@isabelle1970
Heu oui d’accooord… Avec le titre de ton sujet, je pensais que mon intervention pourrait s’avérer salvatrice pour quelqu’un… Mais donc nan, c’est pas encore ce coup-ci que je pourrais sauver mon âme (contre une autre, c’est ça le deal)…
J’vais peut-être passer pour le rabat-joie de service mais franchement, il t’en faut peu pour t’enthousiasmer à toi !…
Perso’, j’ai un spectre émotionnel bien moins “accidenté”, j’apprécie ou je suis déçu mais je ne me passionne pas ni ne me désole vraiment… ça a ses bons côtés aussi ; Si je n’escalade pas les pics de positivisme comme un forcené, je n’explore jamais non plus les souterrains assombris lorsque la terrrrrrrrible (!) réalité se rappelle à moi ^^
Sinon, pour répondre à ta question et même sans avoir fait médecine, je ne suis pas soucieux à ce stade… Je vais te laisser sortir, mais tu reviens me voir dans un mois si les symptômes ne se sont pas résorbés… A ce moment-là par contre, il faudra vraiment s’inquiéter et on envisagera un traitement lourd à base de discussion avec notre-Etienne-à-nous-qu’on-a… C’est une thérapie un peu moyenâgeuse c’est sûr mais bon, ‘faut s’qui faut non ?… Tu veux guérir ou bien ?…