Répondre à: Test d’évaluation d’intelligence de Mensa

  • green

    Membre
    20 février 2021 à 22 h 35 min

    @jabberwocky

    En fait, tu n’as pas à t’excuser […] Tu seras absoute à condition de faire, ce soir, trois Pater et cinq Ave.

    C’est fait chef ! j’en ai fait deux de plus pour la route, histoire d’être sure !

    Peut-être que le test du Mensa revient moins cher que le WAIS ?

    Oui c’est quasi-sur/évident, au vu de comment sont fait les vrais tests de QI et de ce qu’ils impliquent (notamment toute l’interprétation qui est faite/du “guide” fournis avec, y compris l’analyse du “patient” et de son comportement pendant la passation, entre autres). Et puis surtout leur portée, l’un “ouvre les portes” d’une association et l’autre est un réel bilan avec valeur médico-légale il me semble, donc les attentes de ceux qui les ont fait ne sont pas du tout les mêmes au départ…

    On peut mentir, peut-être pour se sentir à la hauteur ou légitime ? Tout ce qui est en lien avec l’ego ou le narcissisme peut justifier ce type de comportement.

    Oui, c’est vrai. Cependant, il serait là, plutôt question de se “montrer” à la hauteur (au regard des autres), de manière totalement volontaire (donc en ayant réelle conscience des résultats, temps trop long ou autre), plutôt que de “se sentir”, qui serait un peu moins volontaire pour le coup. Une fois le test passé, les résultats tombent et c’est un fait. Il apparait alors difficile de se les cacher, et même si on n’ose pas intégrer ce fait, qu’on se trouve des excuses et qu’on transforme un peu la vérité, pour que la “pilule” passe plus facilement à nos propres yeux. Il n’en demeure pas moins qu’à un moment donné il y aura quand même un certain sentiment d’illégitimité/d’échec qu’on ne pourra pas cacher à nous même très longtemps : le doute aura alors toute sa place dans notre esprit concernant cette légitimité. Sinon il y a aussi l’option qui prend en compte que “le test n’a pas de valeur”, et où la personne chercherait légitimité et surtout rassurance sur ces capacités en mentant sur ses résultats, partant du principe que de toute façon, le test n’est pas représentatif.