Comment acceuillir les "sceptiques" et les "radicaux" au végétarisme?

  • Comment acceuillir les "sceptiques" et les "radicaux" au végétarisme?

    Publié par fannybellule le 2 octobre 2018 à 16 h 35 min

    Bonjour à tous!
    Je viens vous partager un texte que j’ai écrit il y a 1 ou 2 ans pour accompagner une vidéo de sensibilisation la cause animale. Ce texte s’adressait surtout a ceux qui ne se sont pas (ou pas encore?) questionné sur leur alimentation à ce niveau là.
    C’est l’occasion de vous proposer mon positionnement, ma réflexion lorsqu’il s’agit de s’adresser à tous…Notamment aux septiques, mais aussi aux “radicaux”.
    Venez partager votre démarche et votre expérience aussi !

    “Manger ou non de l’animal ?
    C’est une question, j’entends, assez complexe, par bien des égards (que je n’aborderai pas de manière exhaustive ici !). Mais déjà (peut-être surtout) parce que philosophiquement, elle n’est pas aussi simple, et dépend de la sensibilité de chacun : Il est clair qu’on se révolte, se avant tout face aux choses qui nous touche ; Et sur ce sujet en l’occurrence, si vous pouvez par exemple tuer de sang froid un animal ou regarder des vidéos d’abattoirs sans éprouver aucun mal-être, et bien… C’est ok. Bien sûr je ne ressens pas les choses comme vous, mais vous êtes cohérent avec votre ressenti, et j’estime alors qu’il n’y a bien moins de débat à avoir avec vous, même si je devais en être désolée.

    Si toutefois vous n’êtes pas sûr d’être complétement insensible à la chose, voilà ce qui arrive : lorsqu’on se pose la question de notre rapport alimentation carnivore, c’est devoir accepter une confrontation directe avec un ensemble d’habitudes et de plaisirs gustatifs…confrontation qui peut être désagréable surtout si elle vous est imposé par d’autres que vous-même ! Or, le cheminement de la pensée doit être volontaire et délibéré pour être consistant, au risque sinon de faire des choix qui ne tiendront pas la durée, parce que mal-intégrés, superficiellement éprouvés, etc.

    Je suis végétarienne depuis des année par conviction à la fois émotionnelle et rationnelle.
    Pour autant, je suis consciente que ce choix m’appartient et que chacun à ses “résistances”. Il me semble qu’à partir du moment ou l’on comprend que l’Autre à grandi avec un schéma interne différent (pas la même culture, éducation, biologie, difficultés, etc), il est plus simple de reconnaître que dans l’absolu, rien n’est une évidence.
    Ce n’est donc pas une légitimité de demander à quelqu’un de comprendre, intégrer et valider notre propre entendement, juste parce qu’on lui a “révélé” un pan de la réalité (c’est valable de manière générale, pas que sur le végétarisme).

    Par contre, à côté de la question pure du végétarisme demeure une question plus simple, celle de la souffrance et de la maltraitance d’autres êtres.
    Certains peuvent très bien considérer que manger un animal ne les dérange pas, mais être dérangé par le traitement qu’on leur soumet.
    J’ai tendance à croire, à raison ou à tord? Que l’empathie est naturelle et par conséquent partagé par la majorité. Je défend surtout l’idée qu’elle ne doit pas être dénigrée.
    Voilà mon propos : Si vous regardez cette vidéo et qu’elle vous incommode, voire vous choque, vous fait du mal, alors elle dit quelque chose de votre sensibilité, que vous écoutez déjà peut-être, mais peut-être pas.
    Elle donne une réalité toute tangible à la viande dénaturée qui gît dans vos assiettes.
    Je pense qu’il est normal (au sens de commun, peu surprenant) de ne rien ressentir devant un steak grillé aux herbes de Provence, à part l’envie de l’engloutir..puisque “c’est bon”, et surtout parce que cela fait partie de vos vies.
    Il est moins évident en revanche de réaliser et de se confronter à la réalité de l’animal qui a existé un jour. Et qui a peut-être été traité de manière très sale, même selon vous.

    Cela ne va pas de soi, et je ne suis personne pour juger ça. Je n’affirme à personne qu’il DOIT devenir végétarien, puisque c”est renoncer à une part de sa vie et que c”est un chemin psychologique qui doit être désiré (comme je le disait plus haut).
    Mais je ne peux que conseiller à tous de se confronter à ce qu’ils mangent, pour être en adéquation avec leur sensibilité propre et leur valeurs : Si le traitement dans les abattoirs vous débecte, alors peut-être que vous pouvez réfléchir, petit à petit, aux choix de vos consommations, leur provenance, etc… Sans tout stopper forcément, peu importe. Réfléchir pour vous, en fonction de vous. Et a votre rythme…
    Eh oui à votre rythme, car n’en déplaise à Monsieur Hollande, il est illusoire d’attendre de chacun que -le changement c’est maintenant-, non. “Le changement, c’est lentement” !
    C’est une tendance très moderne, de vouloir décrédibiliser tout changement, le rejeter, voir le fuir, tant qu’il n’a pas prouver son total aboutissement.
    ÇA me parait dingue, car évidemment que tout changement positif est à valoriser…
    On ne devient pas le meilleur de nous-même en un jour. Soyons indulgents et réalistes, face au processus du changement…

    …Par contre, je trouve terriblement dommage (même si en partie compréhensif) de rejeter en bloc une idée (comme le végétarisme par exemple), parce qu’elle peut sonner culpabilisante, et loin de notre quotidien.
    Je trouve ça dommage parce qu’avant tout elle peut devenir, si vous le voulez, complètement libérée des jugements des autres ou de vous-même, et parler de vous sincèrement, loin des leçons de morales à deux balles.”

    Membre Inconnu a répondu il y a 6 mois, 3 semaines 12 Membres · 22 Réponses
  • 22 Réponses
  • Membre Inconnu

    Membre
    2 octobre 2018 à 23 h 34 min

    Je vais me faire l’avocat du diable – surtout pour alimenter le sujet et permettre au débat de se poser, mais c’est quoi ton propos ?
    Ton but ?

    Ne penses-tu pas qu’en dehors des caillassages de vitrines d’artisans bouchers par certains ultras, il n’y a pas vraiment de controverses et que tout le monde est plus ou moins d’accord sur la nécessité de prendre en considération la souffrance animale ?

  • fannybellule

    Membre
    3 octobre 2018 à 11 h 36 min

    Si tout le monde ou au moins la plupart des personnes était vraiment consciente de la souffrance animale, alors la majorité de gens que je rencontrerai boycotterai (au moins) la viande d’abattoir (c’est-à- dire presque toutes) ; or c’est loin d’être le cas.
    Je pense que beaucoup “théoriquement” s”offusquent de la souffrance animale (comme je le disait d’ailleurs, je crois que l’empathie est naturelle), mais ne veulent pas voir leur rôle à jouer là-dedans, ne se positionne pas plus face à leur “pouvoir” d’achat, c’est le cas de le dire.
    Mon propos était surtout une tentative d’en comprendre les causes, qui sont à mon avis intrinsèquement liées à la difficulté humaine à “s’individuer” en général, prendre conscience de l’importance de nos choix, notre impact (si ce n’est réel, au moins symbolique). Et pour ce faire, la difficulté à s’introsptecter avec lucidité suffisamment (ce qui ne peut pas faire l’économie d’une épreuve me semble-t-il) pour pouvoir se positionner face à tous un tas de normes parfois confortables, au moins en apparence qui composent notre vie.
    Depuis que j’ai modifié et assumée mon alimentation, je me suis confrontée à beaucoup de rejet, parfois virulent (quoique plus rare).
    Cette démarche de compréhension m’aide à aborder le sujet, aussi bien avec les “méfiants” que les fervents défenseurs des animaux.
    Et donc mon but? Ben vous partager ma posture…Et vous inviter à partager la votre 😉

  • Membre Inconnu

    Membre
    3 octobre 2018 à 19 h 20 min

    J’apporte mon experience des carnistes. Bien souvent c’est a la limite du biais cognitif, les carnistes pour manger de la viande se persuadent d’enorméments de fausses preuves. Hier je surprenais une personne sur FB disant que les Vegans sont responsables de tout autant de morts car ils mangent du soja et que le soja est responsable de la déforestation ou consomme d’enorme quantité d’eau. J’ai put en toute bienveillance ( a la limite du léchage de rondelle, pardonnez l’expression) lui expliquer que c’etait faux et lui conseiller de chercher des sources quand elle tombe sur des infos anti-vegan.
    Des faux argument antivégé il y’en as plein, l’huile de palme dans les steak végé, la nature homnivore de l’humain, le fait que dans la nature ça existe alors pourquoi pas nous…

    Il suffit de ne pas en parler, de laisser les gens venir d’eux même apporter des arguments et d’y répondre. D’experience il est plus facile d’instruire une personne en la contredisant qu’en la faisant nous contre dire. Le cotés ” non mais t’a pas honte ” n’a jamais marché, que ce soit pour l’alcool au volant ou le veganisme. C’est ce que je reproche aux vegans extremistes, ne caillassons pas les vitrines, mettons nous devant une boucherie avec une pancarte ” je suis vegan, expliquez moi “. Le dialogue céé des vocations.

  • Membre Inconnu

    Membre
    6 octobre 2018 à 17 h 55 min

    Coucou tout le monde !

    Je termine mon assiette et mon plat végétarien (qui était sensé me faire 2 repas …hum, hum ….)
    En témoignage, je dirai qu’ avec l’ âge, je suis devenu plus sage (enfin, pas toujours …).
    Et que je ne cherche ni à confronter mes choix de végétarienne, entre autres choses, ni à essayer de convaincre. Je ne fais que répondre aux questions qu’ on me pose.
    Je pense que si l’ autre ne se sent pas jugé dans ces choix, et qu’ un lien se crée, alors quand il sera prêt, les questions viendront tout naturellement.
    Après je dis aux gens, n’ essayez pas de manger comme moi (tout de suite), de tout vouloir changer…
    Moi, ça m’a pris des années. Je te rejoints donc sur ce point @fannybellule, quand tu dis que le changement, c’ est lentement (mais sûrement !)
    Et moi aussi, j’ ai été confronté très tôt aux désapprobations de mon entourage. Je te laisse imaginer le contexte il y a trente ans …
    Mais peu m’ importait. Etre en accord avec moi même, en mesurant l’impact de mes choix, n’ était en aucun cas négociable.
    Mais à cette époque, j’ essayais d’ éveiller les autres, parfois même de les convaincre. Ce qui ne faisait que créer des résistances chez eux. Parfois, le simple fait de faire des choix différents ( même sans rien dire), renvoie l’ autre à son incapacité, à son incohérence.
    Je pense donc aujourd’hui, du haut de mes 51 ans, que l’ écoute, le non jugement, voir la compréhension du parcours de l’ autre, peut l’ amener à réfléchir, et à avoir envie de changer.
    Volà donc, mon petit témoignage.

  • Membre Inconnu

    Membre
    25 octobre 2018 à 19 h 32 min

    Bonjour,

    Personnellement, j’ai surtout été confronté à des vegans, qui n’avaient comme seul argumentation, le bien-être animal. Cette argumentation, perd énormément de poids, lorsqu’elle est opposé a l’élevage qui se fait dans ce respect animal.
    Des poules qui vive en bonne santé dans un jardin fournisse des œufs de qualité sans nuire le moins du monde au animaux. La poule pond, coq ou pas coq ne pas les manger, c’est du gaspillage.
    Cela ne donne pourtant pas plus envie aux vegans de manger des œufs, je crois leurs convictions sont bien plus forte, même si c’est difficile de mettre des mots.

    Pour moi, il s’agit, plus d’un problème profond de société.
    Nos agriculteur produise sur de km de terre de la nourriture destiné au bétail a grand coups de pesticide. Sans parler des terres destinées aux pâturages.

    Les fruits et légume,… que nous consommons, vient de loin, sont de très mauvaise qualité et ne coute rien… enfin, si, pour de l’eau au pesticide, c’est juste du vole mais bon 😉

    La production agroalimentaire, consommatrice d’eau et source de déforestation, est un facteur majeur de réchauffement climatique

    Explication en image 😉

    https://www.facebook.com/l214.animaux/videos/10155537717544757/

    Je ne suis encore que flexi, mais progressivement, les animaux on de moins en moins a craindre de moi. Et je vais tester à l’alimentation ayurvédique. J’ai retrouvé le gout des alimenta depuis que je mange bio et végé.

  • rickla

    Membre
    12 janvier 2019 à 19 h 09 min

    @lmdoz je suis d’accord sur : “je ne rentrerai pas dans ce débat, n’ayant même pas pris la peine de lire tout ce qui a été écrit avant.” (on est flemmard… ou déjà conscient plutôt de l’essence du message… les 2 en ce qui me concerne).
    idem quand tu dis : “Je tenais juste à mettre l’accent sur le titre de ce sujet :
    “Comment accueillir les “sceptiques” et les “radicaux” au végétarisme?”
    comment cela accueillir ? tu voulais dire convertir peut être mais ce n’était pas assez politiquement correct? ce serait plus exact non?” … il y a 2 approches (je ne dirai pas 2 écoles car des fois les mêmes prosélytes varient de l’une à l’autre en fonction de l’humeur ou de l’interlocuteur), celle du terrorisme intellectuelle et émotionnel et celle de la manipulation diplomate… (toutefois je comprends ce prosélytisme dans une certaine mesure… le fait d’être convaincu d’agir pour le Bien… j’ai cependant une théorie honteuse… qu’en plus je sais pas valable pour tous… le besoin de s’identifier dans le Bien, quitte à façonner le Bien, et par ailleurs un certain besoin de contrôle de son propre comportement devant l’incontrôle angoissant des autres et du monde…).
    Nul jugement de ma part, une participation en passant (parce que vu ta sensibilité lmdoz, je ne te voyais pas te lancer sur un tel sujet notamment…).

  • rickla

    Membre
    12 janvier 2019 à 19 h 13 min

    Je rajouterai… que là on parle de “végétarisme” (version modérée plus compréhensible mais très souvent et apparamment ici encore)… pied dans la porte pour aller au “véganisme”.

  • Membre Inconnu

    Membre
    12 janvier 2019 à 21 h 58 min

    Je tiens a te répondre avec ma vision des choses Imdoz. Je ne vois aucune propagande dans le message de Fannybellule et ” accueillir ” dans le titre fait plus référence ( a mon avis ) a un môde de communication. Comment accueillir justement ce genre amalgame dont tu fais preuve dans ta réponse.
    Franchement la plupart des vegans veulent juste qu’on leur foute la paix, être vegan c’est répondre a des questions sans qu’on ecoute les réponses pour aprés devoir se justifier de propagandisme. Quand une personne ne mange pas de viande la pression sociale est enorme. . D’ou a mon avis la question dans le titre.
    Et je suis certains qe proportionellement il y’a autant de vegans etant choqué par les mangeurs de viande que l’inverse. J’en suis a la limite de faire croire que j’ai une allergie a la viande pour ne pas avoir a répondre aux mêmes questions chaque jours. Est ce qu’on prends autant la tête aux gens qui décident de conduire electrique ? Il n’y a aucune arrongance dans le fait d’être vegan, oui les vegans sont certainement pour que tout le monde le devienne parce que pour eux il ne faut pas de souffrance animale mais ils ne vont pas obligatoirement critiquer ceux qui ne suivent pas leur route.
    Et par pitié arreter de confondre vegan et extremistes. Si des gens casse des vitrines c’est parce qu’ils vont trop loin, ils sont bornés, ils veulent choquer mais ce n’est pas une methode qui marche. Combien de vegans cassent des vitrines ? Y’a bien des casseurs chez les Gilets jaunes… Pour autant ils ne représentent pas le mouvement !
    Le dialogue dans les deux camps est important justement pour ne pas faire des extremistes… dans les deux camps !

  • Membre Inconnu

    Membre
    13 janvier 2019 à 1 h 29 min

    Quand une personne ne mange pas de viande la pression sociale est enorme.

    Ne penses-tu pas exagérer un chouilla @fukezelife ? On a l’impression que tu parles d’un handicape.
    Et puis franchement cette mode pour les néologismes (vegan) me conforte dans l’idée que, malheureusement, il s’agit en réalité d’une énième mode made in USA.
    Une énième tentative de communautarisation.

    Quand Fannybelulle a lancé ce sujet, je me suis dit que cela avait un côté coming-out…

    – Jérôme, je dois t’avouer un truc…
    – Quoi ma chérie ?
    – J’aime… J’aime les haricots verts !
    – Mon Dieu, mais c’est horribles ! Mais, mais… comment peux-tu en parler à table ? Devant les enfants ?
    – Ils ont le droit de savoir Jérôme ! Peut-être qu’au fond d’eux, ils aiment secrètement les flageolets…
    (silence embarrassant)
    – Jérôme, écoute… sois raisonnable. Je suis prête à accueillir tes questions, tes doutes, tes…
    – Naaaan Priscilla, c’est trop horrible ! Tu me révulses ! Je, je… je prends rendez-vous dès demain pour demander le divorce !

    Je me moque un peu là, mais je suis franchement sensible à ce sujet et je trouve dommageable qu’il se transforme en militantisme. Or dans ta propre réponse comme dans l’approche de Fanny – à votre insu sans nul doute, vous utilisez des éléments de langage équivoques.

    Et je suis certains qe proportionellement il y’a autant de vegans etant choqué par les mangeurs de viande que l’inverse.

    Moi je crois que les amateurs de viandes s’en foutent un peu et à limite, c’est bien là le problème. Du moins, l’un des problèmes de base. Les seuls que j’entends s’indigner ou pousser des cris d’orfraies ce sont bien les vegans.
    L’autre c’est que les pauvres ne peuvent pas se payer le luxe de bouffer bio ou de s’engager dans ce qui est certainement une hygiène de vie et encore moins, de se soucier de la façon sont élevés et tuer les animaux qu’ils consomment.
    Je suis le premier à le regretter.

    Le dialogue dans les deux camps est important justement pour ne pas faire des extremistes… dans les deux camps !

    Je parle plus hauts “d’éléments de langage”. En voici un beau…
    Il n’y a pas de camps @fukezelife. Il n’y a pas de guerres.
    Pose-toi la question. Qui a intérêt à ce que justement, les choses tournent à l’affrontement, si ce n’est les militants ? Qui a amorcé les violences ou la radicalité ?

    Je pense comme toi sur au moins un point : tout ceci n’est pas productif et ne fait pas avancer les choses dans le bon sens.

    Si guerre il y a, elle se joue au niveau de l’argent et de ceux qui décident de profiter de ce courant pour en faire une niche commerciale. Attends-toi en effet qu’après les rayons hallal et bio, un emplacement spéciale pour les vegans soit inventé dans les supermarchés.

  • Membre Inconnu

    Membre
    13 janvier 2019 à 2 h 44 min

    j’ai cependant une théorie honteuse… qu’en plus je sais pas valable pour tous… le besoin de s’identifier dans le Bien, quitte à façonner le Bien,[…]

    Je la trouve très convaincante ta théorie @rickla
    De même, je trouve en l’occurrence que l’emploi du verbe “accueillir” renvoi effectivement au champ lexical religieux (voir sectaire).

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