Adulte zèbre
Groupe public
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Ami(e) adulte zèbre, ton jardin est ici ! 🦓
Il existe un groupe dédié à la psychologie zèbre.
Adulte surdoué : caractéristiques
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Adulte surdoué : caractéristiques
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Merci pour ce descriptif. Il est bluffant. C est tt a fait ça. La justice, c est mon dada, je me suis souvent brûlée les ailes pour elle. L injustice chez une personne que j aime peut me faire rentrer dans une colère noire. Et après pour redescendre c est compliqué. Par contre, la question est sommes nous réellement dans le juste? Car je suis d accord , notre expérience, notre éducation peuvent influencer notre objectivité. Je connais des surdoués ( autre que Disney….même si c est un sacré…pedophile et satanique. ..enfin autre sujet), qui utilisent leur grande intelligence (manipulation phrases et mots)afin d assouvir leurs intérêts ( purement égoïstes et injustes). Les dons impliquent des responsabilités. Il faut faire le bon choix.
Ampathie exacerbée .exigence pour soi mais aussi les gens qu on aime . .oh que oui. Par conséquent, souvent déçue.
Solitude, Oui…enfin tout oui
Sauf pour le vocabulaire, j adore inventer des mots, ou creer des fusions d expressions.(humour).
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S’il est impossible de dresser le portrait-robot d’une personne à haut potentiel, certains signes matérialisent ce fonctionnement si particulier.
Source : Ces signes qui montrent que vous êtes (peut-être) surdoué
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Anonyme
Membre6 avril 2021 à 3 h 47 minM’oui @olbius … Ce sont “des signes” en effet, mais ni si significatifs, ni si déterminant (en conséquence) si je me fonde sur ma perception du “surdoué” (celle d’un “esprit éveillé” et “capable” (d’une façon ou d’une autre)), elle qui devrait pouvoir intégrer bien d’autres critères que ceux uniquement retenus lors des tests de QI (notamment) et comme je l’ai exprimé par ailleurs…
Je crois (pour y revenir) que pas mal de personnes qui ne cochent pas nombre de ces cases-signes pourraient néanmoins très bien posséder des compétences et des aptitudes annexes très intéressantes… Certes, l’intellectuel et/ou le cognitif importent… Mais aussi, l’émotivité, la sensitivité, la créativité, l’inventivité, être intuitif ou même instinctif (en ce que cela reste une capacité à part entière) sont des traits remarquables et suffisants pour les mettre (parfois) nettement devant ce qui déterminerait un “zèbre” (dénomination telle qu’entendue communément ici ou ailleurs) relativement à l’un, l’autre ou plusieurs de ces points spécifiques et ignorés, eux qui ne sont absolument pas négligeables pour considérer le particularisme et les qualités d’un être humain.
Disons qu’à se focaliser sur ces seules caractéristiques (d’entendement logique) particulières et/ou si l’on s’échine à ne se concentrer que sur ce fonctionnement distinct-là, on accède (bien sûr) par cette lorgnette à entrevoir un pan définit et restreint de notre esprit humain (et beaucoup ont nécessité à remplir cette étape initiale pour (enfin !) se retrouver au sein d’un groupe identifiable) cela offrant des informations utiles à ceux qui sont en recherche personnelle… Il n’en demeure pas moins que cela limitera substantiellement notre angle de vue s’y on s’arrête à cet unique cadre pour se connaître et se comprendre.
Ces éléments peuvent donc être considérés pour désigner un prototype de profil (empirique et incomplet) prédéfinit (lui qui est reconnu comme exploitable sociétalement) qui distinguerait une personnalité par rapport à d’autres, elle qui se singulariserait donc positivement “par là” (seulement ou entre autre) face à une majorité ne répondant “pas” (ou moins nettement) à ces “signes” isolés… Mais cette définition me déplait en ce qu’elle tend à “classifier” un genre de potentialité en écartant objectivement toutes les autres et en présupposant implicitement et (factuellement) “injustement” que ce seul paramètre donnerait comme un sentiment de supériorité implicite ou formalisé à des consciences… Qui, se sentant (en outre) isolées et fragilisées, trouvent une satisfaction opportune à se contenter de cette vision étriquée, perturbées et perdues qu’elles sont souvent au milieu d’un environnement d’incompréhension.
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… Mais cette définition me déplait en ce qu’elle tend à “classifier” un genre de potentialité en écartant objectivement toutes les autres et en présupposant implicitement et (factuellement) “injustement” que ce seul paramètre donnerait comme un sentiment de supériorité implicite ou formalisé à des consciences… Qui, se sentant (en outre) isolées et fragilisées, trouvent une satisfaction opportune à se contenter de cette vision étriquée, perturbées et perdues qu’elles sont souvent au milieu d’un environnement d’incompréhension.
A] Etre surdoué ou zèbre, n’est pas une supériorité puisque la supériorité ce serait plutôt l’aptitude au bonheur (de soi et autour de soi), et que la courbe du bonheur suivrait celle du QI: une courbe de Gauss, où les plus heureux seraient ceux du milieu (ressenti). S’il y a des êtres supérieurs, ce sont ceux qui sont les plus heureux.
B] Mais pourquoi au nom de la modestie, refuser de voir la réalité en face, celle qui l’est, celui qui l’est, ne doit-il pas s’assumer tel qu’elle/il est?
C] Effectivement la douance n’est qu’un “paramêtre”, dans cette catégorie, il y a tous les caractères, toutes les sensibilités, tous les gouts, comme à l’intérieur de l’ensemble de la société. Ne retenir que ce critère est effectivement enfermant. Et ce n’est pas une excuse tu as raison, pour expliquer ses échecs,… même si c’est plus difficile,… comme pour ceux qui sont à l’opposé sur la courbe.
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