Les hommes viennent de Mars et les femmes de Venus ?

  • Les hommes viennent de Mars et les femmes de Venus ?

    Publié par olbius le 3 octobre 2017 à 14 h 13 min

    Il paraît que les hommes viennent de Mars et les femmes de Venus… Qu’est-ce que cette phrase signifie pour vous ? Est-ce que vous pensez qu’il y a des différences fondamentales entre les hommes et les femmes, qui justifient une telle affirmation ?

    Les hommes viennent de Mars, les femmes viennent de Venus

    Membre Inconnu a répondu il y a 2 années, 5 mois 4 Membres · 6 Réponses
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  • Membre Inconnu

    Membre
    4 octobre 2017 à 10 h 13 min

    J’ai lu le livre plusieurs fois et c’est vrai qu’au niveau des besoins il y a une différence. On n’a pas les mêmes préoccupations et face à une situation donné on réagira différemment car les femmes sont plus dans le ressenti que les hommes sauf exception. Quand vous avez un problème vous vous enfermez dans votre caverne, nous on parle et on est comme une vague. Lisez le livre vous comprendrez mieux.

  • minos

    Membre
    19 novembre 2021 à 21 h 26 min

    J’ai vu le sketch de ce type que tu cites @maolantaroma et j’ai été plutôt bluffé par la justesse de son analyse… Indépendamment du fait que je le trouve imbuvable dans sa diction et ses manières.

    Sur le sujet du fil. J’ai effectivement moi-même acquis la conviction qu’hommes et femmes sont des êtres qui se distinguent assez nettement de par leurs fonctionnements spécifiques.

    Je crois pouvoir “entendre” les attentes féminines, mais je ne suis pas souvent prêt à y répondre parce que cela me nécessite un effort qui me coûte personnellement… Et simplement parce que je n’estime pas justifié de trop transiger pour quiconque de l’homme que je suis (et qui me plait) fondamentalement… Oui oui, je suis ce que l’on pourrait communément appeler “un gros con”.

    Il y a que ma personnalité induit que je ne suis pas “moderne” dans l’esprit et dans mon comportement… Je serais en fait une sorte “d’homme de Cro-Magnon” en mon caractère “imposant”, voir dominateur. Sur le coup, cela peut être séduisant et attirant pour une femelle de mon espèce qui apprécie aussi d’être dirigée et qui se rassure à côtoyer un individu sûr de lui, mais à l’usage, cela devient vite oppressant pour elle. La soumission objective à laquelle elle peut se sentir contrainte lui déplaira souvent… Là où moi, je ne suis que moi-même au naturel et alors que je ne veux que lui apporter en l’encourageant à avancer personnellement, le type de rapport que je sollicite (“à mon corps défendant”) pourra lui apparaitre freiné ses velléités de développement et il faudra qu’elle soit très éprise pour rester auprès de moi et me tolérer…

  • minos

    Membre
    22 novembre 2021 à 3 h 23 min

    @maolantaroma

    “Gros con”, on l’est véritablement et concrètement tous à un moment ou à un autre. On se comporte mal, on se montre idiot en réagissant sous le coup de l’émotion ou cruel envers autrui en réaction, voir-même gratuitement. Néanmoins, oui, cette caractéristique est loin de me définir substantiellement (on est bien d’accord) ^^… Mon commentaire était plus de l’ordre de l’autodérision que de “l’autoflagellation”.

    C’est toujours bien plus délicat de répondre à un commentaire élogieux qu’à une critique… Mais relativement à ce que tu as écrit à mon sujet, je te dirais que j’en ai totalement conscience et que tu m’analyses remarquablement.

    J’apprécie que tu conçoives correctement mon utilisation du terme “femelle”… Par ailleurs, je ne me déconsidère nullement en me qualifiant de “mâle”. C’est exactement ce que nous sommes tout aussi bien.

    Indépendamment de la réflexion que je pourrais en tirer, il est essentiel pour moi de considérer au plus objectivement, honnêtement et (donc) complètement un évènement ou une personne.

    Tu as raison, je pourrai bien “changer” un peu, je ne suis pas un monolithe inerte… Et cela me serait (évidemment) d’autant plus facile si je me sentirai particulièrement attiré par quelqu’une (ce qui s’est déjà produit). Mais alors, si on n’a pas l’impression de “transiger”, de s’adapter ou de renoncer à une part de soi pour l’autre, n’est pas parce que l’on ne change pas vraiment, pas fondamentalement pour elle ?… Ou que l’intérêt qu’elle nous communique est si grand que tout “renoncement” est gommé jusqu’à en devenir inexistant ?…

  • minos

    Membre
    22 novembre 2021 à 10 h 31 min

    Tu t’exprimes comme un sagouin, mais ce que tu communiques n’est pas complètement débile (j’ironise, ‘le prend pas mal). Ta conception est intéressante (lorsque tu écris que posséder une queue induirait un développement du besoin intime-charnel-sexuel différent que si on était équipé d’une chatte)… Mais tu m’as perdu ensuite, si tu pouvais développer ton idée…

    Pour ce qui est de ton dernier commentaire, d’expérience, j’ai constaté que j’avais besoin de trouver du répondant chez une compagne-partenaire. J’ai vécu avec une femme gentille, pas chiante du tout, pas conne, mais pas très éveillée non plus (sans être méchant)… Et cela ne me convient absolument pas !

    Sans rechercher les profils “tordus” (qui ne l’est pas en quelque chose ?), il se trouve que j’ai aimé échanger (strictement virtuellement dans son cas) avec une “borderline” (diagnostiquée) ou d’autres femmes aux psychologies “éperdues” et “limites” dans d’autres genres. Je me suis également confronté à des intellects stimulants et des caractères féminins très affirmés et là encore, ça ne me déplait pas (si tant est que l’on sache admettre ses torts), au contraire, cela m’apporte. J’appréhende intuitivement, instinctivement presque “les jeux de pouvoir” dans un couple. Je me considère comme un dominant naturel et étant ce que je suis (assuré), il ne me vient pas à l’idée de devoir m’imposer à l’autre. Si cette autre-là est avec moi, c’est qu’elle m’admet et me reconnait assez clairement (je ne me cache pas)… Et si je peux partager agréablement avec elle, c’est tout aussi bien que je lui ai découvert des qualités humaines qui sont compatibles avec mes attentes… Et même si elle a des velléités de prédominance, je peux même lui en concéder sans dérangement (sans que cela engage mon intégrité) dans une bonne mesure par égard pour elle et ce qu’elle m’amène qui me séduit.

    A tort ou à raison, je ne crains pas un esprit brillant ou que je soupçonne tortueux, je ne me suis senti en danger avec aucun de ceux que j’ai côtoyé jusqu’ici… Cependant, je peux être sur mes gardes, me méfier, être défiant et l’étudier particulièrement attentivement avant de m’exposer plus franchement à lui moi-même… Quoique, à la réflexion, je ne ressens vraiment pas souvent qu’il me serait nécessaire de prendre des précautions avec quiconque.

  • minos

    Membre
    22 novembre 2021 à 12 h 27 min

    Je crois que l’entente idéale ne le serait vraiment que si aucune notion de “renoncement” n’interfèrerait dans la relation. Mais je ne suis pas sûr que l’idéal existe et je ne l’ai (malheureusement) moi-même encore jamais rencontré. Ce pourquoi, je serais plus enclin à prendre en compte une part de concession, fut-elle objectivement admise et à ce point librement accepté qu’elle n’en serait plus tout à fait… Tout en en étant tout de même une… ^^

    Je vois toutefois très précisément ce que tu évoques à travers “ce don qui te grandi”. Je comprends ton sentiment et je l’estime juste… Tu es dans le vrai et tu as de la chance d’avoir su t’ouvrir à ton compagnon de cette manière, ainsi tu es certainement plus épanouie dans cette relation et tu dois évoluer positivement… Comme (je m’en doute), lui profite mieux de ces rapports apaisés.

    Reste que tu n’es toujours pas “comblée” d’évidence. Tu l’exprimes manifestement… Je ne te jette pas la pierre, celle-là est dans le jardin de beaucoup (et il y a un énorme rocher dans le mien).

    Je t’assure que tu t’emballes beaucoup trop vite à mon sujet (même si je sais que tu rigoles), je peux bien être singulier, intéressant ou pertinent à l’occasion, je n’en demeure pas moins un gigantesque paquet de défauts et de failles en parallèle !

    “Parfait”, c’est ce qui me définirait le moins bien en réalité… Et encore heureux d’ailleurs !… Je crois que j’arriverais à m’emmerder terriblement moi-même de me savoir ainsi affublé. Non, je ne suis qu’un être humain ambivalent au milieu de tous les autres et cette conception me va très bien. Être “parfait”, c’est être “fini”, sans espoir d’avancement… La perfection c’est la mort, la perfectibilité, la vie.

  • Membre Inconnu

    Membre
    28 novembre 2021 à 11 h 39 min

    Coucou, oui je pense qu’il existe des différences fondamentales, à la fois physiologiques et sociales, et qu’il est vraiment important de les connaître et les comprendre… Ceci dit doit-on pour autant les accepter telles qu’elles, ces différentes, et se contenter de s’y adapter ? Ou alors essayer ensemble d’en de construire certaines pour qu’elles ne soient plus un obstacle à la sérénité du couple ? Que ce soit l’une ou l’autre de ces réponses, la seule chose pour moi qui peut faire que ça marche est d’expliciter nos ressentis… Puisque ce qui va de soi pour l’un ne va forcément de soi pour l’autre. Si il y a une volonté générale de se comprendre réellement, de faire cet effort, alors je veux croire que tout est possible !!!!! Youpi vive l’amouuuur

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