@alaric : je n’ai pas tout lu, par contre, mais que ce qui m’intéressait particulièrement.
Je voulais notamment savoir ce qui était pris en compte comme étant des caractéristiques du HPI. Mais en fait, ce ne sont pas des caractéristiques qui diffèrent des personnes qui ne sont pas HPI, car tout le monde les possède (je pense entre autres à la pensée divergente)… La différence étant que chez les HPI ou HQI, les résultats sont plus élevés / meilleurs pour certaines caractéristiques cognitives… Voilà tout.
Et puis il y a l’entrainement, aussi, qui peut permettre de développer certaines capacités…
Dans tous les cas, je trouve que c’est encore plus difficile que ce que je pensais de s’auto-évaluer HPI ou HQI ou d’évaluer les autres… Comment savoir si quelqu’un est HPI ou pas sans ces tests wais ?
On va donc plutôt estimer pour moi le QI ou encore l’intelligence de quelqu’un par rapport à nos propres références… Ce qu’on se sera mis dans la tête.
Autrement, ce livre met par exemple en lumière le fait que certains signes évocateurs (comme des intérêts restreints, un “resserrement des champs de passion”) peuvent semer la confusion entre le haut potentiel et certains formes d’autisme ou encore avec le TDAH…
Cela parle de l’isolement social qui peut être généré par des capacités sociales réduites ou encore une personnalité peu sociable, etc. Et pas par le HPI…
Ce que j’ai bien noté aussi, c’est qu’un HPI a plus d’intuitions, mais cela ne veut pas dire qu’elles sont plus justes… Ni qu’elles sont moins justes, non plus, d’ailleurs… Et si nous sommes plus résistants à certains biais cognitifs (je pense à ceux liés au “groupe”), nous ne le sommes pas à tous…