Bonjour !
Pfff pareil, dure à mettre en route depuis quelques jours la motiv’…j’opte pour 2 stratégies :
– La première m’obliger à faire les trucs que je n’ai pas le temps de faire d’habitude – des trucs que je n’aime pas donc, puisqu’habituellement je les diffère allègrement – de toutes façons je suis incapable de ne rien glander, le sentiment d’auto-satisfaction est important pour moi. Par exemple si je fais plein de trucs chi**** je sais que je me sentirais mieux une fois ces tâches accomplies, en gros c’est un peu une récompense par un état de bien être, et de pouvoir faire ce dont j’ai envie ensuite en étant plus sereine.
– La deuxième est de m’autoriser cette non motivation de temps en temps ; on vit quand même dans un monde de sur-sollicitation et sur-information permanente, même si l’on apprend à s’en protéger on reçoit quand même des choses malgré nous, et c’est limite un réflexe de survie de savoir prendre des moments off – quand bien même ils ne seraient pas vraiment off mais juste exempts de contrainte. Cette stratégie est plus compliquée pour moi car j’ai tendance à culpabiliser si je ne suis pas fière de moi jusqu’à me dire parfois que je suis une belle branleuse. ^^
L’idée étant de tendre vers un équilibre entre les activités épanouissantes et celles qui me désespèrent rien que de penser à avoir à les faire, et à réussir à placer la sérénité au dessus de l’angoisse. Rien que de savoir que je n’ai encore rien foutu ce matin ça me gonfle parce que je sais qu’il va falloir m’y coller d’ici peu, tout en me félicitant de prendre du temps pour vous lire et échanger sur ce site parce que quand même c’est cool et ça fait plaisir.
🙂