Les Pervers Narcissiques méritent-ils de vivre ?…

  • Membre Inconnu

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    18 juin 2020 à 22 h 36 min

    @<b style=”font-family: inherit; font-size: inherit;”>H.H.N.

    Dans tout ce qui a été écrit sur ce sujet sur ce fil, l’un (je ne sais plus lequel) des intervenants a écrit quelque chose comme “on est tous le PN de quelqu’un” sous entendant par là que, suivant la détérioration d’une relation entre deux personnes et le regard (objectif ou (plutôt) non) que l’on aura sur le “nouveau visage” que l’on découvrirait chez l’autre au travers des actions ou réactions (agressives, colériques ou perfides et “cruelles”) que celui-ci aura maintenant à notre encontre et que l’on ne lui connaissait pas “mais qui étaient quand même déjà présentes avec moins d’évidence” (de par ce que l’on voit désormais que l’on peinait à discerner auparavant dans ses comportements)… Bref, en considérant les différentes tournures et niveaux de gravité et d’intensité que peut prendre un rapport humain qui tomberait en déliquescence et en prenant en compte l’implication émotionnelle et/ou sentimentale (deux éléments qui permettent rarement de bien analyser et comprendre) on peut aisément imaginer que l’un des d’eux aura (en toute sincérité) l’impression que celui qui était son premier confident et/ou son “grand amour” tombe lourdement de son piédestal pour “se démasquer” en tant qu’une espèce de “monstre” inhumain et violent… On sera amené à croire que celui qui était intime et qui est devenu (subitement ou non) “son adversaire” est une sorte de psychopathe alors qu’il ne fera simplement que répondre à sa façon (maladroitement) à cette rupture annoncée ou à ce qu’il pense être une trahison de sa confiance (par exemple) de notre part…

    En substance et sans pour autant aller jusqu’à dire que des traits spécifiques à un véritable profil apparenté à celui d’un “pervers narcissique” (selon sa définition et la démarche usuellement présentée de ce qui le définit) ne pourraient pas réellement existé en tant que mécanique d’action naturelle qu’un individu perturbé reproduirait de façon récurrente et “maladive”, je suis enclin à penser que bien plus généralement, ce que l’on attribue trop vite à un PN revient en réalité à n’importe qu’elle personne lambda dépitée et dans une grande souffrance morale…

    Et il me semble que cette “mauvaise expérience” serait mieux capable de nous “faire grandir” si on l’évalue avec assez de recul et en prenant en compte une bonne part d’auto-critique dans notre réflexion.

  • Membre Inconnu

    Membre
    18 juin 2020 à 22 h 38 min

    @<b style=”font-family: inherit; font-size: inherit;”>H.H.N.

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