Répondre à: To be tested to not …

  • Membre Inconnu

    Membre
    11 juillet 2021 à 10 h 47 min

    @foolish_little_bird

    Mais c’est plus facile quand on est entouré de personnes qui nous aiment comme nous sommes…

    Et qui nous comprennent, parce que si quand tu dis, “avez vous du sel” les gens écarquillent les yeux, regardent dans tous les sens, et se demandent “qu’a t’il/elle” voulu dire”, ce n’est pas bon!

    Justement, on est tous pareil, chaque personnalité a besoin pour se construire d’un POINT D’APPUI. ce point d’appui, ce sont (normalement) les parents qui le donne, en vous aimant comme vous êtes, en vous encourageant, même si au tout début, ces encouragements ne sont pas mérités.
    Par exemple chez les Romains, le père sortait son nourisson, sur le pas de sa porte, le tenaientles bras tendus vers le ciel, et solennellement le reconnaissait devant tous !

    bebe dans les bras papa istock 926756230

    Les zèbres n’ont pas droit à cela, certaiins arrivent en quelque sorte à ne pas couler en s’appuyant sur d’infimes rebords, mais les autres (et c’est logique), ne font que glisser et ne peuvent rien construire de leur vie. Certains se réfugient dans le rêve virtuel (vivement encouragés par les réseaux sociaux où ils s(‘inventent une vie mais en réalité la PERDENT. Perso, ça ne fait que 4 ans, que j’ai trouvé un point d’appui (c’est à dire une personne qui écoute,… et entendent). Alors que d’autres, qui ont eu ce qu’il fallait jeune, et moins HP, ont déjà validé bien des étapes. Je n’en ai validé que la moitié (travail satisfaisant, bel appartement, habillement, vie sociale, il me manque encore permis et famille)

    Ils sont en avance, mais pas pour longtemps car une fois le point d’appui établi, on rattrape rapidement 30 ans de retard.

    On est guidé au départ, par l’envie de vengeance, de faire payer à ceux qui nous avaient reproché de ne pas être grimpé à la falaise, sans nous fournir les piquets et crampon… Rien de plus facile que leur mettre la tête dans le … mais ce sentiment n’apportera rien et ne permettra pas de valider les étapes finales. Il faut juste remettre en place les nouvelles agressions!

    Pour les zèbres qui n’ont pas encore trouvé leur point d’appui, je ne m’instigue pas en tant que porteur de la Vérité absolue, je donne juste mon expérience personnelle, mais écoutez, car votre vie est courte et que vous ne pouvez plus gaspiller votre temps précieux!

    il n’y a qu’une seule solution: la psychanalyse lacanienne: c’est à dire une personne MEDECIN, PSYCHIATRE (pas forcément neuropsychiatre) et AYANT FAIT UNE PSYCANALYSE lui-même,…. et il faut rajouter HP lui-même (sinon ils écoutent mais n’entendent pas).

    Je respecte néanmoins l’avis de ceux qui ne voudraient pas faire cela, auraient une autre solution: comportementaliste (oui mais ç’est douloureux) ou qui seraient tombés sur des psychiatres “normo-pensants” qui auraient voulu les cataloguer, bref des gens qui ne font pas l’affaire: dès que vous détectez que cela ne convient pas, passer à un autre!

    Le fait de travailer peut permettre de supléer les parents (c’est ainsi que j’ai trouvé “la faile”), mais il y a le chômage de masse, qui nous prive de cette roue de secours (6 millions en 2017, 9 millions estimés en 2021).

    C’est simple: si les parents ne vous ont pas donné les briques essentielles pour construire votre vie, il faut juste les prendre ailleurs.

    D’autre part on ne peut pas faire d’omelette si on n’a pas d’oeuf!

    Ce n’est pas de votre faute, cesser de se sous-estimer,

    @cineaste

    Encourageons nous entre nous, et ne nous assignons pas au tribunal néolibéral “Alors toi qu’as tu fait de ta vie?” comment veux tu qu’on grimpe la falaise si on n’a pas de piquet!

    Mais ensuite, une fois la première main charitable tendue, … il va falloir la prendre et se hisser !

    Et oui c’est dur, ça demande des efforts,… ne pas fuir devant la difficulté, on peut y aller lentement, à son rythme.

    Et cette volonté de vivre, doit venir de vous, personne ne peut le faire à votre place.