[Membre Inconnu]

En tant qu’auteur , un peu absent, je suis tenu de répondre aux post anciens, n’en tenez pas compte (sauf la personne concernée) et continuez la discussion, svp
@bel

Perso quand je peux différer une réaction, je prends le temps de
respirer avec la sensation inconfortable de mon égo qui perçoit un
danger, je peux aussi me demander quelles peurs se cachent derrière ou
contacter mon enfant intérieur en lui rayonnant beaucoup d’amour
silencieux pour lui permettre d’exprimer toutes ses émotions qui
débordent et pour le rassurer sur la légitimité de ses ressentis. Si je
ne peux pas différer, je fais la même chose mais juste après

Bonjour Bel, ok, donc tu vois ton ego comme un enfant, qui fait un caprice en voulant tout de suite. Donc tu essayes de différer mais si le bébé pleure trop, tu t’exécutes?

L’éducation ancienne, nous apprenait trop à le réfréner, et celle d’aujourd’hui à trop le suivre. Perso je serais pour le suivre au maximum, mais après analyse de la “légitimité” de la demande de l’ego. En analysant si c’est vraiment la priorité (par rapport à ce qu’on veut vraiment faire) et s’il respecte certaines “règles de vie” qu’on s’est fixé: pas de caprice, qui globalement, ferait régresser le projet de vie.

Mais ne pas perdre de vue que la satisfaction vient elle pas de l’accomplissement de cette demande?

Dans le sujet, il y avait aussi, le rapport aux autres.