Adulte zèbre
Haut Potentiel Émotionnel (HPE) et/ou Haut Potentiel Intellectuel (HPI) ?
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Pourquoi apprécie-t-on mon écriture ?
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Pourquoi apprécie-t-on mon écriture ?
D’aucuns trouveront dans ce questionnement une détestable et énième démonstration d’auto-contentement gratuit que j’exposerais sans vergogne à vos esprits-yeux incrédules… Mais sans dénier que mon ego n’est forcément pas étranger à cette réflexion, il n’en demeure pas moins que je m’interroge ici tout à fait objectivement et que cette démarche trouve sens au-delà de moi-même puisqu’elle m’est venue de “plusieurs” (pour ne pas dire de “nombreux” (plus d’une vingtaine)) commentaires de lecteurs me faisant connaître leur sentiment (globalement positif) se rapportant à “mon style” rédactionnel.
J’ai évidemment quelques pistes de réponses possibles et je me suis forgé opinion propre (toujours évolutive) à cet égard, mais le point de vue de ceux qui “oseraient” avouer et expliciter ce qui peut motiver à leur sens cette perception favorable que je pourrais susciter en eux m’intéresse évidemment beaucoup.
Etant sorti des bancs de l’école avec tout juste une “maîtrise” (très aléatoire) d’un niveau à peine supérieur au primaire (en exagérant à peine) quant à cette technique d’expression et sans en avoir assimilé les cadres didactiques dans leur ensemble… Comme en ayant des désastreuses lacunes en terme d’orthographe (il aurait fallu que j’en apprenne ces règles-là aussi ?), ne goûtant par nature aucune littérature (je ne peux retenir mon attention trop longtemps sur les lignes de quiconque) et n’être pas du tout un lecteur moi-même (sorti d’articles traitant de mes centres d’intérêts (étendus)), cette initiation imposée m’a tout de même été profitable en ce qu’elle m’a appris que je trouvais plaisir à m’exprimer par ce mode.
Je n’ai néanmoins que très peu rédigé de ligne (sinon professionnellement) jusqu’à mes 43 ans pris que j’étais dans une vie “de merde” et ce n’est qu’à mon inscription (en 2008) sur un site dédié au foot Rital (“Calciomio”) que je ne me suis rappelé aux joies du “noircissage” de page blanche et à la satisfaction personnelle que pouvait m’apporter ce type de communication… Aussi conforté (mais est-ce la poule ou l’oeuf qui est apparu en premier ? (est-ce que j’écris bien parce que j’aime ça ou est-ce que c’est parce-que j’aime ça que j’écris bien ?) en cela par le petit “talent” que m’accordaient (trop?) vite certain(e)s en ce domaine ; Sans que j’attende au demeurant une quelconque reconnaissance d’autrui, je ne me cache pas à moi-même que ce facteur caresse mon amour-propre dans le bon sens du poil (lui qui n’est déjà pas habituellement négligé par son Maître de toujours).
On me trouvait “un style” distinct et on le comparait parfois à des auteurs-écrivains dont j’ignorais (du coup) l’existence le plus souvent.
Il me semble que cet attrait découle (au moins pour parti) directement de la franchise et de l’honnêteté que je m’attache à faire prévaloir en toute circonstance.
J’ai également bien noté que l’on me reprochait mes phrases interminables, mes circonvolutions brouillonnes ou des approximations grammaticales… Mais sans négliger ces avis (bienveillants ou non), j’argue que ces travers découles de l’homme que je suis et sont susceptibles de le définir au même titre (aussi bien) que le reste qui serait mieux perçu d’emblée d’une part, comme par ailleurs, je prête invariablement et notablement plus d’attention au fond qu’à la forme (ceci valant pour moi comme pour ceux que je lis). Conséquemment, sans négliger de tendre vers une amélioration (intrinsèque) constente de la “digestivité” (telle que communément admise) de mes textes, je ne veux avant tout qu’elle ne soit au détriment de la justesse de ce que je souhaite expliciter ou décrire de mes réflexions et je préfère toujours faire prévaloir “mes mots” selon “mon” ordonnancement plutôt que de tenter de correspondre à un quelconque modèle prédigéré… Le mien d’estomac n’est pas fragile ^^
J’en viens aussi à présupposer que ce qui me distinguerait et induirait la spécificité de mon entendement tel qu’écrit provient (même pas “paradoxalement”) de mon absence de référence se rapportant aux “penseurs” un tant soit peu célèbres en ce que je n’ai donc pas été trop soumis à leur influence et par là (peu ou prou), “conditionné” par eux, ce qui m’a permis de développer mes idées sans beaucoup de limitation morale et intellectuelle… Et je crois aussi que l’évolution de ma rédaction s’étant énormément exonérée de la plupart des préceptes contraignants qu’absorbent habituellement les esprits qui se conforment au système d’éducation conventionnel, cela m’a apporté une liberté accrue, elle qui se dispense de barrière de syntaxe ou d’un certain cadre de présentation, ceci la laissant apparaître comme “rafraîchissante” et “originale” en soi…
Le “truc” essentiel (indépendamment de cette manière de traiter mes pensées et de les exposées) qui est à mettre en exergue parce que tout provient de cela, c’est “comme de bien entendu” la nature même de ma personnalité qui le génère dans ce style désorganisé et “libertaire” qui pourrait potentiellement être perçu tel que “provocant” mais inspirant (si on est attentif car sans l’être réellement à l’aune de ma sensibilité) et se voulant cohérent autant qu’admissible (malgré ce quinous séparent) par quelques congénères de ceux qui éprouveraient une relative identification personnelle ou qui seraient touchés en quelque chose par des lignes qui leur propose en tout état de cause une (ma) vraie humanité.
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