[Membre Inconnu]

Je ne “chie” sur personne, je relevais juste (en mode dérision) que le nickname de @jabberwocky était “chiant” à écrire (tu me donnes d’ailleurs implicitement raison en l’appelant toi-même “Jabber” ^^)… Par ailleurs, je n’ai rien contre le bonhomme (puisqu’il faut se justifier)…

Je sais bien, pas de soucis 😉
Et moi non plus, je n’ai rien contre toi.

[Membre Inconnu]

Merci pour ton lien @byaku , c’est passionnant !

[byaku]

Rien de si révolutionnaire en soi ni (et encore moins) quelque chose dont on pourrait prétendre que cela “règle le débat” à ce propos…

C’est là que je ne suis pas vraiment d’accord. C’est assez révolutionnaire justement ces études via les IRM. Ça prouve que les différences de fonctionnement ne sont pas que des ” mythes ” , je ne vais pas refaire un résumé des liens que je t’ai proposé, mais beaucoup de choses qui sont révélés par les IRM sont assez éloquentes. Et c’est des études qu’on peut assez difficilement remettre en cause, donc y’a pas trop de débat autour de ça dans la communauté scientifique. C’est même surement admis il me semble ( pas sur je voudrais pas m’avancer, mais hautement probable ).

Sans que ça remette en cause sa personne puisqu’on écrit tous des conneries à un moment ou à un autre, n’est-ce pas “byak” ?… ^^

On ne peut plus d’accord

Je ne “chie” sur personne

Oui je sais je fini par le début ^^ C’était tacon de parler. Pas du bien sérieux … C’est mon fameux langage pas toujours super adapté ^^ toi même tu sais gros

[Membre Inconnu]

@byaku et @jabberwocky

Je fais un tir groupé pour une fois et parce que “vous formez un beau couple” selon la formule que j’empreinte à @mujerkassa (qui aurait certainement préférée que je l’oublie ^^)…

Il y a aussi que je suis facilement à tout prendre au premier degré a priori et lorsqu’on me dit “tu chies sur untel”, je me visualise facilement en train de déféquer sur l’individu en question et ce n’est ni très agréable pour moi-même que de m’imaginer accroupi, le cul à l’air à me soulager ainsi… Et probablement que ça l’est encore moins pour celui qui serait censé recevoir mes déjections (à moins qu’il soit scatophile bien sûr)… Dans le même ordre d’idée (mais un peu plus sérieusement là), quand Jab’ écrit qu’un truc serait à même de “régler le débat” concernant les histoires d’évaluations HPI, je savais à l’avance qu’une telle formulation serait forcément indémontrable tant elle est “définitive”… Je ne cherchais pas à le “discréditer” (un mot qui revient à la mode ^^) en cela mais surtout à souligner en quoi il importe de bien soupeser ses mots lorsque l’on veut exprimer ses idées… Ceci écrit, je m’intéressais vraiment à ce sujet et mon questionnement était sincère quant à ces développements IRM en cours.

Je comprends que l’on puisse douter de mon attitude, elle qui peut paraître dans le rejet un peu trop systématique (“pour être honnête”) des évaluations en général, alors je précise ce qui me conduit à l’avoir adopté :

Déjà à titre personnel, comme j’ai eu l’occasion de l’exprimé auparavant, je ne ressens simplement pas le besoin que l’on me confirme ou non en tant que HP, asperger ou autres… Je m’estime moi-même et suis assuré de ma valeur intrinsèque sans en passer par là. Cela ne m’apporterait rien d’être “officiellement” étiqueté surdoué mais j’ajoute aussi que je ne crains pas d’être “accusé” de ne pas l’être à la suite d’un test pour autant ; Je suis tout prêt à me considérer d’emblée en tant que simple “normo-pensant” et si je pense avoir quelques belles prédispositions en matière de compréhension et d’analyse, je sais ne pas posséder une bonne mémoire photographique et être affublé d’autres déficits (notamment sociaux) par rapport à un congénère lambda… A ce titre, il y aurait “du pour et du contre” sur mon état, reste que cela ne m’importe guère donc d’être défini par d’autres. Ici ou ailleurs, on m’offre “une tribune” qui me permet de communiquer avec des semblables et ça me suffit bien en soi. Je n’ai pas de souci “existentialiste”… C’est peut-être ce qui est difficile à comprendre ou à admettre pour d’autres psychologies plus dans l’incertitude et le questionnement à ce sujet… Pour des personnes tiraillées et en demandent de trouver des réponses, des réponses propres à les rassurer sur elles même et ce qui fait qu’elles se sentent aussi malaisées en ce monde ou au milieu des autres… C’est quelque chose que j’entends et qu’il m’est facile de concevoir… Et je considère que si d’être dépistées HP peut les aider, sans être en phase avec leurs démarches et ressentis, ils peuvent bien se soumettre à cette évaluation sans que je les critique pour si peu.

S’agissant des moyens de déterminer un QI ou un profil “atypique”, je suis (c’est vrai) défiant de nature et j’ai quelques bonnes raisons de l’être en ce domaine tout particulièrement mais je ne rejette pas certainement pas tout en bloc. Des progrès au été fait en la matière et d’autres permettront assurément d’affiner cette détection à l’avenir… On en viendra certainement à encadrer plus précisément une personnalité et ses aptitudes cognitives par exemple… Mais là où je resterais toujours très prudent et/ou méfiant, c’est dans l’usage qui sera fait de ces résultats, autant de la part de ceux qui les dispensent que concernant ceux qui se trouveront ainsi “certifiés” ; Je pense qu’il faut se garder de créer un genre de modèle élitiste notamment… On pourrait aussi redouter que des HQI soient soit stigmatisés par une majorité de “normo-pensants” ou qu’au contraire, qu’ils se voient (pour cette raison rendue essentielle) offrir des responsabilités professionnelles ou même politiques au sein d’un système qui est enclin à accorder du crédit sous couvert de technique de détection d’un certain type de profil à des fins pas toujours avouables… Bon ok, là je dérive légèrement en mode “théorie du complot” et je ne suis pas tant parano’ sur cette éventualité en réalité mais je crois qu’il est nécessaire d’être attentif à toutes procédures de catégorisation au sein d’une organisation sociale, que cela donne souvent lieu à des jugements de valeur à l’emporte pièce et lorsque cela concerne l’être humain, c’est toujours dangereux en soi… Que par là et sous couvert d’une prétendue bienveillance originelle, on ouvre le champ à des traitements malveillants très possibles…

[byaku]

J’aime les ” tire groupé ” ! C’est comme ça qu’on fait des multi-kills et pas autrement

Je vais essayer de me rappeler de faire attention vis à vis du 2nd degré avec toi dans ce cas. Mais ma mémoire n’étant efficace que lorsque intéressée … je ne promet cependant rien.

Pour jabber j’avoue tout … Je suis sensible à sa petite moustache depuis le 1er jour ! Je l’imagine assez souvent en cowboy ou en sherif sexy, et je t’avoue que ça envoie du pâté ! Surtout depuis qu’il m’a invité à ” prendre le fouet et venir avec moi tanner le cuir de ceux-là, tu verras c’est jouissif ”

Pour être sérieux un instant, je comprend que tu émettes des doutes sur tout cela … Le test en lui même, ceux qui le font passer, à quelles fins ? Comme @jabberwocky l’a déjà dit, ce avec quoi je suis d’accord; le test est encore perfectible sans l’ombre d’un doute, la compétence des gens qui le font passer sont parfois à sérieusement remettre en question etc … Pour ce qui est de ton cas personnel, ben je ne sais trop quoi répondre à part ” Je sais ” … puisque je t’ai déjà lu expliquer cela autre part il y a un moment il me semble. Mon point de vue est qu’une personne qui n’en ressent pas le besoin … Ben… n’a pas besoin d’aller se faire tester en effet C’est assez cohérent. On passe ce test assez souvent parce qu’on va voir un psy -> On va voir un psy parce que quelque chose cloche. L’autre cas, plus rare, est celui de l’enfant si précoce et si prodigieux qu’il se fait repérer, et qu’on suggère à ses parents d’aller faire tester leur potentiel petit ” génie ” afin de flatter leur ego parental mal placé en pensant que c’est ” grâce ” à eux, et qu’ils ont engendré un être ” supérieur “.

N’hésites pas à me bâcher quand je dis des conneries @momosse. Maintenant qu’on s’est confié l’un à l’autre sur le fait qu’on était conscient d’en dire de temps à autre

[Membre Inconnu]

@byaku

Je t’assure que ça change pourtant quand même des choses. Un type avec 170 de QI n’est pas très loin d’avoir les mêmes problèmes de communication avec des personnes à 130 que quelqu’un de 130 vis à vis d’une autre à 90.

Tu m’as mal compris (et pour le coup c’est ma faute, j’avais anticipé qu’on risquait de mal comprendre ce point et je me suis dit “bwarf, ça paaaaasse”).

Je ne veux pas dire qu’une personne avec 170 de QI aura le même diagnostique qu’une personne avec 130. Je dis simplement qu’une fois que tu as ton diagnostique général, savoir qu’il décrit une personne de 130 ou 170 de QI n’apportera pas beaucoup d’informations en plus.