Test surdoué


Contenus connexes :

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 juin 2019 à 11 h 04 min

    @et-pourtant Brain downloads, c’est une masse d’informations, équivalente à une ou plusieurs bibliothèques, dans la tête, d’un seul coup. Je n’ai pas lu ça quelque part, je l’ai vécu.

    “On a appris” je ne crois pas à ce genre d’infos. On nous dit des tas mais des tas de choses complètement fausses. Je fonctionne surtout au feeling, et c’est suffisant.

     

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 juin 2019 à 11 h 22 min

    @aann

    La souffrance est nécessaire, elle nous dirige, nous motive. La “prochaine génération” a tendance a être systématiquement prise pour le “sauveur”, eux ou quelqu’un d’autre, peu importe, du moment que c’est pas nous. Nous avons tous une seule chose à faire ici et maintenant, c’est de vivre notre vie dans le respect de nous même et des autres (c’est suffisamment difficile). Pour changer j’ai besoin de voir ce que je ne dois pas faire. Ecouter les autres débattre ajoute des perspectives. Les juger et ne rien faire de plus, n’ajoute certainement rien. J’ai besoin de me confronter aux erreurs que je commets, que d’autres commettent, pour comprendre (dans tous les domaines sans exception) et avoir un sens. Un sens qui ne convient qu’à moi.

    Les problèmes climatiques, … les solutions existent et sont gardées secrètes. Tout peut être nettoyé du jour au lendemain grâce aux technologies gardées au plus profond de la terre histoire que personnes ne les trouve… Mais cette info-là, il faut ce niveau de conscience dont tu parles pour le savoir.

    Si la vérité est dévoilée, un jour, le pervers narcissique en chacun de nous risque de perdre la tête en un instant. Le degré de perversité et de mensonge est indescriptible.

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 juin 2019 à 12 h 54 min

    Oui Idaprista, “tant que ce n’est pas nous”. Mais avant d’être sauveur, il faut d’abord être penseur. Je ne me situe pas dans cette catégorie là, trop de choses me dépassent, et il y a des gens bien plus qualifiés que moi pour ça. Et si c’est vers eux que j’ai envie de me tourner, c’est parce que je suis désemparée quand je vois où on en est. Syndrome de la grenouille cuite.

    Pour la question du sens, j’ai lu un jour quelque part que la vie n’en avait aucun et qu’il nous revenait, à nous seuls, de lui donner une direction. Trouver ce sens et se dire que c’est OK pour soi, c’est déjà du travail. On est tous égaux là-dessus. Mais ça ne peut pas s’arrêter à ça. Quand on aura dix fois fait le tour de Me & Myself, et qu’on en aura marre de penser tout seul dans son coin on aura envie (non, je rectifie) fatalement besoin d’élargir à plus grand que soi. Avec le spectre de la responsabilité profilé dans l’ombre de nos pas.

    Je veux bien croire tout ce qu’on veut tant que le contraire n’est pas démontré, tu cites par exemple des solutions cachées existantes attendant de se dévoiler au bon moment. En attendant, nos choix et libertés se rétrécissent grave en peau de chagrin et c’est mesurable de jour en jour.

    Et pour ce qui est de la part de pervers narcissique en chacun de nous, je ne lui connais bien qu’une kryptonite.

    Un miroir.

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 juin 2019 à 13 h 08 min

    @aann, mon expérience me montre que quand je cherche je trouve, ensuite de nouvelles questions montent et je trouve de nouvelles solutions, ou de nouvelles impasses. Ce que je vois et comprends c’est que ça ne s’arrêtera jamais, effectivement.

    Ceux qui ne réfléchissent pas autant s’imagine qu’ils vont se perdre, s’arrêter, se fatiguer. Etre désemparé et perdu est nécessaire au changement. Sans ça, c’est trop confortable pour changer/penser quoi que ce soit. Il n’y a aucune autre solution, souffrir est un must. Il y a de quoi penser, de quoi faire probablement, pour l’éternité.

    Mais je ne pense pas qu’en tant qu’humain (whatever that means) on puisse s’imaginer quelque chose proche de qui se passe “réellement”.

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 juin 2019 à 20 h 26 min

    Merci pour vos réponses.

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 juin 2019 à 22 h 32 min

    Pour moi, le test a permis une mesure tangible à un instant donné, ça a été le début une prise de conscience nécessaire. L’ajout d’une dimension ou disons, d’un nouvel éclairage. Je distingue mieux et comprends mieux mon histoire, me relations aux autres et surtout la réciproque. C’est pas la révolution, mais c’est quand même important, la prise de conscience de soi, en soi, amenant aussi une prise de confiance. C’est important qui plus est que cela vous soi dit par une tierce personne de confiance, je pense au psy qui vous fait le bilan cognitif, en tout cas si vous avez des questions à ce sujet. Cela sans quoi j’ai l’impression que ça reste de l’ordre du sentiment personnel…

  • Membre Inconnu

    Membre
    27 juin 2019 à 9 h 45 min

    Merci f4b3

     

  • chance

    Membre
    28 juin 2019 à 0 h 40 min

    quelques remarques sur les visions des uns et des autres.

    Nos libertés qui se réduisent de jour en jour. Triste réalité d’une dictature technologique en plein essort, avec nécessairement une majorité consentante, voir la servitude volontaire d’Etienne de la Boétie.

    Les masses sont souvent inconscientes et inconséquentes. Mi innocentes, mi responsables. Comme nous tous. Notre conscience ne nous engage que rarement vers des choix “difficiles” car hors système. Notre confort nous va quand même, A la différence que nous en profitons moins car nous n’en voyons pas le sens positif.

    Souvent, malgré toutes mes connaissances, aptitudes et expériences, je me sent impuissant, n’ayant en finalité jamais su intégrer la masse, ni ses dirigeants, pour agir réellement en société. Car je ne me sent comme faisant partie d’aucune d’entre elle. La servitude tout comme la domination me répugnent naturellement. Ce n’est pas le type d’émotions, de projections, de croyances qui correspondent a mes mecanismes d’analyse et de ressenti. Dans nos societes tout est globalement assez animal, au sens hiérarchisé, et conformiste du terme. Peu de gens veulent atteindre, voient, ou croient en leur force unique et créatrice. En leur différence sociabilisée. Le mimétisme est de rigueur, comme chez les animaux, mais nous, homo sapiens sapiens, nous avons la faculté exceptionnelle de transmuter et sublimer l’émotion d’amour universel en expressions individuelles personnalisées. C’est génial, c’est l’amour pour nos proches, c’est la création a tout niveaux…. Autre débat fondamental, dont le développement est fondamental. Car ceci n’est que la conclusion positive, en cette ère de grands changements.

  • Membre Inconnu

    Membre
    28 juin 2019 à 9 h 09 min

    @chance

    Chaque jour tu peux contribuer au changement. Vouloir impliquer les autres est un leurre, ils sont libres. Le changement fait peur, est inconfortable, et difficile à affronter chaque jour. Sortir du lot n’est que pression, oppression. C’est normal et sein, pour une personne sans passion pour le changement, de se l’imaginer au lieu d’agir.

    Changer est un mode de vie, personnel. Se comparer aux autres et/ou attendre les autres pour agir en groupe est une réelle perte de temps.

Page 2 sur 2

Connectez-vous pour répondre.