INFJ surdoué

  • hippocampe

    Membre
    3 mars 2021 à 10 h 15 min

    Bonjour à toi

    Tu peins mon portrait à la perfection.

    Ma grande question qui suis je?

    un jour blanc l’autre noir. Mais mon état d’esprit dépend énormément des personnes que je côtoient. Je suis tellement sensible et connectée à mon environnement : la couleur du ciel, le rire de mes enfants, mon plus grand désarroi leur tristesse.

    La plupart du temps je me déconnecte de ce monde si dur et impitoyable où le malheur des uns fait le bonheur des autres.

    aujourd’hui je viens vers vous afin de pouvoir partager je l’espère de vrai moments de complicité!

  • zebre15

    Membre
    6 mai 2021 à 22 h 31 min

    HPI et HPE, je suis effectivement aussi INFJ… (réponse à un message qui supposait le lien).

    L’influence au quotidien ce sont les autres qui en profitent ! C’est parfois fatigant, car malgré mes prises de conscience, j’ai beaucoup de mal à m’en empêcher, de soutenir écouter aider…

    Et de me négliger bien sûr. Le temps passe beaucoup trop vite, les petites phases de réveil peuvent être alors pénibles.

    Au travail un conflit permanent peut apparaître entre la tendance au perfectionnisme rassurant et le disque dur là-haut qui n’arrête pas de tourner. L’ange dirait “lâche-toi, allez !” et ce serait le diable qui inciterait à “non, arrête, fais les choses parfaitement”. Et notre côté introverti choisit le diable, notre complexité profonde.

    Je m’amuse de mon besoin de reconnaissance. En fait cela m’exaspère, et je finis par trouver cela ridicule. Je hais l’ingratitude, et pourtant il faut bien la supporter… en me demandant si elle est bien nécessaire…

    Je suis d’accord avec un autre auteur d’un message. Au quotidien c’est fatigant. Mais c’est comme ça, alors pour me protéger un peu, j’essaie de m’investir un peu moins auprès de “tous”, et je me réserve davantage pour un tout petit nombre. L’incompréhension visible de ce changement était gênante pour moi, mais c’est un bon moyen de s’en arranger.

    Et j’apprends tous les jours à dire “non”. Ca donne des frissons !

  • etoiledumatin

    Membre
    6 mars 2022 à 19 h 20 min

    Je suis INFJ-T … et je partage l’avis de Rickla ! C’est une calamité pour moi également. Cela dit … Je pense que les INFJ-A le vivent beaucoup mieux.

    Personnellement, mon enfance, mon adolescence et jusque 30 ans environ … j’ai vraiment eu beaucoup de mal à vivre ma zébritude. Je savais lire, écrire compter à 5 ans… Sans trop m’en apercevoir. J’étais juste curieux et on répondait souvent à mes questions quand ça concernait les trucs de base. J’ai été diagnostiqué à 7 ans pour mon HPI dans le cadre d’un programme de dépistage sur plusieurs années (dans l’école publique !!! oui oui !) Mais à 12 ans, j’ai échoué aux tests. Je me suis inconsciemment auto-sabordé parce que dans mon bled et surtout au collège, c’était trop lourd à porter.

    J’ai eu une maladie grave à 11 ans, dont je suis sorti du coma avec une hyper-activité accrue. Je n’ai jamais rien foutu à l’école. Au mieux je m’ennuyais … au pire je me rebellais… et pour finir … J’ai passé toute ma jeunesse à tenter d’inhiber mes émotions. J’étais tout le temps malade et je me suis fait des entorses à toutes les articulations possibles !

    J’ai dû supporter une très lourde pression familiale à cause de ces p… de tests de QI. Mon père attendait beaucoup de moi. A tous les niveaux … et ce n’était jamais assez. Par ailleurs, ces tests ont suscité des jalousies et j’ai été le réceptacle de moultes rancoeurs dans mon entourage. Heureusement, ma mère avait lu quelque part que sauter une classe, n’était pas toujours une solution ! ça m’a au moins épargné ça ! Mais en contre-partie, j’ai dû faire du basket, du judo, du ski de la piscine et de la musique ! Je me souviens surtout de mon épuisement.

    A l’adolescence, je ne m’attirais que des problèmes (dans la famille, avec les potes, avec les profs, … ) et j’ai dû apprendre à fermer ma bouche dans les discussions. Je vois ça aujourd’hui comme de l’auto-destruction. J’ai eu des périodes où j’avais vraiment envie de mourir… ou plutôt … de disparaître tellement je n’en pouvais plus de devoir me réprimer sans cesse pour avoir une vie à peu près normale. Je trouvais tout le monde con. Les repas de famille étaient mouvementés. A 12 ans, je lisais l’EDJ et étais fan des émissions politiques.

    Pour couronner le tout, j’ai une intelligence existentielle quasiment à égalité avec l’intrapersonnelle. Je ne sais si ce sont les circonstances de mon enfance qui les ont générées ou si à l’inverse, c’est la perchitude qui en découle qui a engendré les mélodrâmes de cette partie de ma vie. Bref … doublement extraterrestre.

    Je ne sais pas non plus si c’est d’avoir autant réprimé mes émotions, qu’elles ont pris de plus en plus d’importance, au point de ne plus pouvoir les gérer. (angoisse, anxiété, mal être, spleen …)

    J’ai commencé à m’en sortir à 20 ans avec la découverte du yoga et du taichi. Au passage, ça a mis fin définitivement aux crises d’asthmes et allergies multiples en à peine un an de pratique. Aujourd’hui, les arts dits énergétiques sont ce qui me maintiennent la tête hors de l’eau en cas de tempête… et par quelle coïncidence, ça comble aussi mes aspirations spirituelles et philosophiques… et en tant qu’INFJ … ça comble le manque d’intérêt que j’avais naturellement tendance à porter au développement du schéma corporel (4ème fonction cognitive de l’INFJ: la sensation extravertie ( cf https://www.youtube.com/watch?v=UQSG9oa9VG0 ))

    MES ECHECS

    J’ai échoué au bac C. Cette année-là a été celle de pics d’angoisse totalement anesthésiants. L’année suivante, j’avais 18 ans. J’ai séché les cours chaque fois que j’en avais marre. Je quittais le domicile de mes parents chaque fois que la pression suscitait trop d’angoisse ou d’anxiété. Au lycée, j’ai investi le tarot et la belote. Bref … je n’ai tjs rien foutu … Mais j’étais un peu plus attentif en cours que l’année d’avant, quoi qu’emmerdant (à poser des questions qui me paraissaient essentielles mais dont les profs n’avaient pas souvent les réponses. La prof de maths a vraiment été sympa. Elle faisait des recherches pour moi. Souvent “elle demandait à son mari” dixit et lol). Motivé par une vie future indépendante d’étudiant loin de ma famille, ça s’est terminé avec mention bien. Bon ok … Pas terrible pour un soit-disant surdoué mais j’y suis allé sans avoir rien révisé.

    Mon père a refusé que je fasse une FAC de philo.

    J’ai été extrêmement déçu par la FAC. Je m’attendais à mieux. Vraiment. Le niveau était nul et ça me déprimait. J’ai énormément séché les cours et me suis lancé dans toutes les activités de développement personnel du SIUAP (yoga, taichi, qi gong, kendo, zazen, do-in, … et danse rock’n roll). Je passais plus de temps dans les gymnases et associations qu’à la FAC…. Et forcément, je me suis vautré aux exams régulièrement. Réviser m’angoissait. Je trouvais tout Absurde. Au sens Camusien du terme. Parallèlement, mes découvertes dans la spiritualité foisonnaient et elles seules m’intéressaient.

    On m’a fait repasser des tests de QI. Mon père pensait que j’avais perdu mon cerveau à force de ne pas le faire fonctionner convenablement. Mais non … j’avais toujours un QI au dessus de la moyenne (OUF !)… Même si plus faible, il est vrai! La pression a donc redoublé dans ma famille et j’ai fait une 2ème méningite … à 21 ans ! Mais j’ai pas mal géré, grâce au zazen et au yoga. J’ai même refusé l’hospitalisation et la médication… préférant m’enfermer chez moi.

    Ma vie d’étudiant s’est métamorphosée quand j’ai découvert l’enseignement à distance. J’ai terminé mes licences, maîtrise et DESS avec l’enseignement à distance. J’ai pas foutu grand chose mais au moins je bossais quand je voulais et aussi peu longtemps que je le désirais… sous peine de saturation et d’angoisse. Bref … un dilettante !

    J’ai toujours détesté l’école. J’ai pleuré pour y aller dès 2 ans … et à mes 3 ans, dès la première semaine j’ai profondément exécré cet endroit, les gamins, les instits et tous les adultes qui s’y trouvaient. J’ai insulté la maîtresse que je trouvais injuste avec tout le monde et je me suis pris une fessée déculottée devant toute l’école. S’il y a bien une profession que je ne voulais jamais exercé … c’était prof. Ces gens-là ne m’inspiraient que dégoût et mépris. Je les trouvais mous, bébêtes, suffisants et à côté de leurs pompes. Ben voilà … j’en suis devenu un. Et j’ai toujours du mal avec l’Educ Nat et le carcan qui va avec. Mon point de vue n’a guère changé. Je bosse depuis le début avec les ados qui ont des troubles du comportements et des apprentissages. Et en tant qu’HPIntuitif … je suis là où je dois être même si c’est pas tous les jours facile !

    Cette pensée-puzzle-hyperintuitive mêlée à notre hyper-empathie qui nous caractérise et nous fait penser parfois de travers devant le conformisme des normes sociales (jusqu’à parfois nous attirer tant de soucis) … est ici un avantage. Elle permet de regarder par delà les apparences et de mettre en marche des processus pour aider les élèves à se sortir de leurs cercles vicieux d’échecs qui nourrissent l’échec, de mésestime de soi, de leurs peurs et phobies scolaires aussi parfois. Il y a des réussites (envers et contre les poncifs de l’éduc nat)… et des échecs également.

    Quant à ma vie sentimentale … ce n’est guère mieux. J’ai d’abord été hétéro mais mes relations ne duraient jamais plus d’un an. Quelques préoccupations de fille (territoire et maternité) finissaient toujours par avoir raison de moi.

    Après ma 2<sup>ème</sup> méningite où j’ai bien cru que j’allais y passer, j’ai dressé une liste de tout ce que je voulais avoir fait avant de mourir… et à la 10<sup>ème</sup> place se trouvait « essayer avec un garçon ». La première année, je me suis vraiment éclaté. Beaucoup de sexe facile et déconnecté. Et pis je suis tombé amoureux … et gay. Mes parents m’ont foutu à la porte et coupé les vivres.

    Ma dernière relation a duré 14 ans … avec un pervers narcissique. Et je suis tombé dans tous les pièges de l’INFJ (https://www.youtube.com/watch?v=JIMcqCQz0lo) Un calvaire ! un enfer d’incompréhensions permanentes, de brainstorming stériles dans un océan de mensonges tordus… même pas toujours conscients ! et que je m’évertuais sans cesse à dénouer. C’est la méditation qui m’a rendu lucide et m’a permis de faire mon « Door Slam » d’INFJ !

    Lorsque j’ai découvert cette vidéo de Kenza Pace, il y a peu … j’ai tout compris. J’ai plus avancé qu’en 1 an de psychanalyse ! Alors oui ! INFJ … c’est pourri ! Mais on ne m’y reprendra pas !

    UNE NOTE POSITIVE POUR FINIR

    La particularité amoureuse de l’INFJ, c’est de tomber amoureux de la profondeur d’âme de son partenaire et du potentiel de développement qu’elle possède intrinsèquement pour nourrir ensuite la relation (souvent surinvestie ☹).

    Avec le yabyum dans le Tantrisme, je fais désormais d’abord connaissance avec la profondeur d’âme de mon ou ma partenaire (https://www.youtube.com/watch?v=spQfIUW3OME)… et me livre seulement ensuite. Je prends garde à rester moi-même et à me ménager du temps et de l’espace pour moi seul. J’ai beaucoup plus confiance en mon haut potentiel intuitif que jadis.

    Grâce à mon nouveau détecteur, j’évite soigneusement les gens qui m’attirent le plus, (ceux qui sont sûr d’eux et dans les relations de pouvoir et de contrôle). Pourvu qu’il ne tombe pas en panne !

    Quant à mon versant spirituel … il se porte au mieux. Mon investissement dans les arts énergétiques et la méditation m’a mené en Inde … et de là … dans des endroits qu’en Occident on relègue à la littérature sacrée … pour ne pas dire fantastique.

    Et je ne suis ni camé ni imbibé 😊

    Bon voilà … tu voulais savoir Olbius … ben désolé pour ma contribution pas très positive. Pour conclure, je dirais que ça fait environ 25 ans que je me soigne de mon INFJ-T. Je pense que d’ici ma mort, je devrais être guéri. J’aurais vraiment préféré être INFJ-A. ça paraît plus évident.

  • skunky

    Membre
    24 septembre 2023 à 21 h 23 min

    Hello! Arrête de vouloir faire plaisir aux gens et te faire exploiter. Je te conseils de travailler sur les limites à poser aux gens. Si tu aimes donner faut le faire en milieu saint,te faire plaisir à toi. Prends conscience que ceux qui t exploitent ne respecte pas ceux qui donnent,ils font semblant d’apprécier ceux qui ont une intelligence émotionnelle élevée. Beaucoup de manipulateur au balcon avec nous, il faut travailler sur le contrôle des émotions, stoicisme. Et comprendre les vols d’énergie,maîtriser la méthode “grey rock” . Sinon il y a bcp de conseils sympas pour les INFJ sur la chaîne youtube “wenzes”, s’intéresser au développement personne, éviter un travail toxic,sa famille si elle toxic, quitter femme si elle est controlante, travailler sur la codependance. Travailler sur soi,un travail qui touche à nos passions, faire le tri ,rehausser ses standards,éliminez les gens qui savent pas se tenir et des touches de perfectionnisme. Le bien être est en nous c’est en étant authentique et penser à soi et après tu penses aux autres si t as le temps, qui pensera à toi sinon patate hahaha je suis heyoka INFJ, né dans la division j’etais sigma a la naissance quasi mdr faut comprendre la manipulation etc savoir se défendre et se renforcer pour la vie. Vivre sa best life on en a qu’une ,on nous a assez saboté,mis des bâtons dans les roues. Faut apprendre et écouter nos émotions ,savoir ce qui est bon pour nous et ce qui ne l est pas et faut s en foutre de ce que pense les gens ou d être compris. Je suis INFJ 2w1 ,je m’en fou qu’on m’aime heureusement sinon j’aurais été triste,deja ce monde où c’est peché d’etre un gentil, on dirait pas qu’on est intelligent les surdoués. Hé oui c’est les gens pas trop humains qui ont un problème. Apprendre de ses erreurs ,refaire le puzzle. Arrêter de trouver des excuses aux gens c’est pas mal aussi,il y a plutôt des raisons pas très jolie. Les gens bancales,jaloux,qui savent que prendre et rien donner sauf par intérêt ou reprendre 1000 fois plus . Être sans pitié avec la comédie et ouvrir les yeux et se réveiller ,pas d age pour vivre sa vie sans se faire embêter gratuitement. Pas d amis c’est mieux que des faux amis…prendre de la hauteur,du recul,affronter ses peurs,vous inquietez pas on se rejoindra tous au cimetière alors respirez ,pensez a aller de l avant,la vie c’est maintenant comprendre ses force et ses failles tout booster comme la confiance des gens bien. Un conseil regard des vidéos INFJ sigma ,tous les INFJ l ont en eux ,recentrer sur soi sur ces principes et valeurs. Qd vous vous eparpignez ou vous oubliez ,hop recentrage sur vous l essentiel et se projets. Anticiper et les gens calme ou passionnés oui mais les gens qui crie non ,copiez les pas. Maîtriser le silence et apprendre les pathologie narcissiques ,les différents types ,psychopathe ,sociopathe. HG Tudor , mental healness ,par exemple sont des chaînes de narcissique la 2eme est très ludique de la part d un “repenti ” les 2 aident les survivants a comprendre et adopter les bonnes défenses en général l indifférence a vie est la meilleure méthode. Sinon Tammie M Joyce est coach pour la reconstruction et bien adapter les bonnes barrières elle est sympas Tammie sérieuse. l’Université des hauts potentiels peut être sympas pour des conseils pour exploiter sa douance. Le développement personnelle ça va avec éliminer les gens toxiques de sa vie ils font semblant de nous aimer aux mieux et nous veulent pas du bien,le monde est vaste plein de gens merveilleux. Les faux gentils,les gens faux en général c’est à rayer de sa vie. Être soi même ,s affirmer si ça plaît pas au con tant mieux. Devenir trop dur à manipuler et s enforcer d une manière a faire fuir ceux qui exploitent. Le stress rendez leur et ouvrez les yeux le monde a besoin qu on soit fort plein de paix et de joie. La confiance c’est sacré personne digne d amitié doit la baffouer ,les menteurs c’est à couper de sa vie. Dire les vérité c’est pas de la diffamation de ceux qui accusent de ce qu ils font !!!

  • Membre Inconnu

    Membre
    25 septembre 2023 à 7 h 17 min

    @etoiledumatin

    Lorsque j’ai découvert cette vidéo de Kenza Pace, il y a peu … j’ai tout compris. J’ai plus avancé qu’en 1 an de psychanalyse !

    C.est sûr qu’un an en tout et pour tout de psychanalyse ne sert pas à grand chose, on ne doit pas s’arrêter en chemin quand on commence une cure…

    Et si le psy ne convient pas, on peut toujours en changer.

    La bonne nouvelle c’est qu’on peut la continuer, la poursuivre et la prolonger même après des trous ( et non pas la « reprendre »😀 comme on pourrait croire ! )

  • matty

    Membre
    25 septembre 2023 à 8 h 19 min

    Et après 40 ans de pratique assidue on peut devenir soi-même psychanalyste. C’est bien foutu !

  • ex_

    Membre
    25 septembre 2023 à 9 h 36 min

    @matty
    La grande époque de la lobotomie transorbitale (que je n’ai pas connue) me manque.

    Je recommande sa pratique entre amis.

    il n’y a pas forcément forcément besoin de toute l’ attirail trop onéreuse pour la réaliser :
    Un marteau léger accouplé à un long poinçon (ou tout objet allongé et pointu) suffisent!

    Je vous souhaite bien du plaisir en exerçant cette pratique trop méconnue qui vous procurera, je vous l’assure d’énormes bienfaits!

  • Membre Inconnu

    Membre
    26 septembre 2023 à 10 h 27 min

    Comment encore défendre la psychiatrie ! ?

    Et moi qui me fais taper dessus pour une poignée de psychanalystes qui ont sorti des sottises sur l’autisme il y 20 ans… 😮

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