[Membre Inconnu]

@itsme je les aime ces personnes que l’on “croise”, je les appelle des “passeurs” et même si je ne les revois pas, je ne les oublie jamais … 🙂

[Membre Inconnu]

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[Membre Inconnu]

@zelos euh … je m’en rappelle plus .. quand bien même, il est toujours utile de se remettre en mémoire certaines choses

[Membre Inconnu]

Mike Horn , tout d’abord un véritable aventurier mais surtout un homme qui a tant de choses à partager sur la vie dans toute son essence “primaire” et “primordiale”

[gaetz]

Les aphories paradoxalles de Yogi Berra, ancien entraineur de baseball, ma préférée : -«Tu devrais toujours aller aux funérailles des autres. Sinon, ils n’iront pas aux tiennes!»

[Membre Inconnu]

Petit leitmotiv du jour ^^

[gaetz]

On contre-balance :

On se demande parfois si la vie à un sens… Et puis on rencontre des êtres qui donnent un sens à la vie. Brassaï

[Membre Inconnu]

@gaetz Amusant ! Cela fonctionne dans les deux sens : Grâce à notre goût de la philosophie, notre vie peut enfin avoir du sens… Et puis on rencontre des êtres qui arrivent à nous faire demander ce qu’on fout là…

lol

[Membre Inconnu]

<div>“Puisqu’on ne peut changer la direction du vent, il faut apprendre à orienter les voiles.
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Je crois que dans ce monde, la principale raison de vivre, c’est la découverte.

Ce que je porte en moi est ce que je suis réellement. C’est le principe de la pellicule. Une pellicule a besoin de noir pour exister.

Le récit de ma vie me paraît tellement sinistre que je ne peux pas vous en parler sans un fond sonore de circonstance, «la marche funèbre», par exemple…

Ma mère est morte lorsque j’avais neuf ans… Qu’est-ce qu’elle voulait que je fasse? Que je me débrouille tout seul.

Je suis un petit garnement hyper-sérieux, affreusement gauche et tellement angoissé que je ne comprends pas comment les gens font pour rester dans la même pièce que moi. Moi, je sais que je ne pourrais pas me supporter.

Quand je joue du bono, le monde entier peut aller se faire voir.” James Dean

[fredoz]

Par le petit garçon qui meurt près de sa mère

Tandis que des enfants s’amusent au parterre

Et par l’oiseau blessé qui ne sait pas comment

Son aile tout à coup s’ensanglante et descend

Par la soif et la faim et le délire ardent

Je vous salue, Marie

Par les gosses battus, par l’ivrogne qui rentre

Par l’âne qui reçoit des coups de pied au ventre

Et par l’humiliation de l’innocent châtié

Par la vierge vendue qu’on a déshabillée

Par le fils dont la mère a été insultée

Je vous salue, Marie

Par la vieille qui, trébuchant sous trop de poids

S’écrie “mon Dieu !” par le malheureux dont les bras

Ne purent s’appuyer sur une amour humaine

Comme la Croix du Fils sur Simon de Cyrène

Par le cheval tombé sous le chariot qu’il traîne

Je vous salue, Marie

Par les quatre horizons qui crucifient le monde

Par tous ceux dont la chair se déchire ou succombe

Par ceux qui sont sans pieds, par ceux qui sont sans mains

Par le malade que l’on opère et qui geint

Et par le juste mis au rang des assassins

Je vous salue, Marie

Par la mère apprenant que son fils est guéri

Par l’oiseau rappelant l’oiseau tombé du nid

Par l’herbe qui a soif et recueille l’ondée

Par le baiser perdu par l’amour redonné

Et par le mendiant retrouvant sa monnaie

Je vous salue, Marie

Georges Brassens