Les 6 types de zèbres

  • Les 6 types de zèbres

    Publié par leloupsolitaire le 5 octobre 2019 à 2 h 21 min

    Bonjour à tous. 

    Je crée ce sujet histoire que l’on discute un peu de ces 6 stéréotypes de “surdoués” qui ont été définis jusqu’alors.

    Je ne sais pas ce que vous en pensez mais il me semble que l’on devrait chercher à se rapprocher du type 6, l’autonome, non ? Il me paraît être le plus heureux et accompli 😁

    Membre Inconnu a répondu il y a 3 années, 10 mois 6 Membres · 5 Réponses
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  • Membre Inconnu

    Membre
    5 octobre 2019 à 13 h 54 min

    6 stéréotypes de “surdoués” qui ont été définis jusqu’alors.

    Ah bon ? Où ça ? Par qui ?

    Personnellement, je n’en ai jamais entendu parlé…

  • Membre Inconnu

    Membre
    5 octobre 2019 à 14 h 26 min
  • meynone

    Membre
    5 octobre 2019 à 14 h 42 min

    https://www.hauts-potentiels.ch/hauts-potentiels/six-types-ou-profils-de-surdoues-par-betts-neihart/

    Moi non plus j’en avais jamais entendu parlé mais quelques petites recherches sur Google plus tard j’ai compris de quoi il parlait @jabberwocky lol… :p

    Ça reste une théorie donc elle est bien sûr réfutable… mais je suis bien insuffisamment calée sur le sujet pour la contredire, donc admettons qu’elle soit vraie je me retrouverais plutôt dans le profil 1 jusqu’à l’entrée au collège, après peut-être un peu le profil 3 bien que je me retrouve pas dans tout par exemple “docile” je pense pas après j’imagine que les fréquentations jouent un rôle assez important… Puis au lycée à partir de 16 ans environ, quand j’ai commencé à suivre uniquement des cours qui m’intéressaient vraiment je pense que je suis repassée vers le profil 1, mais je travaillais toujours pas mes cours chez moi pour autant jusqu’à l’après-bac où j’ai commencé à prendre conscience qu’il fallait devenir sérieuse donc travailler mes cours chez moi, puis je pense que c’est quand j’ai capté que j’étais peut-être surdouée que je suis devenue le profil 6 enfait, il y’a 1 an seulement, après peut-être que c’est une simple coïncidence parce que je revenais d’un voyage de 8 mois j’avais gagné en maturité et j’avais hâte d’étudier à nouveau, après avoir failli me retrouver sans aucune école bref y’avait tout un contexte aussi donc je ne pourrais pas le dire mais en tout cas oui comme tu dis @leloupsolitaire je pense même que c’est le seul profil qui est réellement heureux et accompli et pour cause, quand t’es sûr de toi, enthousiaste, que tu t’acceptes comme tu es et que tu acceptes les autres comme ils sont, ça conduit automatiquement à des effets très positifs sur toi et sur les autres, tu te sens alors accepté par autrui, encouragé, quand t’étudies quelque chose qui te passionne tu as la soif de connaissance et la rage d’apprendre, quand tu comprends que si tu ne commet jamais d’erreur, s’il ne t’arrive jamais d’échec alors tu n’évolues pas ou très peu, tu ne peux qu’accueillir l’échec, etc….tout les effets de ces attitudes et sentiments t’amènent à prendre conscience du “pouvoir” que tu as…Tu fixes toi-même tes propres objectifs et t’as la rage d’apprendre, de fait la motivation intrinsèque est très élevée… Pour conclure je pense que toutes les conséquences qui découlent de ça sont positives, sources de bonheur et d’accomplissement selon moi… Je pense que quelque soit le “profil majoritaire” que nous ayons à la base, le plus bénéfique serait de tendre vers ce dernier profil, comme tu l’as dit celui qui est le plus heureux et accompli !

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 juin 2020 à 18 h 40 min

    Hmm…avant de dégager des types il faudrait déjà que la sphère professionnelle de la douance se mette d’accord sur ce qu’est un zèbre. On en est loooiiin.

  • Membre Inconnu

    Membre
    27 juin 2020 à 0 h 52 min

    Je ne connaissais pas, j’ai écouté et noté les caractéristiques qui me correspondent. Je trouve un peu catégorisant cette façon de découper, d’accord avec @Anonyme, on est loin d’avoir tout compris.

    N’empêche y a un côté intéressant.

    Dans celui “qui réussit”, j’ai reconnu la peine à exprimer mes émotions, l’intellectualisation des sentiments, enfouir les émotions par peur de la désapprobation (“Ah, mais qu”est-ce que tu es senbible”, trop, trop entendu).

    Dans celui “qui provoque” : pose des questions, défend son point de vue, drôle, créatif, sur la défensive (ça va mieux), franc et direct (j’ai dû me calmer, je passais pour trop trash), aborder les problèmes de façon active, envie de changer et l’exprimer, une faible estime de moi (ça va beaucoup beaucoup mieux), conteste les règles (je n’arrêterais jamais), rebelle (alterno post-punk), je ne me suis jamais imaginé HP (je le découvre à 50 ans par hasard).

    Dans “honteux” : sentiments et émotions embrouillés (ça rejoint la peine à les exprimer), émotions qui bouillonnent (j’ai appris à respirer).

    Dans celui “qui décroche” : marginal (c’est une décision consciente), s’isole volontairement (pour me recentrer), fait le pitre (ça m’arrive encore, parfois. Quand j’ai bu je suis rigolo, dit-on).

    Et puis est arrivé “autonome”, j’ai arrêté de noter car je me reconnais en chaque points, tous, sauf peut-être un bémol pour sûr de soi, c’est fluctuant, ça dépend de tellement de choses.

    Comme quoi, c’est vraiment ardu de nous catégoriser à ce point et aussi que l’on peut évoluer comme il a été dit.

    Allez au boulot, tous autonomes, ça se travaille.

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