser autrement que par le labeur
incessant — voilà une chose révoltante et incompréhensible. Le travail
permanent et soutenu abrutit, banalise et rend impersonnel. Le centre
d’intérêt de l’individu se déplace de son milieu subjectif vers une fade
objectivité ; l’homme se désintéresse alors de son propre destin, de
son évolution intérieure, pour s’attacher à n’importe quoi : l’œuvre
véritable, qui devrait être une activité de permanente transfiguration,
est devenue un moyen d’extériorisation qui lui fait quitter l’intime de
son être. Il est significatif que le travail en soit venu à désigner une
activité purement extérieure : aussi l’homme ne s’y réalise-t-il pas —
il réalise.” tiré de son livre “Sur les cimes du désespoir”