Bonjour @bene_bene
Merci pour vos questions. Pour vous répondre avec concision, la France me semble aller dans le.mur sur le plan éducatif, artistique, culturel, sanitaire, social depuis un moment, mais je pressens de graves événements politiques qui vont s’ajouter à une situation désastreuse depuis la dissolution.
J’ai en dépit de mon parcours académique rencontré de nombreux obstacles ici, depuis toujours, du fait de mon statut de femme, mais aussi du fait de la médiocrité ambiante et de l’absence d’ambition, des copinages de tous ordres.
Si je n’avais pas d’enfant, je me sentirais moins angoissée. Il va rentrer à l’école primaire, et je pense qu’en France, elle est sinistrée, publique ou privée.
Je connais un peu la.Suisse, et je pense que l’éducation, qu’elle soit à l’école, ou musicale, artistique, et dans le supérieur, est bien plus performante et de.bien meilleure qualité, plus ouverte. Tout comme l’est le domaine de la santé. Je connais les universités de Zurich ou de Genève, le Conservatoire de Bâle, par exemple, et c’est vraiment autre chose, que nos universités.
Je suis musicologue, j’ai été designer sonore, j’ai enseigné dans le primaire, le secondaire et le supérieur, privé et public. La musique, le design sonore ou encore en tant que professeur des école (maitresse) J’ai étudié les Sciences humaines et la musicologie en France, àbjke epoque où l’enseignement public était de qualité, puis le design sonore au Royaume Uni bien plus tard, et un peu aux USA. J’y ai trouvé une ouverture, au Royaume Uni, incroyable. Je suis devenue hypnothérapeute en 2022.
J’ai donc pu faire quelques comparaisons en voyageant, comme étudiante, professionnelle et aussi enseignante. Je souhaitais à un moment devenir musicotherapeute, j’ai considéré me former en psychologie , et les perspectives d’étude et d’insertion professionnelle en Suisse sont bien plus sérieuses qu’en France. La.France est tres conservatrice. Les hopitaux ne.font rien pour intégrer les approches thérapeutiques comme l,’hypnose ou la musicothérapie. En tant qu’hypnothérapeute, J’espère développer mon activité plus facilement qu’ici. La crise que vit la France se répercute énormément sur mon activité.
Cela étant, j’aurai toujours un problème de réseau à surmonter.
La.Suisse est également assez proche de la région de résidence du papa, et des grand parents paternels.
Je regrette.profondément la.posture du papa. Il met de la distance avec son fils, et me met dans une situation très compliquée professionnellement.
J’espère trouver plus de perspectives pour arriver à elélever mon fils seule, en Suisse. Le fait que l’on y parle 3 langue est aussi très important, pour l’éducation de mon fils.
J’ai peut-être une.vision idyllique de la Suisse. L’herbe est toujours plus verte ailleurs.