Vivre avec la tempête intérieure

  • Vivre avec la tempête intérieure

    Publié par moby le 5 février 2020 à 15 h 34 min

    Bonjour à tous,

    Ça fait quelques temps maintenant que j’ai des doutes sur une éventuelle douance. J’ai pas fait le test, j’ai peut être un peu peur du résultat. Du coup, parfois je me dis que je suis un cheval avec les problèmes de zèbres mais sans les rayures… Enfin, bref, ce qui est sûr c’est que je suis hypersensibe. 

    L’eau a coulé sous le pont mais depuis quelques jours, j’ai l’impression qu’une porte s’est ouverte en moi. Mon cerveau part dans tous les sens, comme s’il avait hiberné depuis tout ce temps. Ça me donne presque l’envie de pleurer, c’est déroutant !

    Je suis au chômage et j’ai l’impression de pas avoir assez de temps à moi avec tout ce que je veux faire : le dessin, le cube, la méditation, j’ai commencé à apprendre le japonais, il y a des livres que je devrais lire… 

    Je passe mes journées enfermé dans mon petit appart, à diriger cette tempête pour qu’elle diminue et par peur de voir ma tête exploser.

    Et en même temps, j’ai l’impression de rien faire de concret pour “avancer”.

    Donc, si certains ont des conseils ou simplement une histoire similaire, n’hésitez pas à m’en dire plus.



     

    bagayaga a répondu il y a 4 années, 2 mois 8 Membres · 13 Réponses
  • 13 Réponses
  • max

    Modérateur
    5 février 2020 à 15 h 39 min

    J’apprends moi aussi à gérer tout ça, je n’ai qu’un conseil à te donner : agis ! Fait sortir ce qui doit sortir de ta tête, écrit, peint, étudie, suis tes envies… La frustration c’est le plus grand danger

  • Membre Inconnu

    Membre
    5 février 2020 à 15 h 46 min

    je dirais la même chose ..; j’ai dû arrêter de travailler pour des raisons de santé il y a déjà plusieurs années .. au début, difficile et puis maintenant, en fait c’est une chance pour moi, parce qu’en effet, il y a tant de choses que je veux apprendre , découvrir, approfondir .. et j’ai le temps pour ça :). Oui je suis + pauvre financièrement mais tellement + riches émotionnellement et mon cerveau peut enfin se nourrir 🙂 .

    “impression de ne rien faire de concret pour avancer ” : ne serait-ce pas plutôt la société qui nous donne l’image de ce que veut dire “avancer” ? En ce qui me concerne, je suis “hors norme sociales” , je ne travaille plus, j’ai peu d’amis, je sors parfois mais uniquement si nécessaire ou pour voir justement ce peu d’ami. Le reste du temps, je suis chez moi et je “nourris” mon cerveau (les 2 hémisphères) avec tous les outils que je trouve .

    Parfois les gens me demandent si je ne m’ennuie pas à rester chez moi et je leur répond que je ne m’ennuie jamais seule mais que je peux parfois énormément m’ennuyer avec plein de gens autour de moi… ce n’est pas “socialement acceptable” de dire cela mais c’est ma vérité 🙂  .. j’ai passé trop de temps à vouloir faire “comme tout le monde” et je m’y suis perdue 😉 🙂

  • pulsar

    Membre
    6 février 2020 à 0 h 56 min

    Salut @moby.

    Ta situation et ton ressenti me rappellent beaucoup cas. Je suis officiellement au chomage depuis presque sept ans et demi (même si dans les faits, on peut rajouter un peu plus de 2 ans). Pendant longtemps, j’ai eu l’impression de stagner littéralement dans ma vie. À cette époque je traversais une dépression tellement sévère qu’il ne me venait même pas à l’esprit de la soigner. Ma vie était paticulièrement sombre à cette époque et je me raccrochais au monde extérieur avec ce que je pouvais, c’est-à-dire pas grand chose.

    Mais ça, c’était jusqu’à il y a bientôt 2 ans. À cette époque, une énième nouvelle conseillère de Pôle Emploi m’a (enfin !) demandé si j’avais déjà passé un test de QI. L’idée lui est venue en regardant mon CV qui la laissait perplexe. Et j’ai répondu que non. Alors elle m’a orienté vers une prestation de bilan de compétence. Dans la structure qui dispensait cette prestation, j’ai eu l’occasion de rencotrer une dame formidable et pleine d’énergie qui, au 3e rendez-vous, m’a balancé cash à la figure un mémorable « Vous, monsieur, vous êtes un zèbre ! ».

    Moi : « Gné ?? »

    Elle : « Oui oui, vous êtes un zèbre. »

    C’était ma première rencontre avec ce terme utilisé dans ce sens là. Et cette super nénette (la filoute !), sachant mon penchant pour aller creuser à droite et à gauche pour glaner des infos, s’est bien gardée de m’expliquer de quoi il s’agissait, poursuivant son petit monologue en le parsemant d’autres termes du type haut potentiel, multipotentiel, etc. Toutes les expressions y sont passées.

    Quand je suis rentré chez moi, je me suis renseigné sur ce fameux zèbre que j’étais censé être. Conclusion sur le moment : c’est tentant mais non, c’est pas pour moi. J’ai laissé ça de côté pendant quelques mois. Jusqu’à ce que les événements fassent émerger ça de nouveau. Entre temps, ma vision du monde commençait à s’éclaircir quelque peu. Comme si quelque chose s’était amorcé en moi. Alors j’ai passé le test, non sans quelque appréhension. La crainte de m’être trompé, notamment. Ah, foutu syndrome de l’imposteur ! Résultat : rayures ! Plein ! Partout ! Et depuis, ça va bien mieux. Et je peux enfin dire que je suis sorti de cette foutue dépression que je traine depuis tant d’années.

    Toutefois, je ne dirais pas que c’est le fait de passer le test qui m’a libéré, mais ça y a contribué en m’aidant à me comprendre. Car le compte-rendu de ce fameux test est fait pour mettre en lumière comme on fonctionne, nos points faibles et nos points forts en termes de cognition. Et, contrairement à ce que le grand public pense, il ne s’agit pas uniquement de tests logico-mathématiques. Et j’avoue que ça déconcerte un peu.

    Bref, se connaître mieux permet d’aller mieux dans sa peau. Et petit conseil au passage : vu que tu est inscrit à Pôle Emploi, il y a un petit test que tu peux faire gratuitement et qui t’aidera à te connaître mieux : le Big Five (de Monkey Tie) disponible via le site de Pôle Emploi. C’est un test de personnalité hyper détaillé et complet. Et tu peux aussi faire le test RIASEC (je ne sais pas si c’est son vrai nom ni s’il est dispo via PE) pour découvrir tes tendances naturelles de travail. Vachement utile, celui-là aussi.

    Et tant qu’à faire d’apprendre à se connaître, va donc passer le MBTI aussi, mais cette fois via le lien dispo dans sujet dédié du groupe « Tests de personnalité ». Tu verras, ça t’aidera. (et puis tu feras une heureuse! N’est-ce pas @bagayaga ? )Wink En ce qui me concerne, je me surprends depuis quelques semaines à me projeter dans l’avenir et à avoir espoir en celui-ci ; alors qu’il y a quelques mois, il n’y avait rien de tout cela.

    Autre conseil pour avoir un minimum la sensation d’avancer : fais des listes détaillées de ce que tu dois faire (avec des cases à cocher, j’ai remarqué que ça marche beaucoup mieux). N’hésite pas à détailler le plus possible car plus tu cochera de cases, plus t’auras naturellement envie d’en faire plus pour en cocher plus. Dit comme ça, ça a l’air con mais ça marche.

    Le plus dur avec le chômage, c’est que plus ça va, moins ça va. Je ne dis pas qu’avec mes conseils ce sera la joie tous les jours (c’est pas miraculeux non plus), mais ça t’aidera à avancer au moins un peu. Et puis se connaître soi-même n’est jamais une perte de temps.Ça permet même parfois de se rendre compte que nos besoins ne sont pas forcément ceux que l’on croyait ! Et ça c’est toujours bon à prendre !

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 février 2020 à 6 h 02 min

    @moby

    C’est certainement plus facile à dire… Mais tu ne devrais quand même pas redouter le résultat d’une évaluation de ta “zébritude” (de toute façon jamais complètement fiable). Puis en l’occurrence, quand bien même celui-ci viendrait à infirmer ton sentiment de posséder “des rayures”, peu devrait t’importer véritablement ; Un vulgaire test ne remettra jamais en cause celui que tu es et sa valeur fondamentale inaliénable !

    Pour ma part, je ne suis pas testé… Mais ce n’est que dû au fait que je réside dans un endroit très loin de tout et notamment de structures et de professionnels susceptibles de traiter ce sujet spécifique. Sinon, ma curiosité m’aurait entraîné à “le tenter” (sans nulles illusions ni attentes importantes)… D’ailleurs, ce n’est pas anodin si beaucoup de “sites dédiés” admettent en leur sein des non détectés (comme moi) parmi eux ; In fine, “le but du jeu” est quand même essentiellement de rassembler le plus grand nombre de personnes et dès lors qu’elles se retrouvent en quelque chose au sein d’un rassemblement distinct, elles y trouvent leur place “naturellement”.

    Je présuppose donc d’être plus ou moins moi-même un profil typé (possiblement plutôt asperger) de cette nature (au regard des quelques recherches et observations que j’ai entrepris à ce propos) mais je n’en ai donc aucune certitude et il est certain que pour ce qui me concerne, cela ne me crée pas de manque ou de frustration en considérant que je connais très bien (quoi qu’il en soit ou qu’on en dise) ma vraie valeur…

    Tu dis apprécié de dessiner, de méditer et autres activités susceptibles d’ouvrir ton esprit au monde et à son immense diversité ?… Eh bien consacre toi-y pleinement et autant que tu le peux si cela t’apporte. Profites au mieux du temps que tu as en disponibilité pour te vouer à ces activités propres à t’éveiller à toi-même autant qu’à l’extérieur !

    Par ailleurs, d’utiliser ainsi tes journées à des pratiques agréables et instructives pourrait bien te conférer plus d’assurance et t’amener à les partager avec d’autres qui apprécient également tes centres d’intérêts (ici ou ailleurs)… Aujourd’hui, “la toile” te donne libre accès à des groupes humains qui te suggèrerons une potentielle proximité et à l’intérieur d’eux, compte tenu de la belle variété naturelle à laquelle nul n’échappe, il est plus que probable que tu échangeras avec des “semblables” avec lesquels tu te découvriras plus d’affinité encore… Jusqu’à (soyons fou !) ce que cela vous conduisent à vous rencontrer “en vrai” ! ^^

    En l’espèce, ce site-ci devrait pouvoir bien te convenir… Testé ou non que tu seras ou resteras…

  • bagayaga

    Membre
    6 février 2020 à 6 h 49 min

    @pulsarTon témoignage est super Pulsar^^ Merci. On apprend à te connaître^^ Et je me mare parce que je me suis dit il doit être chercheur au CNRS^^C’est stupide car nous n’avons pas forcément les métiers de nos QIJe m’explique plus j’ai tenté de trouver un travail en lien avec mon intellect plus je me suis sabotée^^Par hasard j’ai trouvé mon métier actuel, qui est manuel. Et là bingo! Ça me permet de faire lae vide, de me reposer. Comme une sorte de méditation^^ C’est simple et je crois que c’est une bonne piste^^ Pulsi @pulsar sinon prof de techno et ou de physique^^ Ils cherchent des vacataires !Le MBTI en répondant en toute honnêteté. C’est à dire en prenant le temos^^ Donne je trouve en effet une idée de ses forces et ses faiblesses^^ Je suis très étonnée @pulsar que tu le mentionnes vieux brigand^^ Vu notre escarmouche à ce sujet^^ Quoi qu’il en soit, tu n’es pas seul^^ On est là ! Et pas besoin de test de QI pour voir que tu es une personne sensée^^ Et perso moi ça me suffit^^ Le doute est selon moi la qualité number one^^ Même si cela épuise. Douter est vraiment sain. Belle journée à toi^^ Au plaisir !

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 février 2020 à 10 h 01 min

    @bagayaga @pulsar que serions-nous sans le doute ? la remise en question constante ? Même si des fois c’est “envahissant” voire “fatiguant” je ne voudrais jamais “perdre” cela … ça permet d’avancer, de changer, d’évoluer … je ne veux pas d’une vie ” electrocardiogramme et electroencephalogramme” plats ^^

  • moby

    Membre
    6 février 2020 à 10 h 24 min

    Merci à tous, mon moral oscille beaucoup et hier j’étais un peu dans un creux.

    J’ai commencé à travailler avec un coach de vie (zèbre) et j’espère avancer dans la bonne direction. Mais le cerveau qui “se réveille” c’est un peu déstabilisant.

    Quand je pense que je suis tombé sur des articles de zèbres en cherchant à vérifier si j’étais un pervers narcissique… Laughing.

    Encore merci à tous, I can do it !! we can do it !!

  • spectra

    Membre
    6 février 2020 à 10 h 26 min

    Le zèbre qui pense être un Pervers Narcissique est un grand classique, on est tous plus ou moins passé par là (du moins pour ma part).

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 février 2020 à 22 h 59 min

    C’est normal que ça fasse peur mais il faut sauter le pas, moi aussi ça m’a fait ça car finalement tu te dis, peut être que je suis comme ça ou peut être que je trompe, tu ne sais plus où te positionner. Soit je suis hyperesthésique soit je me trompe, je suppose que ça dois te faire ça. Ça implique ton identité, ce n’est pas mettre des gens dans des cases mais juste les identifier.

    Ça va te faire stresser a bloque quand tu attendras les résultats, mais il faut sauter le pas, au moins tu sauras vraiment qui tu es, surtout si tu as le faux self.

    Si tu veux, tu peux donner des exemples de comportement et on peut essayer de voir un peu se qu’il en ait, ça peux déjà rassurer.

  • pulsar

    Membre
    8 février 2020 à 0 h 46 min

    @bagayaga Arf… Me parle pas de CNRS… J’aurais pu/dû y rentrer mais j’ai planté mes études à cause d’un PN et des conséquences que ça a eu sur ma vie. Notamment l’autosabotage soigneusement dissimulé par une magnifique anosognosie. Mais avec le recul, et au vu des quelques trous du c’ que j’ai pu croiser dans certains labos, je me demande si ce n’est pas mieux ainsi… (Même dans les labos de la DGA, ils sont beaucoup plus “détendus” du slip malgré la nature de leur travail !!). Pendant longtemps, j’ai cru que j’avais atteint mon seuil d’incompétence (merci les cours tranversaux d’économie d’entreprise !!). Heureusement non, et je le sais grâce aux personnes qui ont su m’identifier comme zèbre. Je leur en suis reconnaissant.

    Quand tu dis “les métiers de nos QI”, je ne suis pas convaincu qu’il y ait des métiers qui correspondent à des QI particuliers. Ou en tout cas pour le QI tel qu’il est mesuré actuellement. Notamment la dimension de ce qu’on appelle couramment l’intelligence pratique, celle qu’on utilise dans les métiers manuels (qui, soit dit en passant, sont bien plus respectables à mes yeux que bon nombre de métiers dits intellectuels). Je crois plutôt qu’il y a des métiers adaptés à chaque façon dont est “répartie” notre intelligence, qu’on pourrait regrouper selon des enembles de tendances.

    Moi aussi, j’aime bien faire des trucs avec mes mains (et rien qu’avec mes mains, hein ! Parce que je vous vois venir!). Le bricolage essentiellement. Ça me vide la tête aussi, mais j’ai pas cette sensation de repos ou de méditation après. Et quand je ne réfléchis pas, c’est là que j’ai tendance à faire des conneries irrattrapables (un coup de scie en trop, pas les bonnes dimensions, un trou pas au bon endroit…). Et puis on m’a racconté quelques anecdotes à propos des profs de techno (notamment de mon ancien collège mais pas que), et je crois que beaucoup d’entre eux ont été mis à ces postes parce que ce sont de gros branquignoles ! Pas tous mais un bon nombre en tout cas.

    Quant à être prof (ou à y jouer), je crois que ce n’est pas dans l’intérêt des élèves. Au niveau de leur intégrité physique, notamment. Parce qu’à un moment, mes niveaux de patience et de tolérence à la connerie vont très vite atteindre le seuil critique où au moins l’un-e- d’entre eux va voler par la fenêtre. J’ai aucune patience à ce niveau-là… Et j’ai pas envie de finir en taule à cause de petits cons insolents.

    Concenrnant le MBTI, je suis tout à fait d’accord avec toi : c’est un indicateur de tendances. Mais quand on n’a pas conscience que ce n’est que ça (ce qui est déjà pas mal en soi), on peut très vite le prendre comme une étiqueteuse automatique… Quant à dire qu’il y a eu escarmouche entre nous, pas du tout ! J’ai juste sorti le fouet pour montrer qui était le maître, rien de plus. Et apparamment t’as aimé ça ! XD

    Et pour ce qui est de mon cas perso, ne t’inquiète pas. Ça va bien mieux qu’il y a ne serait-ce que 6 mois. Comme si, jour après jour, j’ouvrais les yeux un peu lus grand. Comme une sensation de réveil un peu plus intense chaque jour. Ça fait vraiment bizarre. Surtout quand je me rends compte que je n’ai quasiment rien vécu depuis presque 10 ans, comme si j’étais passé à côté de cette décénie perdue. Ça fait un peu chier mais tant pis. Et je me dis que c’était peut-être un mal nécessaire pour pouvoir aller bien mieux ensuite. Là, je suis en peine réflexion à propos d’une reprise d’études mais cette fois en alternance mais dans un domaine proche de ce que j’aime.

    À propos du doute, je te rejoins partiellement sur le sujet : le doute n’est sain que dans une certaine mesure. Trop douter est paralysant, en plus d’être épuisant psychologiquement parlant. J’en ai moi-même été victime à la fin de mes études (merci le PN !). Je doutais tellement de moi que j’en ai foiré mes exams même si ça m’a pris beaucoup de temps pour m’en rendre compte. Et à contrario, douter trop peu voire pas du tout n’est pas bon non plus : ça conduit à des certitudes qui peuvent elles aussi être handicapantes. Sans parler de l’orgueil.

    Et pour finir, revenons au sujet : la « tempête intérieure ». Je n’ai pas l’impression d’y avoir été sujet. Un peu d’ «excitation intellectuelle » par moments, tout au plus. À moins que ce soit feue ma dépression qui m’ait anesthésié le cerveau de ce point de vue. Mais ce qui est marrant, c’est quand je discute avec le responsable qui gère le fab lab que je fréquente : là, oui, ça part un peu dans tous les sens. Les idées fusent et quand on discute ensemble, si tu t’absentes 2 minutes et que tu reviens après, on aura changé de sujet, ou bien on aura tellement approfondi le sujet que ça en donnera l’impression pour quelqu’un d’extérieur. Et je trouve ça vachement sympa.

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