Répondre à: To be tested to not …

  • Membre Inconnu

    Membre
    13 juillet 2021 à 16 h 46 min

    @norbert

    Dans les domaines que j’ai étudiés ou sur lesquels je me suis penché, comme l’anthropologie, on remarque assez vite que plus un propos est vide, plus il rendu hermétique par une prose lourde. C’est particulièrement remarquable, par exemple, avec Claude Lévy Strauss. Tu as d’un côté des ouvrages théoriques comme Anthropologie structurale qui est totalement imbitable et, de l’autre, des essais ou des récits de voyage beaucoup plus simple et percutant. Toujours dans ce domaine, tu peux mettre en parallèle le travaille de Lévy Strauss avec celui de Mircea Eliade. Chez ce dernier l’écriture est fluide et toujours très didactique. Il y a un minimum d’efforts à fournir, bien sûr, mais les phrases sont courtes et les idées bien formulée – contrairement au premier.

    Des tas penseurs – ou des philosophes comme Michel Onfray ou des humoristes comme Pierre Desproges – ont mis en évidence, que l’écriture universitaire sers parfois à légitimer une idée et pas forcément à la rendre accessible. C’est une façon de postuler ou de faire allégeance à une élite.

    Ces signes, ces façons de formuler ou de composer une idée ont donc été pointés depuis pas mal de temps. C’est donc évident… de sagesse (comme dirait mon dentiste).

    Alors, oui, je suis un peu obligé de faire un, des, raccourcis parce que… comment dire ?
    J’ai un peu autre chose à faire.

    Je pourrais creuser, décortiquer, et fournir peut-être une argumentation moins globalisante… mais est-ce bien raisonnable dans le fond ? Je ne tiens pas à passer au crible les écrits ou les résidus (blog, Facebook, publications, etc.) internet de Faiseuse.

    Pour finir, j’admets pouvoir me tromper sur mes conclusions. Reste que les zigouigouis à base “&” et “@”, les formules ésotériques et autres mignardises rhétoriques me semblent quelque peu insignifiantes.